Karl Marx et Satan (ed. 1993)

Cet ouvrage, Marx et Satan, de Richard Wurmbrand explique les racines démoniaques du Marxisme ayant encore une influence dans la société et parfois dans l’Eglise. La traduction de l’Anglais au Français a été faite par le moteur Deepl mais revue par Vigi-Sectes, non avons aussi ajouté quelques rares notes et photos. Bien qu’excellent, cet ouvrage fournit peut d’informations vers les documents sources cités. Aux lecteurs consciencieux qui aiment vérifier les citations, merci de nous faire part de vos trouvailles.

Nous approuvons la poursuite de l’oeuvre Chrétienne de Richard Wurmbrand par la fondation géré par son fils : richardwurmbrandfoundation.com.

Celui-ci dénonce à juste titre la transformation et corruption radicale (abus financiers, sexuels) de l’organisation qu’avait créé son père, « Voice of the Martyr », après la mort de celui-ci.

Nous avons appris que la traduction de l’édition de 1976 existe en ligne.

Vigi-Sectes


Marx et Satan


“Je veux me venger de celui qui gouverne en haut…”
“L’idée de Dieu est la clé d’une civilisation pervertie. Elle doit être détruite.”

Karl Marx

Marx a commencé sa vie dans une famille qui craignait Dieu. Il est prouvé qu’il a été chrétien. Mais un changement radical à un moment donné de sa vie a conduit Karl Marx à une profonde rébellion personnelle contre Dieu et toutes les valeurs chrétiennes. Finalement, il est devenu un adorateur de Satan qui participait régulièrement à des pratiques et à des habitudes occultes. En examinant la poésie, les pièces de théâtre, la correspondance et le récit biographique de Marx, Richard Wurmbrand construit un dossier convaincant sur la préférence indéniablement satanique de Marx. Les propres déclarations de Marx l’exposent comme un détracteur de Dieu et, par conséquent, comme un détracteur des créatures de Dieu – ceux qui ont souffert du marxisme et du communisme. Wurmbrand, qui a été emprisonné pendant 14 ans en Europe pour ses opinions franches contre le communisme, exhorte les chrétiens à ne pas se laisser duper par le déguisement bienveillant du marxisme en simple théorie politique ou économique. Il révèle la véritable racine de la pensée marxiste afin que les chrétiens reconnaissent le mal qu’elle contient et s’y opposent. Ayant été prisonnier du gouvernement communiste en Roumanie, le révérend Richard Wurmbrand a fait des recherches approfondies sur son sujet et en a vu les effets de première main. Avec son épouse, il a fondé Jésus pour le monde communiste afin d’aider les chrétiens qui souffrent du communisme et du marxisme. Wurmbrand a publié plus d’une douzaine de livres ici et en Europe, parmi lesquels :

  • Torturé pour Christ
  • Cent méditations en prison, là où le Christ souffre encore
  • Réponse aux athées de Moscou

INTRODUCTION

UN Changement de loyauté
DEUX Contre tous les dieux
TROIS Foi ruinée
QUATRE Trop tard
CINQ Une contrefaçon cruelle
SIX Un combat spirituel
SEPT Marx, Darwin et la révolution
HUIT Les anges de lumière
NEUF Qui allons-nous servir ?
DIX Marx ou le Christ ?
ANNEXE : Le communisme peut-il être chrétien ?



INTRODUCTION

Cet ouvrage a débuté sous la forme d’une petite brochure qui ne contenait que des allusions aux liens possibles entre le marxisme et l’église sataniste.
Personne ne s’était aventuré à écrire sur ce sujet auparavant. J’étais donc prudent, voire timide. Mais au fil du temps, de plus en plus de preuves se sont accumulées dans mes dossiers, des preuves qui, je l’espère, vous convaincront du danger spirituel qui fait partie intégrante du communisme.
Le marxisme a gouverné plus d’un tiers de l’humanité. S’il pouvait être démontré que les initiateurs et les auteurs de ce mouvement étaient en fait des adorateurs du diable, agissant dans l’ombre et exploitant consciemment des pouvoirs sataniques, une telle prise de conscience ne nécessiterait-elle pas une action ?

Si certains rejetaient d’emblée ma thèse, cela ne me surprendrait pas. La science et la technologie progressent à un rythme rapide parce que nous sommes toujours prêts à mettre au rebut des machines obsolètes au profit de nouvelles commodités. Il en va tout autrement dans les domaines de la sociologie ou de la religion. Les idées ont la vie dure et une mentalité, contrairement à une puce informatique, n’est pas facile à modifier ou à remplacer. Même les preuves les plus récentes peuvent ne pas convaincre. Les portes de certains esprits ont des charnières rouillées. Mais j’offre des preuves à l’appui de ma thèse, et je vous invite à les examiner attentivement.

Les communistes ont certainement pris note de ce livre, qui a été traduit en russe, en chinois, en roumain, en allemand, en slovaque et dans d’autres langues, et qui a été introduit en contrebande dans les pays du rideau de fer en grandes quantités. Par exemple, le journal de Berlin-Est Deutsche Lehrerzeitung, sous le titre « Le tueur de Marx » , a dénoncé mon livre avec véhémence, le qualifiant d’

“ouvrage le plus vaste, le plus provocateur et le plus odieux écrit contre Marx » .

Peut-on détruire Marx aussi facilement ? Est-ce là son talon d’Achille ? Le marxisme serait-il discrédité si les hommes connaissaient ses liens avec le satanisme ? Y a-t-il assez de gens qui s’en soucient ?

Le marxisme est le grand fait de la vie moderne. Quelle que soit votre opinion à son sujet, que vous croyiez ou non à l’existence de Satan, quelle que soit l’importance que vous accordez au culte de Satan pratiqué dans certains milieux, je vous demande d’examiner, de peser et de juger la documentation que je vous présente ici.

J’espère qu’elle vous aidera à vous orienter vers les problèmes auxquels le marxisme confronte encore aujourd’hui tous les habitants de la planète.

La majorité des membres du Parlement russe restent communistes. La Russie et ses environs sont toujours au bord de la guerre civile. – Ed. Notes 1993

Richard Wurmbrand

UN – CHANGEMENT DE LOYAUTÉ

Les écrits chrétiens de Marx

Aujourd’hui, une grande partie du monde est encore marxiste. Le marxisme, sous une forme ou une autre, est également adopté par de nombreuses personnes dans les pays capitalistes. Il y a même des chrétiens, des ecclésiastiques, certains de haut rang, qui sont convaincus que si Jésus avait les bonnes réponses sur la façon d’aller au paradis, Marx avait les bonnes réponses sur la façon d’aider les affamés, les démunis et les opprimés ici sur terre.

Marx, dit-on, était profondément humain. Il était dominé par une idée : comment aider les masses exploitées. Ce qui les appauvrit, disait-il, c’est le capitalisme. Une fois ce système pourri renversé, après une période transitoire de dictature du prolétariat, une société émergera dans laquelle chacun travaillera selon ses capacités dans des usines et des fermes appartenant à la collectivité, et sera récompensé selon ses besoins. Il n’y aura pas d’État pour régir l’individu, pas de guerres, pas de révolution, mais une fraternité éternelle et universelle.

Pour que les masses atteignent le bonheur, il faut plus que le renversement du capitalisme. Marx écrit :

L’abolition de la religion en tant que bonheur illusoire de l’homme est une condition nécessaire à son bonheur réel. L’appel à l’abandon des illusions sur leur condition est un appel à l’abandon d’une condition qui exige des illusions. La critique de la religion est donc la critique de cette vallée de larmes dont la religion est l’auréole.

On prétend que Marx était antireligieux parce que la religion fait obstacle à la réalisation de l’idéal communiste, qu’il considérait comme la seule réponse aux problèmes du monde.

C’est ainsi que les marxistes expliquent leur position et, malheureusement, il y a des ecclésiastiques qui l’expliquent de la même manière. Le révérend Oestreicher, de Grande-Bretagne, a déclaré dans un sermon :

“Le communisme, quelles que soient ses diverses formes actuelles, est un idéal commun :
Le communisme, quelles que soient ses diverses formes d’expression actuelles, bonnes ou mauvaises, est à l’origine un mouvement d’émancipation de l’homme de l’exploitation par ses semblables. Sociologiquement, l’Église était et est encore largement du côté des exploiteurs du monde. Karl Marx, dont les théories ne font que voiler une passion pour la justice et la fraternité qui plonge ses racines dans les prophètes hébreux, détestait la religion parce qu’elle était utilisée comme un instrument pour perpétuer un statu quo dans lequel les enfants étaient esclaves et travaillaient jusqu’à la mort pour enrichir les autres, ici en Grande-Bretagne. Il y a cent ans, ce n’était pas une plaisanterie facile que de dire que la religion était l’opium des masses… En tant que membres du corps du Christ, nous devons venir en simple pénitence, sachant que nous avons une dette profonde envers chaque communiste.

Le marxisme marque la pensée des gens en raison de son succès, mais le succès ne prouve rien. Les sorciers réussissent souvent aussi. Le succès confirme aussi bien l’erreur que la vérité. À l’inverse, l’échec peut être constructif et ouvrir la voie à une vérité plus profonde. C’est pourquoi il convient d’analyser certaines œuvres de Marx sans tenir compte de leur succès.

Qui était Marx ? Dans sa prime jeunesse, Karl Marx professait être chrétien et vivait comme tel. Sa première œuvre écrite s’intitule L’Union des fidèles avec le Christ. Nous y lisons ces belles paroles :

Par amour du Christ, nous tournons en même temps nos cœurs vers nos frères qui nous sont intérieurement liés et pour lesquels il s’est donné en sacrifice.

Marx connaissait un moyen pour que les hommes deviennent des frères aimants les uns envers les autres – le christianisme.

Il poursuit :

L’union avec le Christ pourrait donner une élévation intérieure, un réconfort dans la douleur, une confiance calme et un cœur sensible à l’amour humain, à tout ce qui est noble et grand, non pas pour l’amour de l’ambition et de la gloire, mais seulement pour l’amour du Christ.

À peu près à la même époque, Marx écrit dans sa thèse Considérations d’un jeune homme sur le choix de sa carrière :

La religion elle-même nous enseigne que l’Idéal vers lequel tous tendent s’est sacrifié pour l’humanité, et qui oserait contredire de telles affirmations ? Si nous avons choisi la position dans laquelle nous pouvons accomplir le plus pour Lui, alors nous ne pourrons jamais être écrasés par des fardeaux, parce qu’ils ne sont que des sacrifices faits pour le bien de tous.

Marx a commencé par être un croyant chrétien. À la fin de ses études secondaires, son certificat de fin d’études porte la mention suivante sous la rubrique « Connaissances religieuses » :

Sa connaissance de la foi et de la morale chrétiennes est assez claire et bien fondée. Il connaît également, dans une certaine mesure, l’histoire de l’Église chrétienne.

Cependant, dans une thèse rédigée à la même époque, il a répété six fois le mot « détruire » , qu’aucun de ses collègues n’a utilisé lors de l’examen. « Destroy » est alors devenu son surnom. Il était naturel pour lui de vouloir détruire, car il parlait de l’humanité comme d’une « ordure humaine » et disait :

“Aucun homme ne me rend visite et j’aime cela, parce que l’humanité actuelle peut [obscénité]. C’est une bande de vauriens » .

Les premiers écrits anti-Dieu de Marx

Peu après que Marx eut reçu ce certificat, quelque chose de mystérieux se produisit dans sa vie : il devint profondément et passionnément antireligieux. Un nouveau Marx commence à émerger.

Il écrit dans un poème :

“Je veux me venger de celui qui gouverne en haut”

Il est donc convaincu qu’il y a un Dieu qui gouverne en haut, mais il se querelle avec lui. Pourtant, ce dernier ne lui avait pas fait de mal. Marx appartenait à une famille relativement aisée. Il n’a pas connu la faim dans son enfance. Il était bien mieux loti que beaucoup de ses condisciples. Qu’est-ce qui a provoqué une telle haine de Dieu ? Aucun motif personnel n’est connu. Karl Marx n’était-il, dans cette déclaration, que le porte-parole de quelqu’un d’autre ? Nous n’en savons rien.


À l’âge où la plupart des jeunes gens rêvent de faire du bien aux autres et de se préparer une carrière, le jeune Marx écrit les lignes suivantes dans son poème « Invocation d’un désespéré » :

Un dieu m’a donc arraché tout ce que j’avais,
dans la malédiction et le rack du destin.
Tous ses mondes ont disparu sans qu’on puisse s’en souvenir.
Il ne me reste plus que la vengeance.

Je construirai mon trône dans les hauteurs,
son sommet sera froid et gigantesque.
Pour son rempart, une crainte superstitieuse.
Pour son maréchal – l’agonie la plus noire.

Celui qui le regarde d’un œil sain se retournera,
pâle et muet, saisi par une mortalité aveugle et froide,
Que son bonheur lui prépare un tombeau.

Marx rêvait de ruiner le monde créé par Dieu. Il dit dans un autre poème :

Alors je pourrai marcher triomphalement, Comme un dieu, à travers les pluies de leur royaume. Chacun de mes mots est feu et action. Ma poitrine est égale à celle du Créateur.

Les mots « Je bâtirai mon trône dans les hauteurs » et l’aveu que de celui qui sera assis sur ce trône n’émaneront qu’effroi et agonie nous rappellent l’orgueilleuse vantardise de Lucifer :

« … Je monterai au ciel, J’élèverai mon trône au-dessus des étoiles de Dieu; …  » (Esaïe 14:13).

Ce n’est peut-être pas un hasard si Bakounine, qui fut un temps l’un des amis les plus intimes de Marx, a écrit,

Il faut adorer Marx pour être aimé de lui. Il faut au moins le craindre pour être toléré par lui. Marx est extrêmement orgueilleux, jusqu’à la saleté et la folie.

L’Eglise sataniste et Oulanem

Pourquoi Marx souhaitait-il un tel trône ?

La réponse se trouve dans un drame peu connu qu’il a également composé pendant ses années d’études. Il s’agit d’Oulanem. Pour expliquer ce titre, une parenthèse s’impose.

L’un des rituels de l’église sataniste est la messe à l’envers, que les prêtres satanistes récitent à minuit. Des bougies noires sont placées à l’envers dans les chandeliers. Le prêtre est vêtu de sa robe ornée, mais avec la doublure à l’extérieur. Il dit tout ce qui est prescrit dans le livre de prières, mais lit de la fin vers le début. Les noms de Dieu, de Jésus et de Marie sont lus à l’envers. Un crucifix est fixé à l’envers ou piétiné. Le corps d’une femme nue sert d’autel. Une hostie consacrée volée dans une église porte le nom de Satan et est utilisée pour un simulacre de communion. Pendant la messe noire, une Bible est brûlée. Toutes les personnes présentes promettent de commettre les sept péchés capitaux, énumérés dans les catéchismes catholiques, et de ne jamais faire le bien. Une orgie s’ensuit.

Le culte du diable est très ancien. La Bible a beaucoup à dire à son sujet – et contre lui. Par exemple, les Juifs, bien que Dieu leur ait confié la vraie religion, ont parfois failli dans leur foi et « sacrifié aux démons » (Deutéronome 32:17). Et le roi Jéroboam d’Israël a un jour ordonné des prêtres pour les démons (2 Chroniques 11:15).

Ainsi, depuis des temps immémoriaux, les hommes ont cru en l’existence du diable. Le péché et la méchanceté sont la marque de fabrique de son royaume, la désintégration et la destruction en étant le résultat inévitable. Les grandes concentrations d’idées maléfiques du passé, ainsi que le communisme et le nazisme modernes, auraient été impossibles sans une force directrice, le Diable lui-même. Il a été le maître d’œuvre, l’agent secret, qui a fourni l’énergie unificatrice dans son grand projet de contrôle de l’humanité.

De manière caractéristique, « Oulanem » est une inversion d’un nom sacré. Il s’agit d’une anagramme d’Emmanuel, un nom biblique de Jésus qui signifie en hébreu « Dieu avec nous » . De telles inversions de noms sont considérées comme efficaces en magie noire.

Nous ne pourrons comprendre le drame d’Oulanem qu’à la lumière d’un étrange aveu que Marx a fait dans un poème intitulé « Le Joueur » , minimisé par la suite par lui-même et par ses disciples :

Les vapeurs infernales montent et remplissent le cerveau,
Jusqu’à ce que je devienne fou et que mon cœur soit complètement changé.
Vous voyez cette épée ?
Le prince des ténèbres me l’a vendue.
Pour moi, il bat la mesure et donne les signes.
Je joue de plus en plus hardiment la danse de la mort.

Ces lignes prennent une signification particulière lorsqu’on apprend que dans les rites d’initiation supérieure du culte sataniste, une épée « enchantée » qui assure le succès est vendue au candidat. Il la paie en signant, avec du sang prélevé sur ses poignets, un pacte par lequel il accepte que son âme appartienne à Satan après sa mort.

(Pour permettre au lecteur de saisir l’horrible intention de ces poèmes, je dois mentionner – bien qu’avec un dégoût naturel – que « La Bible satanique » , après avoir dit que « le crucifix symbolise l’incompétence blafarde suspendue à un arbre » , appelle Satan « l’ineffable Prince des Ténèbres qui règne sur chacun » . Par opposition à « la souillure durable de Bethléem » , « le Nazaréen maudit » , « le roi impuissant » , « le dieu fugitif et muet » , « le vil et abominable prétendant à la majesté de Satan » , le Diable est appelé « le Dieu de la lumière » , les anges « se recroquevillent et tremblent de peur et se prosternent devant lui » et « envoient les sous-fifres chrétiens tituber à leur perte”).

Je cite maintenant le drame Oulanem lui-même :

Et ils sont aussi Oulanem, Oulanem.
Le nom résonne comme la mort,
résonne jusqu’à ce qu’il s’éteigne dans un crawl misérable.
Stop, je l’ai maintenant !
Il surgit de mon âme Aussi clair que l’air,
aussi fort que mes os.

Pourtant j’ai le pouvoir dans mes bras de jeune homme
Pour te serrer et t’écraser (c’est-à-dire l’humanité personnifiée) avec une force tempétueuse,
Alors que pour nous deux l’abîme bâille dans l’obscurité.
Tu t’enfonceras et je te suivrai en riant, en chuchotant à tes oreilles :
“Descends, viens avec moi, mon ami » .

Oulanem en Allemand, Anglais, Français

La Bible, que Marx avait étudiée pendant ses années de lycée et qu’il connaissait très bien à l’âge mûr, dit que le Diable sera lié par un ange et jeté dans l’abîme (abyssos en grec ; voir Apocalypse 20:3). Marx veut entraîner toute l’humanité dans cette fosse réservée au Diable et à ses anges.

Qui parle à travers Marx dans ce drame ? Est-il raisonnable d’attendre d’un jeune étudiant qu’il fasse du rêve de sa vie la vision de l’humanité entrant dans l’abîme des ténèbres (“ténèbres extérieures » est une expression biblique pour désigner l’enfer) et de lui-même riant en suivant ceux qu’il a conduits à l’incrédulité ? Cet idéal n’est cultivé nulle part au monde, si ce n’est dans les rites d’initiation de l’église sataniste à ses plus hauts degrés.

Lorsque, dans le drame, vient le moment de la mort d’Oulanem, ses paroles sont les suivantes :

“Ruiné, ruiné :
Ruiné, ruiné. Mon temps s’est proprement écoulé.
L’horloge s’est arrêtée, la maison pygmée s’est écroulée.
Bientôt j’embrasserai l’éternité sur mon sein, et bientôt je hurlerai de gigantesques malédictions sur l’humanité.

Marx avait aimé les paroles de Méphistophélès dans Faust :

“Tout ce qui existe mérite d’être détruit » .

Tout, y compris le prolétariat et les camarades. Marx cite ces mots dans Le 18e Brumaire. Staline les a mises en pratique et a détruit jusqu’à sa propre famille.

Dans Faust, Satan est appelé l’esprit qui nie tout. C’est précisément l’attitude de Marx. Il parle de « critique impitoyable de tout ce qui existe » , de « guerre contre la situation en Allemagne » , de « critique impitoyable de tout » . Il ajoute : « Le premier devoir de la presse est de saper les fondements du système politique existant. » Marx dit de lui-même qu’il est « le plus grand détracteur de ce qu’on appelle le positif » .

La secte sataniste n’est pas matérialiste. Elle croit en la vie éternelle. Oulanem, le personnage par lequel parle Marx, ne remet pas cela en question. Il affirme la vie éternelle, mais comme une vie de haine amplifiée à l’extrême.

Il faut noter que l’éternité pour les démons est synonyme de tourments. Notons le reproche fait à Jésus par les démons :

» … Es-tu venu pour nous tourmenter avant le temps ? » . (Matthieu 8:29).

Marx est obsédé de la même façon :

Ha ! L’éternité ! Elle est notre douleur éternelle,
Une mort indescriptible et incommensurable,
Une vile artificialité conçue pour nous mépriser,
Nous-mêmes étant des horloges, aveuglément mécaniques,
Faits pour être les idiots de calendriers du temps et de l’espace,
N’ayant d’autre but que d’arriver, d’être ruinés,
Afin qu’il y ait quelque chose à ruiner.


Nous commençons maintenant à comprendre ce qui est arrivé au jeune Marx. Il avait des convictions chrétiennes, mais n’avait pas mené une vie cohérente. Sa correspondance avec son père témoigne du fait qu’il a gaspillé de grandes sommes d’argent en plaisirs et qu’il s’est constamment disputé avec l’autorité parentale à ce sujet et sur d’autres questions. Il semble ensuite s’être rallié aux principes de la très secrète église sataniste et en avoir reçu les rites d’initiation.

Satan, que ses adorateurs voient dans leurs orgies hallucinatoires, parle en fait à travers eux. Ainsi, Marx n’est que le porte-parole de Satan lorsqu’il prononce dans son poème « Invocation d’un désespéré » les mots « Je veux me venger de celui qui gouverne en haut » .

– Ecoutez la fin d’Oulanem :

S’il existe une chose qui dévore,
je sauterai en son sein, même si j’amène le le monde en ruines –
Le monde qui se dresse entre moi et l’abîme
Le monde qui se dresse entre moi et l’abîme, je le réduirai en miettes avec mes malédictions persistantes.
Je jetterai mes bras autour de sa dure réalité, En m’embrassant, le monde passera bêtement,
Et sombrera dans le néant le plus total, Perdu, sans existence – ce serait vraiment vivre.

Marx s’est probablement inspiré des paroles du Marquis de Sade :

J’abhorre la nature. Je voudrais fendre sa planète, entraver son processus, arrêter les cercles d’étoiles, renverser les globes qui flottent dans l’espace, détruire ce qui sert à la nature, protéger ce qui lui nuit, en un mot, je voudrais l’insulter dans mes œuvres… . Peut-être pourrons-nous attaquer le soleil, en priver l’univers, ou l’utiliser pour mettre le feu au monde. Ce seraient de véritables crimes.

De Sade et Marx propagent les mêmes idées !

Les hommes honnêtes, ainsi que les hommes inspirés par Dieu, cherchent souvent à servir leurs semblables en écrivant des livres pour accroître leurs connaissances, améliorer leur moralité, stimuler les sentiments religieux, ou au moins se détendre et se divertir. Le Diable est le seul être qui, consciemment, ne fait que du mal à l’humanité, et il le fait par l’intermédiaire de ses serviteurs élus.

Pour autant que je sache, Marx est le seul auteur de renom qui ait jamais qualifié ses propres écrits de « merde » , de « livres d’escrocs » . Il donne consciemment, délibérément de la saleté à ses lecteurs. Il n’est donc pas étonnant que certains de ses disciples, les communistes de Roumanie et du Mozambique, aient forcé des prisonniers à manger leurs propres excréments et à boire leur propre urine.

Dans Oulanem, Marx fait ce que fait le diable : il condamne toute la race humaine à la damnation.

Oulanem est probablement le seul drame au monde dans lequel tous les personnages sont conscients de leur propre corruption, l’affichent et la célèbrent avec conviction. Dans ce drame, il n’y a pas de noir et de blanc. Il n’y a pas de Claudius et d’Ophélie, de Iago et de Desdemona. Ici, tous sont des serviteurs des ténèbres, tous révèlent des aspects de Méphistophélès. Tous sont sataniques, corrompus, condamnés.

DEUX – CONTRE TOUS LES DIEUX

Satan dans la famille de Marx

Lorsqu’il écrivit les œuvres citées dans le dernier chapitre, Marx, génie précoce, n’avait que dix-huit ans. Le programme de sa vie était donc déjà établi. Il n’avait aucune vision du service de l’humanité, du prolétariat ou du socialisme. Il souhaite simplement mener le monde à sa perte, se construire un trône dont le rempart sera la peur humaine.

Marx 1839

À cette époque, la correspondance entre Karl Marx et son père comporte des passages particulièrement énigmatiques. Le fils écrit,

Un rideau est tombé. Mon saint des saints était déchiré et de nouveaux dieux devaient être installés.

Ces mots ont été écrits le 10 novembre 1837 par un jeune homme qui avait jusqu’alors professé le christianisme. Il avait déjà déclaré que le Christ était dans son cœur. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas. Qui sont les nouveaux dieux installés à la place du Christ ?

Le père répond :

“Je me suis abstenu d’insister pour avoir une explication sur une affaire très mystérieuse, bien qu’elle me paraisse très douteuse.”

Quelle était cette affaire mystérieuse ? Aucun biographe de Marx n’a expliqué ces phrases étranges.

Le 2 mars 1837, le père de Marx écrit à son fils :

Ton avancement, le cher espoir de voir un jour ton nom en grande réputation, et ton bien-être terrestre ne sont pas les seuls désirs de mon cœur. Ce sont des illusions que j’ai eues longtemps, mais je peux t’assurer que leur réalisation ne m’aurait pas rendu heureux. Ce n’est que si ton cœur reste pur et bat humainement et si aucun démon ne parvient à éloigner ton cœur des meilleurs sentiments que je serai heureux.

Qu’est-ce qui a poussé un père à exprimer soudainement la crainte d’une influence démoniaque sur un jeune fils qui, jusqu’alors, avait été un chrétien confessé ? S’agit-il des poèmes qu’il a reçus en cadeau de son fils pour son cinquante-cinquième anniversaire ?

La citation suivante est tirée du poème de Marx « Sur Hegel » :

Les mots que j’enseigne sont tous mélangés dans une confusion diabolique. Ainsi, chacun peut penser ce qu’il veut.

Voici également des mots tirés d’une autre épigramme sur Hegel :

Parce que j’ai découvert le plus haut,
Et parce que j’ai trouvé le plus profond par la méditation,
je suis grand comme un Dieu ;
Je m’habille d’obscurité comme lui.

Dans son poème « La vierge pâle » , il écrit :

J’ai perdu le paradis, je le sais très bien.
Mon âme, autrefois fidèle à Dieu, est choisie pour l’enfer.

Aucun commentaire n’est nécessaire. Marx a commencé par avoir des ambitions artistiques. Ses poèmes et ses pièces de théâtre sont importants car ils révèlent l’état de son cœur ; mais n’ayant aucune valeur littéraire, ils n’ont reçu aucune reconnaissance.

L’absence de succès dans le théâtre nous a donné un Goebbels, le ministre de la propagande des nazis ; dans la philosophie, un Rosenberg, le pourvoyeur du racisme allemand ; dans la peinture et l’architecture, un Hitler.

Hitler était également poète. On peut supposer qu’il n’a jamais lu les poèmes de Marx, mais la ressemblance est frappante. Dans ses poèmes, Hitler mentionne les mêmes pratiques satanistes :

Dans les nuits agitées, je vais parfois
Au chêne de Wotan dans le jardin tranquille,
Pour faire un pacte avec les forces obscures.
Le clair de lune fait apparaître des runes*.
Celles qui ont pris le soleil pendant la journée deviennent petites devant la formule magique.

* NDLR: Une « rune » est une lettre d’un ensemble d’alphabets apparentés connus sous le nom d’alphabets runiques originaires des peuples germaniques.

“Wotan » est le dieu principal de la mythologie païenne allemande. Les « runes » étaient des symboles utilisés pour l’écriture dans les temps anciens.

Hitler a rapidement abandonné une carrière poétique, tout comme Marx, qui l’a échangée contre une carrière révolutionnaire au nom de Satan contre une société qui n’avait pas apprécié ses poèmes. C’est sans doute l’un des motifs de sa rébellion totale. Le fait d’être méprisé en tant que juif en était peut-être un autre.

Deux ans après l’inquiétude exprimée par son père, en 1839, le jeune Marx écrit La différence entre la philosophie de la nature de Démocrite et celle des Épicures, dans la préface de laquelle il s’aligne sur la déclaration d’Eschyle :

“J’ai de la haine contre tous les dieux. »

Il nuance cette affirmation en déclarant qu’il n’y a pas de dieux dans la nature. Il nuance en précisant qu’il est contre tous les dieux de la terre et du ciel qui ne reconnaissent pas la conscience de soi de l’homme comme la divinité suprême.

Marx était un ennemi déclaré de tous les dieux, un homme qui avait acheté son épée au prince des ténèbres au prix de son âme. Il avait déclaré que son but était d’entraîner toute l’humanité dans l’abîme et de la suivre en riant.

Marx aurait-il vraiment acheté son épée à Satan ?
Sa fille Eleanor raconte que Marx lui a raconté, ainsi qu’à ses sœurs, de nombreuses histoires lorsqu’elles étaient enfants. Celle qu’elle préférait était celle d’un certain Hans Röckle.

La narration de cette histoire durait des mois et des mois, car c’était une longue, très longue histoire qui ne se terminait jamais. Hans Röckle était un sorcier … qui avait une boutique avec des jouets et beaucoup de dettes…. Bien que sorcier, il était toujours dans le besoin. Il dut donc vendre contre son gré toutes ses belles choses, pièce après pièce, au Diable…. Certaines de ces aventures sont horribles et vous font dresser les cheveux sur la tête ?

Est-il normal qu’un père raconte à ses petits enfants des histoires horribles sur la vente de ses trésors les plus chers au Diable ? Robert Payne, dans son livre sur Marx, relate également cet incident dans les moindres détails, tel que raconté par Eleanor – comment le malheureux Röckle, le magicien, vendit les jouets à contrecœur, les gardant jusqu’au dernier moment. Mais comme il avait conclu un pacte avec le diable, il n’y avait pas moyen d’y échapper. Le biographe de Marx poursuit ,

Il ne fait guère de doute que ces histoires interminables étaient autobiographiques. Il avait la vision du monde du diable et la malignité du diable. Parfois, il semblait savoir qu’il accomplissait des œuvres maléfiques.

Lorsque Marx a terminé Oulanem et d’autres poèmes de jeunesse dans lesquels il parlait d’un pacte avec le Diable, il ne pensait pas au socialisme. Il l’a même combattu. Il était rédacteur en chef d’un magazine allemand, le Rheinische Zeitung , qui « n’accorde aucune validité théorique aux idées communistes sous leur forme actuelle, et souhaite encore moins leur réalisation pratique, qu’il juge de toute façon impossible…. Les tentatives des masses de réaliser les idées communistes peuvent être réprimées par un canon dès qu’elles sont devenues dangereuses …

Marx chassera Dieu du ciel

Arrivé à ce stade de sa réflexion, Marx rencontre Moses Hess, l’homme qui a joué le rôle le plus important dans sa vie, l’homme qui l’a amené à embrasser l’idéal socialiste.

Hess l’appelle

« Dr Marx – mon idole, qui donnera le dernier coup de pied à la religion et à la politique médiévales » .

Donner un coup de pied à la religion était le premier objectif de Marx, pas le socialisme.

Georg Jung, un autre ami de Marx à l’époque, écrit encore plus clairement en 1841 que Marx chassera sûrement Dieu de son paradis et lui intentera même un procès. Marx qualifie le christianisme de l’une des religions les plus immorales. Rien d’étonnant à cela, car Marx pense désormais que les chrétiens de l’Antiquité ont massacré des hommes et mangé leur chair.

Telles étaient donc les attentes de ceux qui ont initié Marx aux profondeurs du satanisme. Rien ne permet d’affirmer que Marx nourrissait de nobles idéaux sociaux d’aide à l’humanité, qu’il considérait la religion comme un obstacle à la réalisation de ces idéaux et que, pour cette raison, il avait adopté une attitude antireligieuse. Au contraire, Marx détestait toute notion de Dieu ou de dieux. Il était déterminé à être l’homme qui chasserait Dieu – tout cela avant d’avoir embrassé le socialisme, qui n’était qu’un appât pour inciter les prolétaires et les intellectuels à embrasser cet idéal diabolique.

Finalement, Marx prétend ne même pas admettre l’existence d’un Créateur. Incroyablement, il soutient que l’humanité s’est façonnée elle-même. Il écrit,
En voyant que pour l’homme socialiste, toute l’histoire dite mondiale n’est rien d’autre que la création de l’homme par le travail humain, que le développement de la nature pour l’homme, il a la preuve incontestable qu’il est né de lui-même…. La critique de la religion se termine par l’enseignement que l’homme est l’être suprême pour l’homme.

Si l’on ne reconnaît pas de Créateur, il n’y a personne pour nous donner des commandements, ni à qui nous devons rendre des comptes. Marx le confirme en déclarant :

“Les communistes ne prêchent absolument aucune morale » .

Lorsque les Soviétiques ont adopté à leurs débuts le slogan

“Chassons les capitalistes de la terre et Dieu du ciel”

ils n’ont fait qu’accomplir l’héritage de Karl Marx.

L’une des particularités de la magie hack, comme nous l’avons déjà mentionné, est l’inversion des noms. Les inversions en général ont tellement imprégné toute la pensée de Marx qu’il les a utilisées tout au long de son œuvre. Il a répondu au livre de Proudhon La philosophie de la misère par un autre livre intitulé La misère de la philosophie. Il a également écrit :

“Au lieu d’utiliser l’arme de la critique, nous devons utiliser la critique des armes » .

Voici d’autres exemples de l’utilisation de l’inversion par Marx dans ses écrits :

Cherchons l’énigme du Juif non pas dans sa religion, mais plutôt cherchons l’énigme de sa religion dans le vrai Juif. Luther a brisé la foi en l’autorité, parce qu’il a restauré l’autorité de la foi. Il a transformé les prêtres en laïcs, parce qu’il a transformé les laïcs en prêtres.

Marx a utilisé cette technique en de nombreux endroits. Il a utilisé ce que l’on pourrait appeler le style sataniste typique.

En changeant quelque peu de vitesse, les hommes portaient généralement la barbe à l’époque de Marx, mais pas une barbe comme la sienne, et ils n’avaient pas les cheveux longs. Les manières et l’apparence de Marx étaient caractéristiques des disciples de Joanna Southcott, prêtresse d’une secte occulte qui prétendait être en contact avec le fantôme Shiloh.

Il est étrange qu’une soixantaine d’années après sa mort en 1814,
le groupe de Southcottians de Chatham fut rejoint par un soldat, James White, qui, après sa période de service en Inde, revint et prit la tête du groupe local, développant plus avant les doctrines de Joanna … avec une teinte communiste.

Marx n’a pas souvent parlé publiquement de métaphysique, mais nous pouvons connaître son point de vue grâce aux hommes avec lesquels il s’est associé. L’un de ses partenaires au sein de la Première Internationale était Mikhaïl Bakounine, un anarchiste russe, qui a écrit :

Le Malin est la révolte satanique contre l’autorité divine, révolte dans laquelle nous voyons le germe fécond de toutes les émancipations humaines, la révolution. Les socialistes se reconnaissent entre eux par ces mots : « Au nom de celui à qui l’on a fait un grand tort » .

Satan [est] l’éternel rebelle, le premier libre penseur et l’émancipateur des mondes. Il fait honte à l’homme de son ignorance bestiale et de son obéissance ; il l’émancipe, il marque son front du sceau de la liberté et de l’humanité, en le poussant à désobéir et à manger du fruit de la connaissance.

Bakounine ne se contente pas de faire l’éloge de Lucifer. Il a un programme concret de révolution, mais pas un programme qui libérerait les pauvres de l’exploitation. Il écrit :

“Dans cette révolution, nous devrons réveiller les pauvres :
Dans cette révolution, nous devrons réveiller le diable dans le peuple, attiser les passions les plus viles. Notre mission est de détruire, pas d’édifier. La passion de la destruction est une passion créatrice.

Marx, avec Bakounine, a formé la Première Internationale et a approuvé cet étrange programme. Marx et Engels ont déclaré dans Le Manifeste communiste que le prolétaire considère la loi, la morale et la religion comme « autant de préjugés bourgeois, derrière lesquels se cachent en embuscade tout autant d’intérêts bourgeois » .

Bakounine révèle que Proudhon, autre grand penseur socialiste et à l’époque ami de Karl Marx, « adorait Satan » . Hess avait présenté Marx à Proudhon, qui portait la même coiffure que la secte sataniste de Joanna Southcott au XIXe siècle.

Proudhon, dans La philosophie de la misère, déclarait que Dieu était le prototype de l’injustice.

On accède à la connaissance malgré lui, on accède à la société malgré lui. Chaque pas en avant est une victoire par laquelle nous surmontons le Divin.

Il s’exclame :

Viens, Satan, calomnié par les petits et par les rois. Dieu est stupidité et lâcheté ; Dieu est hypocrisie et mensonge ; Dieu est tyrannie et pauvreté ; Dieu est mal. Là où l’humanité s’incline devant un autel, l’humanité, esclave des rois et des prêtres, sera condamnée…. Je jure, Dieu, la main tendue vers le ciel, que tu n’es que le bourreau de ma raison, le sceptre de ma conscience…. Dieu est par essence anticivilisé, antilibéral, antihumain.

Proudhon déclare que Dieu est mauvais parce que l’homme, sa création, est mauvais. De telles pensées n’ont rien d’original ; elles sont le contenu habituel des sermons prononcés dans les cultes satanistes.

Proudhon

Marx s’est ensuite disputé avec Proudhon et a écrit un livre pour réfuter sa Philosophie de la misère. Mais Marx n’a contredit que des doctrines économiques mineures. Il n’avait aucune objection à la rébellion démoniaque anti-Dieu de Proudhon.

Heinrich Heine, le célèbre poète allemand, était un troisième ami intime de Marx. Lui aussi était un fanatique de Satan. Il a écrit :

“J’ai appelé le diable et il est venu :
J’ai appelé le diable et il est venu, son visage m’émerveille, il n’est pas laid, il n’est pas boiteux, c’est un homme charmant, charmant. Il n’est pas laid, il n’est pas boiteux. C’est un homme charmant, charmant.

“Marx était un grand admirateur de Heinrich Heine… . Leur relation était chaleureuse, cordiale.”

Pourquoi admire-t-il Heine ? Peut-être pour des pensées satanistes comme celle-ci :

J’ai le désir … d’avoir quelques beaux arbres devant ma porte, et si ce cher Dieu veut me rendre totalement heureux, il me donnera la joie de voir six ou sept de mes ennemis pendus à ces arbres. Avec un cœur compatissant, je leur pardonnerai après la mort tout le mal qu’ils m’ont fait pendant leur vie. Oui, nous devons pardonner à nos ennemis, mais pas avant qu’ils ne soient pendus.
Je ne suis pas rancunier. J’aimerais aimer mes ennemis. Mais je ne peux pas les aimer avant de me venger d’eux. Ce n’est qu’alors que mon cœur s’ouvre à eux. Tant que l’on ne s’est pas vengé, l’amertume reste dans le cœur.

Un homme honnête serait-il l’ami intime de quelqu’un qui pense ainsi ?
Mais Marx et son entourage pensaient de la même manière. Lunatcharski, philosophe de premier plan qui fut ministre de l’éducation de l’U.R.S.S., a écrit dans Socialisme et religion que Marx avait renoncé à tout contact avec Dieu et avait placé Satan devant les colonnes de prolétaires en marche.

Il est essentiel à ce stade d’affirmer avec force que Marx et ses camarades, bien qu’anti-Dieu, n’étaient pas athées, comme le prétendent les marxistes d’aujourd’hui. En d’autres termes, s’ils dénonçaient et injuriaient ouvertement Dieu, ils haïssaient un Dieu auquel ils croyaient. Ils contestaient non pas son existence, mais sa suprématie.

Lorsque la révolution a éclaté à Paris en 1871, le communard Flourens a déclaré :

Notre ennemi, c’est Dieu. La haine de Dieu est le commencement de la sagesse » .

Marx a fait l’éloge des communards qui proclamaient ouvertement ce but. Mais qu’est-ce que cela a à voir avec une répartition plus équitable des biens ou avec de meilleures institutions sociales ? Ce ne sont que des apparences qui cachent le véritable objectif : l’éradication totale de Dieu et de son culte. Nous en avons vu la preuve dans des pays comme l’Albanie et aujourd’hui en Corée du Nord, où toutes les églises, mosquées et pagodes ont été fermées.

La poésie diabolique de Marx

Nous le voyons clairement dans la poésie de Marx. Dans « Invocation d’un désespéré » et « L’orgueil humain » , la supplication suprême de l’homme porte sur sa propre grandeur. Si l’homme est condamné à périr par sa propre grandeur, ce sera une catastrophe cosmique, mais il mourra comme un être divin, pleuré par les démons. La ballade de Marx « Le Joueur » enregistre les plaintes du chanteur contre un Dieu qui ne connaît ni ne respecte son art. Il émerge des sombres abîmes de l’enfer, tourmente l’esprit et ensorcelle le cœur, et sa danse est la danse de la mort » . Le ménestrel tire son épée et la lance dans l’âme du poète.

L’art émerge de l’abîme sombre de l’enfer, tourmente l’esprit … Cela nous rappelle les paroles du révolutionnaire américain Jerry Rubin dans Do It :

Nous avons combiné la jeunesse, la musique, le sexe, la drogue, la rébellion et la trahison – et c’est une combinaison difficile à battre.

Dans son poème « Human Pride » , Marx admet que son but n’est pas d’améliorer le monde, ni de le réformer ou de le révolutionner, mais simplement de le ruiner et de jouir de sa ruine :

Avec dédain, je jetterai mon gant à la face du monde,
Et je verrai s’effondrer ce géant pygmée
Dont la chute n’étouffera pas mon ardeur.
Alors j’errerai, divin et victorieux,
A travers les ruines du monde
Et, donnant à mes paroles une force active, je me sentirai l’égal du Créateur.

Marx adopte le satanisme après une intense lutte intérieure. Il a cessé d’écrire des poèmes pendant une période de grave maladie, conséquence de la tempête qui régnait dans son cœur. Il écrivit alors sur sa vexation de devoir faire une idole d’une opinion qu’il détestait. Il se sentait malade.
La raison principale de la conversion de Marx au communisme apparaît clairement dans une lettre de son ami Georg Jung à Ruge : ce n’était pas l’émancipation du prolétariat, ni même l’établissement d’un meilleur ordre social. Jung écrit :
Si Marx, Bruno Bauer et Feuerbach s’associent pour fonder une revue théologico-politique, Dieu ferait bien de s’entourer de tous ses anges et de s’apitoyer sur son sort, car ces trois-là le chasseront certainement du paradis…..
Ces poèmes étaient-ils les seuls écrits expressément satanistes de Karl Marx ? Nous ne le savons pas, car l’essentiel de son œuvre est tenu secret par les gardiens de ses manuscrits.

Dans L’homme révolté, Albert Camus affirme que trente volumes de Marx et Engels n’ont jamais été publiés et exprime la présomption qu’ils ne ressemblent guère à ce que l’on connaît généralement sous le nom de marxisme. En lisant cela, j’ai demandé à l’un de mes secrétaires d’écrire à l’Institut Marx de Moscou pour demander si cette affirmation de l’écrivain français était vraie.

J’ai reçu une réponse.

Le vice-directeur, le professeur M. Mtchedlov, après avoir dit que Camus avait menti, confirmait néanmoins ses allégations. M. Mtchedlov a écrit que sur un total de cent volumes, seuls treize ont été publiés. Il a avancé une excuse ridicule pour justifier cette situation : La Seconde Guerre mondiale a empêché l’impression des autres volumes. La lettre a été écrite en 1980, trente-cinq ans après la fin de la guerre. Et la maison d’édition d’État de l’Union soviétique dispose certainement de fonds suffisants.

Cette lettre montre clairement que les communistes soviétiques disposaient de tous les manuscrits pour cent volumes, mais qu’ils ont choisi de n’en publier que treize. Il n’y a pas d’autre explication que le fait que la plupart des idées de Marx ont été délibérément gardées secrètes.

La vie ravagée de Marx

Tous les satanistes actifs ont une vie personnelle ravagée, et ce fut également le cas de Marx.

Arnold Künzli, dans son livre Karl Marx – A Psychogram, décrit la vie de Marx, y compris le suicide de deux filles et d’un gendre Trois enfants sont morts de malnutrition. Sa fille Laura, mariée au socialiste Lafargue, a également enterré trois de ses enfants, puis s’est suicidée avec son mari. Une autre fille, Éléonore, décide avec son mari de faire de même. Elle est morte, il s’est désisté à la dernière minute.

Friedrich Engels et Karl Marx ;
au premier plan, Jenny, la femme de Marx, et ses enfants Laura et Eleanor (1864).

Marx ne se sentait pas obligé de gagner sa vie pour sa famille, bien qu’il aurait pu facilement le faire grâce à son immense connaissance des langues. Au lieu de cela, il vit de la mendicité auprès d’Engels. Il a eu un enfant illégitime de sa servante, Helen Demuth. Plus tard, il attribua l’enfant à Engels, qui accepta cette comédie. Marx boit beaucoup. Riazanov, directeur de l’Institut Marx-Engels à Moscou, admet ce fait dans son livre Karl Marx, Mai, Thinker aid Revolutionist.

Il y a deux heures, un télégramme est arrivé pour m’annoncer la mort de ma mère. Le destin devait s’emparer d’un membre de la famille. J’avais déjà un pied dans la tombe. Dans ces circonstances, on a plus besoin de moi que de la vieille femme. Je dois aller à Trèves pour régler la question de l’héritage.

C’est tout ce qu’il avait à dire lors du décès de sa mère. En outre, les relations entre Marx et sa femme étaient manifestement mauvaises. Elle l’abandonne à deux reprises, mais revient à chaque fois. À sa mort, il n’assiste même pas à ses funérailles.
Toujours à la recherche de fonds, Marx perd beaucoup d’argent à la bourse, où lui, le grand économiste, ne sait que perdre.

Marx était un intellectuel de haut niveau, tout comme Engels. Mais leur correspondance est pleine d’obscénités, ce qui est inhabituel pour la classe sociale à laquelle ils appartiennent. Les grossièretés abondent, et il n’y a pas une lettre où l’on entend un idéaliste parler de son rêve humaniste ou socialiste.

La secte sataniste étant très secrète, nous ne disposons que de rapports sur les possibilités de connexions de Marx avec elle. Mais sa vie désordonnée est sans doute un maillon de plus dans la chaîne de preuves déjà évoquée.

TROIS – LA FOI RUINÉE

La contre-conversion d’Engels

Étant donné que Friedrich Engels occupe une place prépondérante dans la vie de Marx, je vais donner quelques informations à son sujet. Engels a été élevé dans une famille piétiste. En fait, dans sa jeunesse, il avait composé de beaux poèmes chrétiens. Après avoir rencontré Marx, il a écrit à son sujet :

Qui poursuit l’entreprise sauvage ? Un homme noir de Trèves [ville natale de Marx], un monstre remarquable. Il ne marche pas, il ne court pas, il saute sur ses talons et se déchaîne, plein de colère, comme s’il voulait attraper la grande tente du ciel et la jeter sur la terre. Il étend les bras au loin dans les airs ; le poing méchant est serré, il rage sans cesse, comme si dix mille diables l’avaient attrapé par les cheveux.
Friedrich Engels

Engels avait commencé à douter de la foi chrétienne après avoir lu un livre écrit par un théologien libéral, Bruno Bauer. Il avait eu une grande lutte dans son cœur. Il écrivit à l’époque :

“Je prie tous les jours, presque tous les jours,
Je prie tous les jours, presque tous les jours, pour la vérité, et je l’ai fait depuis que j’ai commencé à douter, mais je ne peux toujours pas revenir en arrière. Je pleure à chaudes larmes en écrivant ces lignes.

Engels n’a jamais retrouvé le chemin de la Parole de Dieu, rejoignant au contraire celui qu’il avait lui-même appelé « le monstre possédé par dix mille démons » . Il a vécu une contre-conversion.

Quel genre de personne était Bruno Bauer, le théologien libéral qui a joué un rôle décisif dans la destruction de la foi chrétienne d’Engels et qui a soutenu Marx dans ses nouvelles voies antichrétiennes ? Avait-il un lien avec les démons ?

Comme Engels lui-même, il a commencé sa vie en tant que croyant, puis en tant que théologien conservateur, écrivant même contre les critiques de la Bible. Par la suite, il est lui-même devenu un critique radical des Saintes Écritures et le créateur d’un christianisme matérialiste qui insistait sur le fait que Jésus n’était qu’un être humain, et non le Fils de Dieu. Le 6 décembre 1841, Bauer écrit à son ami Arnold Ruge, également ami de Marx et Engels :

Je donne des conférences ici à l’université devant un large public. Je ne me reconnais pas lorsque je prononce mes blasphèmes en chaire. Ils sont si grands que ces enfants, que personne ne devrait offenser, ont les cheveux qui se dressent sur la tête. Tout en prononçant les blasphèmes, je me souviens que je travaille pieusement à la maison pour écrire une apologie des saintes Écritures et de l’Apocalypse. En tout cas, c’est un très mauvais démon qui me possède dès que je monte en chaire, et je suis si faible que je suis obligé de lui céder….. Mon esprit de blasphème ne sera satisfait que si je suis autorisé à prêcher ouvertement en tant que professeur du système athée.

L’homme qui l’a convaincu de devenir communiste est le même Moses Hess qui avait déjà convaincu Marx. Hess écrit, après avoir rencontré Engels à Cologne : « Il s’est séparé de moi comme un surmoi,
Il s’est séparé de moi comme un communiste trop zélé. C’est ainsi que je fais des ravages…


Produire des ravages, tel était le but suprême de la vie de Hess ? C’est aussi celui de Lucifer.
Les traces d’un passé chrétien n’ont jamais disparu de l’esprit d’Engels. En 1865, il exprime son admiration pour le chant de la Réforme, « A Mighty Fortress Is Our God » , qu’il qualifie d'”hymne triomphal qui est devenu la Marseillaise du XVIe siècle » . D’autres déclarations pro-chrétiennes de ce type ont été faites sous sa plume.
La tragédie d’Engels est émouvante, et encore plus saisissante que celle de Marx. Voici un merveilleux poème chrétien écrit dans sa jeunesse par celui qui deviendra plus tard le plus grand complice de Marx dans la tentative de destruction de la religion :

Seigneur Jésus-Christ, fils unique de Dieu,
Descends de ton trône céleste
Et sauve mon âme pour moi.
Descends dans toute ta béatitude.
Lumière de la sainteté de tes pères,
Accorde-moi de te choisir.
La joie est belle, splendide, sans tristesse.
avec laquelle nous élevons, Sauveur, vers Toi notre louange.
Et lorsque je reprendrai mon dernier souffle et que je devrai endurer les affres de la mort, je pourrai me raccrocher à Toi ;
Et lorsque mes yeux seront remplis de ténèbres Et que mon cœur battant s’éteindra, En Toi je me refroidirai.
Au ciel, mon esprit louera éternellement ton nom,
Puisqu’il repose en sécurité en Toi.
Si le temps de la joie était proche, si je pouvais puiser dans ton sein aimant une vie nouvelle qui réchauffe.
Et alors, ô Dieu, en te remerciant,
J’embrasserai ceux qui me sont chers
Pour toujours dans mes bras. Toujours, toujours, toujours vivant, Toi demeurant à contempler, Ma vie se déploiera à nouveau.
Tu es venu libérer l’humanité de la mort et de la maladie, afin qu’il y ait partout des bénédictions et de la fortune. Et maintenant, avec ceci, Ta nouvelle descente, Sur la Terre tout sera différent ;
A chaque homme Tu donneras sa part.


Après que Bruno Bauer eut semé le doute dans son âme, Engels écrivit à quelques amis,

Il est écrit : « Demandez et l’on vous donnera. » Je cherche la vérité partout où j’ai l’espoir d’en trouver au moins une ombre. Mais je ne peux pas reconnaître votre vérité comme la vérité éternelle. Pourtant, il est écrit : « Cherchez et vous trouverez. Quel est l’homme d’entre vous qui donnerait à son enfant une pierre, quand il demande du pain ? Votre Père qui est dans les cieux le fera encore moins.”
Les larmes me montent aux yeux en écrivant cela. Je suis bouleversé de part en part, mais je sens que je ne me perdrai pas. Je parviendrai à Dieu, après lequel mon âme tout entière aspire. Cela aussi est un témoignage de l’Esprit Saint. C’est avec lui que je vis et c’est avec lui que je meurs. … L’Esprit de Dieu me témoigne que je suis un enfant de Dieu.

Engels était parfaitement conscient du danger du satanisme. Dans son livre Schelling philosophe en Christ, Engels écrit :

Depuis la terrible Révolution française, un esprit entièrement nouveau et diabolique s’est introduit dans une grande partie de l’humanité, et l’impiété relève la tête avec tant d’audace et de subtilité que l’on pourrait croire que les prophéties de l’Écriture s’accomplissent maintenant. Voyons d’abord ce que disent les Écritures au sujet de l’impiété des derniers temps. Le Seigneur Jésus dit dans Matthieu 24:11-13 : « Il s’élèvera beaucoup de faux prophètes, qui séduiront beaucoup de gens. Et comme l’iniquité abondera, l’amour du plus grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévérera jusqu’à la fin sera sauvé. Cette bonne nouvelle du royaume sera prêchée dans le monde entier, pour servir de témoignage à toutes les nations ; et alors viendra la fin. » Puis, au verset 24 : « Il s’élèvera de faux Christs et de faux prophètes, qui feront de grands signes et des prodiges, au point de séduire, s’il était possible, les élus mêmes. » Et saint Paul dit, dans II Thessaloniciens 2:3 et suivants : « L’homme du péché paraîtra, le fils de la perdition, qui s’élève au-dessus de tout ce qui est Dieu et de tout ce qu’on adore…. » . [La venue de l’impie] a lieu après que Satan a opéré avec toute la puissance, les signes et les prodiges mensongers, et avec toute la séduction de l’injustice chez ceux qui périssent, parce qu’ils n’ont pas reçu l’amour de la vérité pour être sauvés. C’est pourquoi Dieu leur enverra une forte illusion, pour qu’ils croient au mensonge, afin que tous soient condamnés, ceux qui n’ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l’injustice » .

Engels cite les Écritures les unes après les autres, comme le ferait le théologien le plus fidèle à la Bible.

Il poursuit :

Nous n’avons plus rien à voir avec l’indifférence ou la froideur à l’égard du Seigneur. Non, il s’agit d’une inimitié ouverte et déclarée, et à la place de toutes les sectes et de tous les partis, nous n’en avons plus que deux : Les chrétiens et les anti-chrétiens…. Nous voyons les faux prophètes parmi nous…. Ils parcourent l’Allemagne et veulent s’introduire partout ; ils dispensent leurs enseignements sataniques sur les places de marché et portent le drapeau du Diable d’une ville à l’autre, séduisant la pauvre jeunesse, afin de la précipiter dans le plus profond abîme de l’enfer et de la mort.

Il termine ce livre par les paroles de l’Apocalypse :

Voici que je viens bientôt. Garde ce que tu as, afin que personne ne t’enlève ta couronne. Amen.

L’homme qui a écrit de tels poèmes et de tels avertissements contre le satanisme, l’homme qui a prié avec larmes de se méfier de ce danger, l’homme qui a reconnu Marx comme étant possédé par mille démons, est devenu le plus proche collaborateur de Marx dans le combat diabolique, « car le communisme abolit les vérités éternelles, il abolit toute religion, et toute moralité….”

La théologie libérale avait accompli ce changement monstrueux. Elle partage donc avec Marx et Engels la culpabilité des dizaines de millions d’innocents tués par le communisme à ce jour. Quelle tragédie spirituelle !

Marx hait des nations entières

Passant maintenant d’Engels à Marx, l’attitude et la conversation de Marx étaient de nature satanique.

Bien que juif, il a écrit un livre anti-juif pernicieux intitulé La question juive. En 1856, il écrivit dans le New York Tribune un article intitulé « L’emprunt russe » (The Russian Loan) , dans lequel on peut lire :

“Nous savons que derrière tout tyran se cache un homme :
Nous savons que derrière chaque tyran se cache un juif, comme un jésuite se cache derrière chaque pape. De même que l’armée des Jésuites tue toute pensée libre, de même le désir des opprimés aurait des chances de succès, l’utilité des guerres incitées par les capitalistes cesserait, s’il n’y avait pas les Juifs qui volent les trésors de l’humanité. Il n’est pas étonnant qu’il y a 1856 ans, Jésus ait chassé les usuriers du temple de Jérusalem. Ils ressemblaient aux usuriers contemporains qui soutiennent les tyrans et les tyrannies. La majorité d’entre eux sont juifs. Le fait que les Juifs soient devenus si forts qu’ils mettent en danger la vie du monde nous incite à révéler leur organisation, leur but, afin que sa puanteur puisse réveiller les travailleurs du monde pour qu’ils combattent et éliminent un tel chancre.

Hitler a-t-il dit quelque chose de pire que cela ?

(Curieusement, Marx a également écrit le contraire, dans Le Capital, Volume I, sous le titre « Le caractère capitaliste de la manufacture » : « Sur le front du peuple élu, il est écrit qu’il est la propriété de Jéhovah.)

De nombreux autres communistes juifs ont imité Marx dans leur haine des Juifs. Ruth Fisher, dirigeante communiste juive allemande renommée et membre du Parlement, a déclaré :

“Écrasez les capitalistes juifs, pendez-les aux lampadaires, foulez-les aux pieds » .

La question de savoir pourquoi les capitalistes juifs et pas les autres reste sans réponse.

Marx détestait non seulement les Juifs, mais aussi les Allemands :

“Battre les Allemands est le seul moyen de les ressusciter » .

Il parle du « peuple allemand stupide… de l’étroitesse nationale dégoûtante des Allemands » et déclare que « les Allemands, les Chinois et les Juifs doivent être comparés à des colporteurs et à de petits marchands » . Il traite les Russes de « mangeurs de choux » . Les peuples slaves sont des « déchets ethniques » . Il a exprimé sa haine à l’égard de nombreuses nations, mais jamais son amour.

Dans son numéro du Nouvel An 1848, Marx parle de la « racaille slave » , qui comprend les Russes, les Tchèques et les Croates. Ces races « rétrogrades » n’avaient rien d’autre à attendre du destin que « la tâche immédiate de périr dans la tempête révolutionnaire mondiale » . « La prochaine guerre mondiale fera disparaître de la surface de la terre non seulement les classes et les dynasties réactionnaires, mais aussi des peuples réactionnaires entiers. Et ce sera un progrès. » « Leur nom même disparaîtra.”

Ni Marx ni Engels n’étaient préoccupés par la destruction de millions de personnes.

Le premier a écrit:

Une révolution silencieuse et inévitable est en train de se produire dans la société, une révolution qui se soucie aussi peu des vies humaines qu’elle détruit qu’un tremblement de terre se soucie des maisons qu’il ravage. Les classes et les races trop faibles pour dominer les nouvelles conditions d’existence seront vaincues.
En revanche, Hitler, qui ne souhaitait que l’asservissement et non la destruction de ces nations, était beaucoup plus humain que Marx.

Engels a écrit dans la même veine :

La prochaine guerre mondiale fera disparaître de la surface de la terre des peuples réactionnaires entiers. Cela aussi est un progrès.
Il est évident que cela ne peut se faire sans écraser quelque délicate fleur nationale. Mais sans violence et sans pitié, rien ne peut être obtenu dans l’histoire

Marx, l’homme qui se posait en combattant du prolétariat, appelait cette classe de gens « des garçons stupides, des voyous, des ânes » .

Engels savait bien à quoi s’attendre de leur part. Il a écrit :

“La foule démocratique, rouge, oui, même la foule communiste, ne nous aimera jamais » .

Marx identifiait les Noirs à des « idiots » et utilisait constamment le terme offensant de « nègre » dans sa correspondance privée.

Il appelait son rival Lassalle « le nègre juif » et précisait très clairement qu’il ne s’agissait pas d’une épithète de mépris à l’égard d’une seule personne.

Il est maintenant absolument clair pour moi que, comme le montre la forme de sa tête et la texture de ses cheveux, il descend des nègres qui ont participé à la fuite d’Égypte de Moïse (à moins que sa mère ou sa grand-mère paternelle ne se soit hybridée avec un nègre). …. L’arrivisme de ce type est également proche de celui d’un nègre.

Marx a même défendu l’esclavage en Amérique du Nord. Pour cela, il s’est disputé avec son ami Proudhon, qui avait préconisé l’émancipation des esclaves aux États-Unis:

Sans l’esclavage, l’Amérique du Nord, le plus progressiste des pays, se transformerait en un pays patriarcal. Rayez l’Amérique du Nord de la carte du monde et vous aurez l’anarchie – la décadence complète du commerce et de la civilisation modernes. Abolissez l’esclavage et vous aurez rayé l’Amérique de la carte des nations.

Marx a également écrit : « Que le diable emporte les Britanniques ! » . – Malgré ces dénonciations, il existe de nombreux marxistes britanniques et américains.

Satan est dans la famille

La fille préférée de Marx, Eleanor, épouse Edward Eveling avec l’approbation de son père. Ce dernier donnait des conférences sur des sujets tels que « La méchanceté de Dieu » . (Tout comme les satanistes. Contrairement aux athées, ils ne nient pas l’existence de Dieu, sauf pour tromper les autres ; ils connaissent son existence, mais la décrivent comme méchante). Dans ses conférences, il tente de prouver que Dieu « encourage la polygamie et un incitateur au vol » . Il prône le droit de blasphémer. Le poème suivant décrit l’attitude de son mouvement à l’égard du satanisme :

Vers toi mes vers, débridés et audacieux,
Montent, ô Satan, roi du banquet.
Fini l’aspersion, ô prêtre, et le bourdonnement. Car jamais Satan, ô prêtre, ne se tiendra derrière toi.

Ton souffle, ô Satan, inspire mes vers, Quand de mon sein je défie les dieux.
Des rois pontificaux, des rois inhumains :
Throe est l’éclair qui fait trembler les esprits. Ô âme égarée loin du droit chemin, Satan est miséricordieux. Voyez Héloïse !

Comme un tourbillon qui déploie ses ailes,
Il passe, ô peuple, Satan le grand !
Salut, de la raison, le grand Vindicateur !
A toi s’élèvent l’encens et les vœux !
Tu as détrôné le dieu du prêtre

QUATRE – TROP TARD

La révélation d’une femme de ménage

Un Américain, le commandant Sergius Riis, avait été un disciple de Marx. Affligé par la nouvelle de sa mort, il se rendit à Londres pour visiter la maison où avait vécu le maître admiré. La famille avait déménagé. La seule personne qu’il a pu trouver pour l’interviewer est l’ancienne femme de ménage de Marx, Helen Demuth. Elle a dit ces mots étonnants à son sujet :

“C’était un homme qui craignait Dieu : Lorsqu’il était très malade, il priait seul dans sa chambre devant une rangée de bougies allumées, en s’attachant une sorte de mètre ruban autour du front.

Cela rappelle les phylactères, instruments portés par les juifs orthodoxes lors de leurs prières matinales. Mais Marx avait été baptisé dans la religion chrétienne, n’avait jamais pratiqué le judaïsme et devint plus tard un combattant contre Dieu. Il a écrit des livres contre la religion et a élevé tous ses enfants dans l’athéisme. Quelle était cette cérémonie qu’une servante ignorante considérait comme une occasion de prier ? Les juifs, qui récitent leurs prières avec un phylactère sur le front, n’ont pas l’habitude d’avoir une rangée de bougies devant eux. S’agissait-il d’une pratique magique ? [NDLR: Les bougies sont courantes dans les arts magiques et la sorcellerie.]

Nous savons également que Marx, présumé athée, avait un buste de Zeus dans son bureau. Dans la mythologie grecque, Zeus, divinité païenne cruelle, s’est transformé en bête et a pris l’Europe en otage, comme le fera plus tard le marxisme.

(Par coïncidence, la figure nue de Zeus, connu pour sa férocité, est le seul emblème religieux dans le hall principal du bâtiment des Nations unies à New York).

Lettres de famille

Un autre indice possible est contenu dans une lettre écrite à Marx par son fils Edgar le 31 mars 1854. Elle commence par ces mots surprenants :

“Mon cher diable » .

Qui a jamais vu un fils s’adresser ainsi à son père ? C’est pourtant ainsi qu’un sataniste écrit à l’être aimé. Le fils aurait-il été initié lui aussi ?

Tout aussi significatif, la femme de Marx s’adresse à lui comme suit, dans une lettre d’août 1844,

Votre dernière lettre pastorale, grand prêtre et évêque des âmes, a de nouveau donné le repos et la paix à vos pauvres brebis.

Marx avait exprimé, dans Le Manifeste communiste, son désir d’abolir toute religion, ce qui, on peut le supposer, incluait également l’abolition de la secte sataniste. Pourtant, sa femme le qualifie de grand prêtre et d’évêque. De quelle religion ? La seule religion européenne qui compte des grands prêtres est la religion sataniste. Quelles lettres pastorales a-t-il écrites, lui que l’on croyait athée ? Où se trouvent-elles ? C’est une partie de la vie de Marx qui n’a pas été étudiée.

Témoignages des biographes

Certains biographes de Marx ont sans doute eu des soupçons sur le lien entre le culte du diable et le sujet de leur livre. Mais n’ayant pas la préparation spirituelle nécessaire, ils n’ont pas pu comprendre les faits qu’ils avaient sous les yeux. Leur témoignage n’en est pas moins intéressant.

Le marxiste Franz Mehring a écrit dans son livre Karl Marx :

Bien que le père de Karl Marx soit mort quelques jours après le vingtième anniversaire de son fils, il semble avoir observé avec une secrète appréhension que le démon est son fils préféré…. Henry Marx ne pensait pas et ne pouvait pas penser que la riche culture bourgeoise qu’il avait transmise à son fils Karl comme un précieux héritage pour la vie contribuerait à délivrer le démon qu’il craignait.

Marx est mort dans le désespoir, comme tous les satanistes. Le 25 mai 1883, il écrivait à Engels :

“Comme la vie est inutile et vide, mais comme elle est désirable !”

Marx était le contemporain de grands chrétiens : le compositeur Mendelsohn, le philanthrope Dr Barnardo, les prédicateurs Charles Spurgeon et le général William Booth. Tous vivaient près de lui à Londres. Pourtant, il ne les mentionne jamais. Ils n’ont pas été observés.

Il y a un secret derrière Marx que peu de marxistes connaissent. Lénine a écrit :

“Après un demi-siècle, aucun marxiste n’a compris Marx » .

Le secret de la vie de Lénine

Lénine

La vie de Lénine recèle également un secret.

Lorsque j’ai écrit la première édition de ce livre, je n’avais connaissance d’aucune implication personnelle de Lénine dans les rituels de la secte sataniste. Depuis, j’ai lu Le jeune Lénine de Trotsky, qui était l’ami intime et le collaborateur de Lénine. Il écrit que Lénine, à l’âge de seize ans, a arraché la croix de son cou, a craché dessus et l’a foulée aux pieds, une cérémonie sataniste très courante.

Il ne fait aucun doute que Lénine était dominé par l’idéologie sataniste. Comment expliquer autrement la citation suivante, tirée de sa lettre à l’écrivain russe Maxim Gorki, datée des 13 et 14 novembre 1913 :

Des millions de péchés, de méfaits, d’oppressions et d’épidémies physiques sont plus facilement découverts par le peuple, et donc moins dangereux, que la plus mince idée d’un petit dieu spirituel, même déguisé sous l’habit le plus décoratif.

En fin de compte, Satan l’a trompé, comme il le fait pour tous ses adeptes. Lénine a été amené à écrire ce qui suit à propos de l’État soviétique :

L’État ne fonctionne pas comme nous le souhaitions. Comment fonctionne-t-il ? La voiture n’obéit pas. Un homme est au volant et semble la diriger, mais la voiture ne va pas dans la direction souhaitée. Elle se déplace comme le veut une autre force.
Quelle est cette autre force mystérieuse qui supplante même les plans des dirigeants bolcheviques ? Ont-ils cédé à une force qu’ils espéraient maîtriser, mais qui s’est avérée plus puissante qu’ils ne l’avaient prévu et qui les a conduits au désespoir ?

Dans une lettre de 1921, Lénine écrit :

J’espère que nous serons pendus à une corde puante. Et je n’ai pas perdu l’espoir que cela arrive, parce que nous ne pouvons pas condamner la bureaucratie sale. Si cela arrive, ce sera bien fait.

C’était le dernier espoir de Lénine après toute une vie de lutte pour la cause communiste : être pendu à juste titre à une corde puante. Cet espoir ne s’est pas réalisé pour lui, mais presque tous ses collaborateurs ont finalement été exécutés par Staline après avoir avoué publiquement qu’ils avaient servi d’autres puissances que le prolétariat qu’ils prétendaient aider.

Staline depuis la terrasse du mausolée de Lénine
“Staline le bien-aimé est le bonheur du peuple”

Quelle confession de la part de Lénine ! « J’espère que nous serons pendus à une corde puante » .

Il est intéressant de noter qu’à l’âge de treize ans, Lénine a écrit ce que l’on pourrait appeler des poèmes « prophétiques » annonçant la faillite dans laquelle sa vie allait s’achever. Il avait décidé de servir l’humanité, mais sans Dieu. Voici ce qu’il a écrit :

En sacrifiant ta vie gratuitement pour les autres, tu auras le triste sort de voir que ton sacrifice est totalement vain.

Que ton sacrifice soit totalement stérile.

Quel contraste avec les paroles d’un autre combattant, l’apôtre saint Paul, qui écrivait vers la fin de sa vie :
J’ai mené un bon combat, j’ai achevé ma course […], et dès lors m’est réservée la couronne de justice que le Seigneur, le juste juge, me donnera en ce jour-là (2 Timothée 4:7, 8).

Il existe un « trop tard » dans nos affaires spirituelles. Ésaü s’est repenti avec beaucoup de larmes d’avoir vendu son droit d’aînesse, mais le marché ne pouvait pas être défait. Et Lénine, fondateur de l’État soviétique, a dit sur son lit de mort : « J’ai commis une grande erreur,
J’ai commis une grande erreur. Mon cauchemar est d’avoir le sentiment d’être perdu dans un océan de sang des innombrables victimes. Il est trop tard pour revenir. Pour sauver notre pays, la Russie, nous aurions eu besoin d’hommes comme François d’Assise. Avec dix hommes comme lui, nous aurions sauvé la Russie.

CINQ – UNE CONTREFAÇON CRUELLE

Boukharine, Staline, Mao, Ceausescu, Andropov

Il peut être instructif à ce stade de jeter un coup d’œil sur quelques marxistes modernes.

Boukharine, secrétaire général de l’Internationale communiste et l’un des principaux doctrinaires marxistes de ce siècle, dès l’âge de douze ans, après avoir lu le livre de l’Apocalypse dans la Bible, a souhaité devenir l’Antéchrist. Comprenant, d’après les Écritures, que l’Antéchrist devait être le fils de la grande prostituée apocalyptique, il a insisté pour que sa mère avoue avoir été une prostituée.

À propos de Staline, il écrivit :

“Ce n’est pas un homme, mais un démon » .

Boukharine comprit trop tard entre quelles mains il était tombé. Dans une lettre qu’il a fait mémoriser à sa femme juste avant son arrestation et son exécution, il a déclaré :

Je quitte la vie :
Je quitte la vie. Je baisse la tête…. Je sens mon impuissance devant une machine infernale…

Il avait participé à l’édification d’une guillotine – l’État soviétique – qui avait tué des millions de personnes, pour apprendre à la fin que sa conception avait été faite en enfer. Il avait voulu être l’Antéchrist. Il est devenu au contraire une victime de l’Ennemi.

De même, Kaganovitch, beau-frère et plus proche collaborateur de Staline, écrit à son sujet dans son journal (qui sera bientôt publié) :

J’ai commencé à comprendre comment Staline avait réussi à se transformer en dieu. Il n’avait pas une seule caractéristique humaine… . Même lorsqu’il manifestait des émotions, elles ne semblaient pas lui appartenir. Elles étaient aussi fausses que l’écaille au sommet de l’armure. Et derrière cette écaille, il y avait Staline lui-même, un morceau d’acier. Pour une raison ou une autre, j’étais convaincu qu’il vivrait éternellement…. Il n’était pas du tout humain…

Rosa (sa femme) dit qu’il la fait grimper à un arbre en ne portant que des bas. J’ai l’impression qu’il n’est pas du tout humain. Il est trop inhabituel pour être un être humain ordinaire. Bien qu’il ait l’air d’un homme ordinaire. Quelle énigme. Qu’est-ce que j’écris ? Suis-je fou à lier, moi aussi ?


Staline décrit à Kaganovitch son exercice spirituel. Les croyants de diverses religions s’adonnent à la méditation sur ce qui est beau, sage et bon, pour les aider à devenir plus aimants. Staline s’adonne à la pratique inverse.

Il a dit à Kaganovitch :

Lorsque je dois dire au revoir à quelqu’un, je l’imagine à quatre pattes et il devient dégoûtant. Parfois, je me sens attaché à une personne qui devrait être éliminée pour le bien de la cause. Que pensez-vous que je fasse ? J’imagine cette personne en train de chier, d’exhaler des odeurs nauséabondes, de péter, de vomir – et je n’ai aucune pitié pour elle. Plus vite elle cessera de puer sur cette terre, mieux ce sera. Et je raye cette personne de mon cœur.

L’un des amusements de Staline consistait à mettre des lunettes vertes sur les yeux des chevaux pour leur faire voir le foin comme de l’herbe. Pire encore, il mettait les lunettes noires de l’athéisme sur les yeux des hommes pour les empêcher de voir les pâturages de Dieu, réservés aux âmes croyantes.

Le journal contient de nombreuses informations révélatrices :

Staline a souvent parlé de la religion comme de notre ennemi le plus redoutable. Il déteste la religion pour de nombreuses raisons, et je partage ses sentiments. La religion est un ennemi rusé et dangereux… Staline pense également que la séparation d’avec les enfants devrait être la principale punition pour tous les parents appartenant à des sectes, qu’ils aient été condamnés ou non.
Je pense qu’il s’adonnait secrètement à l’astrologie. Une de ses particularités m’a toujours étonné. Il parlait toujours de Dieu et de la religion avec un respect voilé. Au début, j’ai cru que je l’imaginais, mais peu à peu, je me suis rendu compte que c’était vrai. Mais il était toujours prudent lorsque le sujet était abordé.

Et je n’ai jamais pu savoir exactement quel était son point de vue.

Une chose est devenue très claire pour moi : sa façon de traiter Dieu et la religion était très particulière. Par exemple, il n’a jamais dit directement qu’il n’y avait pas de Dieu…

En sa présence, les gens cessaient en quelque sorte d’être eux-mêmes. Tous l’admiraient et le vénéraient. Je ne pense pas qu’il ait éprouvé un grand amour pour la nation : il était au-dessus d’elle. Cela peut paraître étrange, mais il occupait une position auparavant réservée à Dieu.

Le fait d’avoir des ennemis et d’être parfois obligé de les combattre fait partie intégrante de la tragédie de l’existence humaine. Marx se réjouissait de cette triste nécessité. Sa phrase favorite, qu’il répétait souvent, était :

“Il n’y a rien de plus beau au monde que de mordre ses ennemis » .

Il n’est pas étonnant que son disciple Staline ait déclaré que la plus grande joie est de cultiver l’amitié d’une personne jusqu’à ce qu’elle pose sa tête en toute confiance sur votre poitrine, puis de lui planter un poignard dans le dos – un plaisir inégalable.

Marx avait exprimé la même idée bien avant. Il écrivait à Engels à propos des camarades avec lesquels il n’était pas d’accord :

Nous devons faire croire à ces coquins que nous continuons nos relations avec eux, jusqu’à ce que nous ayons le pouvoir de les balayer de notre route, d’une manière ou d’une autre.

Il est significatif que de nombreux compagnons d’armes de Staline aient parlé de lui comme d’un démon.

Milovan Djilas, éminent dirigeant communiste yougoslave qui connaissait personnellement bien Staline, a écrit :

Le pouvoir et l’énergie démoniaques de Staline ne consistaient-ils pas à faire passer le mouvement [communiste] et chacun de ses membres dans un état de confusion et de stupéfaction, créant et assurant ainsi son règne de la peur ?

Il dit également à propos de l’ensemble de la classe dirigeante de l’U.R.S.S. :

“Ils font semblant de croire qu’ils sont les meilleurs : Ils font semblant de croire à l’idéal du socialisme, à une future société sans classes. En réalité, ils ne croient en rien d’autre qu’en un pouvoir organisé.


Même la fille de Staline, Svetlana Alliluyeva, qui n’a jamais connu les profondeurs du satanisme, a écrit,

Beria (le ministre soviétique de l’intérieur) semble avoir eu un lien diabolique avec toute notre famille… Beria était un démon effrayant et malfaisant…. Un terrible démon avait pris possession de l’âme de mon père.

Svetlana ajoute que Staline considérait la bonté et l’amour indulgent comme pires que le plus grand des crimes.

Telle est la prêtrise satanique qui dirige près de la moitié de l’humanité et qui ordonne des actes terroristes dans le monde entier.

Staline était l’enfant illégitime d’un propriétaire terrien et d’une servante. Son père, craignant la notoriété, a soudoyé un cordonnier pour qu’il épouse la jeune fille enceinte, mais la liaison a été connue. Pendant son enfance, Staline a fait l’objet de moqueries, étant considéré comme un bâtard. Pendant l’adolescence de Staline, son vrai père est retrouvé assassiné. Staline est soupçonné, mais aucune preuve ne peut être trouvée contre lui.

Plus tard, alors qu’il est étudiant au séminaire, il rejoint les cercles communistes. C’est là qu’il tombe amoureux d’une jeune fille nommée Galina. Les communistes étant pauvres, Galina est chargée de devenir la maîtresse d’un homme riche et de fournir ainsi de l’argent au parti. Lorsque Staline lui-même vota en faveur de cette proposition, elle se coupa les veines.

Staline a lui-même commis des vols pour le compte du parti, et il a très bien réussi. Il ne s’est approprié aucune partie de l’argent volé.

Il a également été chargé d’infiltrer la police tsariste. Il doit jouer un double rôle, dénoncer les membres secondaires du Parti pour découvrir les secrets de la police et protéger les communistes plus importants.

En tant que jeune homme, Staline a donc bénéficié des pires conditions d’hérédité, d’éducation et de développement possibles. Il était donc facilement susceptible d’être influencé par les satanistes. Il est devenu ce que son nom, Staline, signifie : un homme d’acier, sans la moindre émotion humaine ni pitié.

(Andropov, ancien premier ministre des Soviets, a produit la même impression que Staline. Le ministre français des affaires étrangères, Claude Cheysson, qui l’a rencontré, a décrit Andropov dans Le Monde comme

“un homme sans chaleur d’âme, qui travaille comme un ordinateur…. Il ne montre aucune émotion…. Il est extrêmement serein…. Il est précis dans ses mots et ses gestes comme un ordinateur » .

Staline, comme Marx, Engels et Bauer avant lui, a commencé par être croyant. À quinze ans, il écrit son premier poème, qui commence par ces mots :

“Grande est la providence du Tout-Puissant » .

Il est devenu séminariste parce qu’il sentait que c’était sa vocation. Il y devient d’abord darwiniste, puis marxiste.

Lorsqu’il a commencé à écrire en tant que révolutionnaire, les premiers pseudonymes qu’il a utilisés étaient « Demonoshvili » , qui signifie quelque chose comme « le démoniaque » en géorgien, et « Besoshvili » , « le diabolique » .

D’autres preuves de l’influence sataniste parmi les dirigeants marxistes sont également significatives. Troitskaia, la fille du maréchal soviétique Tuhatchevsky, l’un des plus hauts gradés de l’Armée rouge qui fut plus tard fusillé par Staline, a écrit à propos de son père qu’il avait une image de Satan dans le coin est de sa chambre à coucher, là où les orthodoxes placent habituellement leurs icônes.

Lorsqu’un certain communiste de Tchécoslovaquie a été nommé à la tête du Conseil d’État pour les affaires religieuses, une institution dont le but est d’espionner les croyants et de les persécuter, il a pris le nom de « Hruza » , qui signifie en slovaque « horreur » , une appellation utilisée pour désigner le « diable » .

L’un des chefs d’une organisation terroriste en Argentine a pris le surnom de « Satanovsky » .

Anatole France, célèbre écrivain communiste français, a initié certains des plus grands intellectuels français au communisme. Lors d’une récente exposition d’art démoniaque à Paris, l’une des pièces présentées était la chaise spécifique utilisée par cet écrivain communiste pour présider les rituels satanistes. Ses accoudoirs et ses pieds cornus étaient recouverts de fourrure de chèvre. [NDLR: Bien que ce livre soit excellent, nous regrettons le manque de références, certaines comme celles-ci n’ont pus être vérifiées.]

Le centre britannique du satanisme est le cimetière de Highgate à Londres, où Karl Marx est enterré. De mystérieux rites de magie noire sont célébrés sur cette tombe.
[NDLR: Voir la présentation des personnes notoires]

cimetière de Highgate
Dévotion et délation de Karl Marx sur sa tome

C’est le lieu d’inspiration du vampire de Highgate, qui a attaqué plusieurs jeunes filles en 1970. Hua KuoFeng, réalisateur de Red China, lui a également rendu hommage.

Ulrike Meinhof, Gudrun Enslin et d’autres terroristes rouges allemands ont également été impliqués dans l’occultisme.

L’une des plus anciennes sectes adoratrices du diable, les Yézidis syriens, a fait l’objet d’un article dans un magazine athée soviétique, Nauka I Religia (juillet 1979). C’est la seule secte religieuse sur laquelle le magazine n’a pas écrit un seul mot de critique.
Par ailleurs, Mao Tsé-Toung a écrit :

“Dès l’âge de huit ans, j’ai détesté la Chine : Dès l’âge de huit ans, j’ai détesté Confucius. Dans notre village, il y avait un temple confucianiste. De tout mon cœur, je ne souhaitais qu’une chose : le détruire jusqu’à ses fondements.

Est-il normal qu’un enfant de huit ans ne souhaite que la destruction de sa propre religion ? De telles pensées appartiennent à des personnages démoniaques.

À l’autre extrême, on trouve saint Paul de la Croix qui, dès l’âge de huit ans, passait trois heures en prière chaque nuit.

Le culte de la violence

Engels écrivait dans l’Anti-Duhring :

“L’amour universel pour les hommes est une absurdité.”

Et dans une lettre à un ami, il dit :

“Nous avons besoin de haine plutôt que d’amour – du moins pour l’instant”

Che Guevara a bien appris ses leçons marxistes. Dans ses écrits, il se fait l’écho des sentiments d’Engels :

La haine est un élément du combat, une haine impitoyable contre l’ennemi, une haine qui élève le révolutionnaire au-dessus des limites naturelles de l’homme et le transforme en une machine à tuer efficace, destructrice, froide, calculatrice et froide.

C’est ce que le diable veut faire des hommes. Il n’a que trop bien réussi avec de nombreux dirigeants notoires de la race humaine. Au cours de notre vie, nous en avons vu plus que notre part : Hitler, Eichmann, Mengele, Staline, Mao, Andropov, Pol Pot…

Marx écrit dans Le Manifeste communiste :

Les communistes dédaignent de faire un secret de leurs opinions et de leurs intentions. Ils déclarent ouvertement que leurs objectifs ne peuvent être atteints que par le renversement violent de toute la structure sociale existante. – …Il n’y a qu’une seule méthode pour abréger les douleurs meurtrières de la mort de l’ancienne société, les douleurs sanglantes de la naissance de la nouvelle société ; une seule méthode pour les simplifier et les concentrer, c’est le terrorisme révolutionnaire.

Il y a eu beaucoup de révolutions dans l’histoire. Chacune avait un objectif. La révolution américaine, par exemple, s’est faite pour l’indépendance nationale, la révolution française pour la démocratie. Marx est le seul à formuler comme objectif une « révolution permanente » , le terrorisme et l’effusion de sang pour la révolution. Il n’y a pas de but à atteindre, la violence jusqu’au paroxysme est son seul objectif. C’est ce qui distingue le satanisme du péché humain ordinaire.

Marx qualifiait les terroristes exécutés pour meurtre dans la Russie tsariste de « martyrs immortels » ou de « types étonnamment capables » .

Engels a lui aussi parlé de la « vengeance sanglante que nous prenons » . Cette expression revient souvent. « Dans l’intérieur (de la Russie), quelle évolution splendide. Les tentatives de meurtre deviennent fréquentes.

“Laissant de côté le problème de la moralité […], pour un révolutionnaire, tous les moyens sont bons qui mènent au but, les violents, comme les apparemment apprivoisés.”

Le marxiste Lénine, alors qu’il vivait sous le régime démocratique de Kerensky en Russie, a déclaré :

Ce qu’il faut, c’est de l’énergie sauvage et encore de l’énergie. Je m’étonne, voire je suis horrifié, que plus de six mois se soient écoulés depuis que l’on parle de bombes et qu’aucune bombe n’ait été fabriquée.

Quelques brèves citations permettent de mieux comprendre les attitudes fondamentales des communistes.

Nous faisons la guerre à toutes les idées dominantes de religion, d’État, de pays, de patriotisme. L’idée de Dieu est la clé d’une civilisation pervertie. Elle doit être détruite.

Marx

Les communistes dédaignent de dissimuler leurs vues et leurs objectifs. Ils déclarent ouvertement que leurs objectifs ne peuvent être atteints que par le renversement forcé de toutes les conditions sociales existantes. Que la classe dirigeante tremble devant une révolution communiste.

Le Manifeste communiste

Nous devons utiliser toutes les ruses, les esquives, les astuces, les méthodes illégales, la dissimulation et le voilement de la vérité. La règle de base est d’exploiter les intérêts contradictoires des États capitalistes.

Lénine


L’athéisme fait partie intégrante du marxisme. Le marxisme est un matérialisme. Nous devons combattre la religion. C’est l’ABC de tout matérialisme et par conséquent du marxisme.

Lénine


Lénine, dans un discours en 1922 :

Nous prendrons d’abord l’Europe de l’Est, puis les masses d’Asie. Ensuite, nous encerclerons et minerons les États-Unis, qui tomberont entre nos mains sans lutte, comme un fruit trop mûr.

Si quelqu’un croit que nos sourires impliquent l’abandon des enseignements de Marx, Engels et Lénine, il se trompe lui-même. Ceux qui attendent cela doivent attendre qu’une crevette apprenne à siffler.

Khrouchtchev


Cruauté satanique

Soljenitsyne révèle dans son monumental Archipel du Goulag que le passe-temps de Yagoda, ministre de l’intérieur de l’Union soviétique, était de se déshabiller et de tirer, nu, sur des images de Jésus et des saints. Quelques camarades se joignaient à lui. Encore un rituel sataniste pratiqué dans les hautes sphères communistes !

Pourquoi des hommes censés représenter le prolétariat devraient-ils tirer sur l’image de Jésus, un prolétaire, ou de la Vierge Marie, une femme pauvre ?

Certains chrétiens pentecôtistes se souviennent d’un incident survenu en Russie pendant la Seconde Guerre mondiale. Un de leurs prédicateurs avait exorcisé un démon qui, en quittant le possédé, l’avait menacé :

“Je me vengerai » .

Quelques années plus tard, le prédicateur pentecôtiste qui avait pratiqué l’exorcisme fut fusillé pour sa foi. L’officier qui l’a exécuté a dit juste avant d’appuyer sur la gâchette :

“Maintenant, nous sommes quittes » .


Les officiers communistes sont-ils parfois possédés par des démons ? Serviraient-ils d’instruments de vengeance de Satan contre les chrétiens qui cherchent à renverser son trône ? Cela ne fait aucun doute.

En Russie, à l’époque de Staline, des communistes ont tué un certain nombre d’innocents dans les caves de la police. Après leur action sanglante, l’un des hommes de main se ravisa et alla de cadavre en cadavre en s’excusant :

« Je n’avais pas l’intention de faire cela. Je ne vous connais pas. Parle-moi, bouge, pardonne-moi. »

Un de ses camarades l’a alors tué. Un troisième s’est converti et a raconté plus tard l’incident.

Russkaia Misl, magazine de langue russe en France, rapporte (13 mars 1975) ce qui suit de l’Union soviétique :

D. Profirevitch, en Russie, avait une fille et un fils qu’il avait élevés dans la foi. Naturellement, ils ont dû fréquenter les écoles communistes. A l’âge de douze ans, la fille rentra à la maison et dit à ses parents : « La religion est une superstition capitaliste. Nous vivons des temps nouveaux » . Elle abandonne complètement le christianisme. Elle a ensuite adhéré au parti communiste et est devenue membre de la police secrète. Ce fut un terrible coup dur pour ses parents.

Plus tard, la mère a été arrêtée. Sous le régime communiste, personne ne possède rien, qu’il s’agisse d’enfants, d’une femme ou d’une liberté personnelle. L’État peut les lui retirer à tout moment.
Après l’arrestation de la mère, le fils a manifesté une grande tristesse. Un an plus tard, il s’est pendu. D. Profirevitch a retrouvé cette lettre de suicide :

Père, me jugerez-vous ? Je suis membre de l’organisation de jeunesse communiste. J’ai dû signer que je rapporterais tout aux autorités soviétiques. Un jour, la police m’a appelé et Varia, ma sœur, m’a demandé de signer une dénonciation contre Mère parce qu’en tant que chrétienne, elle est considérée comme une contre-révolutionnaire. J’ai signé. Je suis coupable de son emprisonnement. Maintenant, ils m’ont ordonné de t’espionner. La conséquence sera la même. Pardonnez-moi, mon père, j’ai décidé de mourir.

Le suicide du fils a été suivi de l’emprisonnement du père.

Le prêtre Zynoviy Kovalyk a été arrêté par les bolcheviks en 1941 et enfermé dans la prison de Brygidka à Lviv, en Ukraine. Lorsque les Allemands ont chassé les bolcheviks cette même année, les habitants de la ville ont trouvé le corps taché de sang du prêtre cloué au mur par les bras et les jambes, comme s’il s’agissait du Seigneur crucifié. Ils trouvèrent également environ six mille prisonniers massacrés, tués d’une balle dans la nuque, que les bolcheviks avaient fait disparaître et avaient entassés les uns sur les autres dans les caves et recouverts de plâtre.

Le docteur O. Sas-Yavorsky (U.S.A.), après la prise de Lviv par les Allemands vers la fin juin 1941, partit à la recherche de son père emprisonné et vit dans la prison un prêtre cloué sur une croix. Dans son estomac tranché, les communistes avaient placé le corps d’un enfant à naître, enlevé du ventre de sa mère, dont le cadavre gisait sur le sol imbibé de sang. D’autres témoins oculaires ont reconnu qu’il s’agissait du corps du célèbre missionnaire, le père Kovalyk.

D’une manière générale, pour les communistes, la vie humaine n’est pas chère.

Lénine écrivait pendant la guerre civile,

Il serait honteux de ne pas fusiller les hommes qui n’obéissent pas à l’appel sous les drapeaux et évitent la mobilisation. Rendre compte plus souvent des résultats.

Pendant la guerre civile espagnole, les communistes ont tué quatre mille prêtres catholiques.

Un prêtre orthodoxe russe renommé, Dudko, a rapporté que six communistes étaient entrés dans la maison du père Nicholas Tchardjov, lui avaient arraché les cheveux, arraché les yeux, fait de nombreuses entailles sur son corps, passé un fer à repasser dessus, puis l’avaient abattu de deux balles. Cela s’est passé la veille de la Saint-Nicolas. Il s’agit non seulement d’un crime contre le prêtre, mais aussi d’une moquerie à l’égard du saint.

Le 10 mars 1983, la presse occidentale a rapporté qu’au Zimbabwe, trois mille membres de la tribu des Ndebele avaient été tués par les soldats du dictateur communiste Mugabe. L’armée avait été formée par des instructeurs nord-coréens.

Les membres de la tribu ont été invités à abattre eux-mêmes leurs fils adultes ; s’ils refusaient, ils étaient abattus en même temps que leurs fils.

Le diable singe Dieu en promettant des eaux tranquilles et de verts pâturages qui ne lui appartiennent pas. Il doit donc faire semblant. Et moins il peut offrir, plus il doit faire semblant. Pour s’implanter, il se fait passer pour quelqu’un d’autre (vous êtes-vous déjà interrogé sur les organisations communistes ?) et fait des gestes bienveillants. Mais il n’apporte que la misère, la mort et la destruction – « affreuse, complète, universelle et sans pitié » .

Le Diable est jaloux et devient furieux face à la beauté spirituelle. Elle l’offense. Comme il ne peut pas être beau – il a perdu sa beauté primitive à cause de son orgueil – il ne veut pas que quelqu’un d’autre le soit. S’il n’y avait pas la beauté spirituelle des saints, le Diable ne serait pas si laid. C’est pourquoi il souhaite défigurer toute beauté.

C’est pourquoi les chrétiens de la prison communiste roumaine de Piteshti, ainsi que d’autres prisons communistes, ont été torturés – non seulement pour trahir les secrets de l’église clandestine, mais aussi pour blasphémer.

Les régimes sous lesquels de telles horreurs se produisent encore et encore, des régimes qui transforment même les chrétiens en meurtriers et en dénonciateurs de victimes innocentes, ne peuvent qu’être abhorrés par les enfants de Dieu. Quiconque leur souhaite bonne chance participe à leurs mauvaises actions (2 Jean 11).

Le péché satanique

J’ai écrit que le marxisme est satanique. Mais tout péché n’est-il pas satanique par nature ? J’ai longtemps réfléchi à cette question. Puis, une nuit, j’ai fait un rêve qui a clarifié ma pensée.

J’y voyais une prostituée qui draguait des jeunes gens qui sortaient de l’église. Je lui ai demandé :

“Pourquoi as-tu choisi cet endroit pour travailler ? » .

Elle m’a répondu :

“Ce qui me plaît, c’est d’entraîner les jeunes gens dans le péché, comme ils sortent de l’adoration.”

Dans le Nouveau Testament, le mot grec pour adoration est proskuneo, qui signifie étymologiquement « embrasser » (NDLR: Se jeter au pieds…). L’adorateur qui sort de la maison de prière porte encore sur sa bouche l’empreinte des baisers de Jésus. Quelle satisfaction de le souiller à ce moment-là, de le faire se vautrer dans le lit de la lascivité et de lui dire ensuite :

“Tu vois, Jésus que tu as prié n’a pas pu t’empêcher de pécher ne serait-ce que cinq minutes. Il n’est pas ton Sauveur. Mon maître est plus puissant que lui. «

L’impureté sexuelle est un péché humain courant. Méphistophélès demande à Faust de séduire Gretchen alors qu’elle se rend à l’église, un livre de prières à la main. Il s’agit là d’un acte satanique.

Écrire, lire ou regarder de la pornographie est un autre péché courant. Mais c’est une caractéristique de la pornographie américaine, qui promeut l’inceste, la pédérastie et la perversion, qu’elle soit remplie des noms de Dieu, du Christ et de Marie. À chaque obscénité correspond un mot sacré, à chaque geste laid une expression céleste, pour souiller et profaner ce qui est saint. C’est un acte satanique.

Tuer l’innocent est également un péché très courant. Crucifier Jésus, le Fils de Dieu, entre deux voleurs afin de suggérer la culpabilité par association est satanique.

Tuer des ennemis politiques, faire la guerre et attiser la révolution – même par des massacres – prouve le péché humain. Mais les communistes russes, après avoir tué des millions de leurs ennemis, ont retourné leur violence contre leurs amis, y compris leurs plus illustres camarades, les principaux responsables de leur révolution. C’est le sceau du satanisme. C’est la révolution non pas pour atteindre un but, mais la révolution et le meurtre pour le meurtre, ce que Marx appelait « la révolution permanente » .

Sur les vingt-neuf membres et candidats du Comité central des communistes soviétiques en 1917, l’année de la révolution, seuls quatre ont eu la chance de quitter cette vie avant d’en être privés. L’un d’entre eux a été déclaré « ennemi de la révolution » à titre posthume. Treize ont été condamnés à mort par leurs propres camarades ou ont disparu. Deux ont été tellement persécutés par Staline qu’ils se sont suicidés.

Être un criminel ou un mafioso est un péché humain odieux, mais le satanique va au-delà de ce que la mafia autorise.

Tomasso Buscetta, un représentant de la mafia sicilienne, qui est devenu un informateur de la police et a révélé les crimes de cette organisation, a déclaré : « Le crime est une nécessité à laquelle on ne peut se soustraire :

Le crime est une nécessité que l’on ne peut éviter, mais qui a toujours une raison. Chez nous, le crime gratuit, qui est une fin en soi ou le résultat d’une impulsion individuelle, est exclu. Nous excluons, par exemple, la « vendetta transversale » , c’est-à-dire le meurtre calculé d’une personne proche de la cible de notre crime, comme une femme, des enfants ou des parents.

Le crime satanique est d’un autre ordre. Hitler a tué des millions de Juifs, y compris des bébés, sous prétexte que les Juifs avaient fait du mal au peuple allemand. Pour les communistes, il allait de soi d’emprisonner et de torturer les membres de la famille d’une personne qu’ils considéraient comme coupable. Lorsque j’ai été emprisonné, il allait de soi que ma femme devait l’être aussi et que mon fils devait être exclu de toute scolarité.

Le marxisme n’est pas une idéologie humaine pécheresse ordinaire. Il est satanique dans sa manière de pécher, comme il est satanique dans les enseignements qu’il dispense. Ce n’est que dans certaines circonstances qu’il a ouvertement avoué son caractère satanique.

On peut juger un maître par ses disciples. Le peintre Picasso a dit : « Un artiste doit trouver le moyen de convaincre son public de la pleine vérité de ses mensonges » .

Qui est l’homme qui a écrit cette monstruosité ? Celui-là même qui a écrit :

Je suis venu au communisme comme on vient à une fontaine…. Mon adhésion au communisme est la conséquence logique de toute ma vie et de tout mon travail.

On devient donc marxiste parce que son idéal est un mensonge. Quelle tristesse !

Pour se faire une idée de la vie et de la pensée d’un sataniste, il suffit de lire quelques extraits légers des écrits d’Alister Crowley (1875-1947), bien connu pour son implication dans les pratiques occultes :

N’ayez pas pitié des déchus. Je ne les ai jamais connus. Je ne les console pas. Je déteste les consolateurs et les consolés.
Le loup ne trahit que les cupides et les perfides, le corbeau ne trahit que les mélancoliques et les malhonnêtes. Mais je suis celui dont il est écrit : Il séduira les élus : Il séduira les élus… Je me suis repu du sang des saints, mais les hommes ne me soupçonnent pas d’être leur ennemi, car ma toison est blanche et chaude, mes dents ne sont pas celles de quelqu’un qui déchire la chair, mes yeux sont doux, et ils ne me reconnaissent pas comme le chef des esprits de mensonge…
Tu es belle, Babylone, et désirable…. Ô Babylone, Babylone, mère puissante, qui chevauche les bêtes couronnées, laisse-moi m’enivrer du vin de ta fornication, laisse tes baisers me dévergonder jusqu’à la mort.

Crowley cite une multitude de dictons de ce type tirés d’ouvrages satanistes anciens totalement inconnus et inaccessibles aux non-initiés.

Versions blasphématoires du Notre Père

Le journal soviétique Sovietskaia Molodioj du 14 février 1976 a apporté une nouvelle preuve éclatante des liens entre le marxisme et le satanisme. Il décrit comment les communistes militants ont pris d’assaut les églises et se sont moqués de Dieu sous le régime tsariste. À cette fin, les communistes utilisaient une version blasphématoire du « Notre Père » :

Notre Père, qui es à Pétersbourg [aujourd’hui Leningrad],
Que ton nom soit maudit,
Que ton royaume s’écroule,
Que ta volonté ne s’accomplisse pas, même en enfer.
Rendez-nous le pain que vous nous avez volé,
et payez nos dettes, comme nous avons payé les vôtres jusqu’à présent.
Ne nous soumets pas davantage à la tentation,
Mais délivre-nous du mal – la police de Plehve [le premier ministre tsariste],
et mettez fin à son gouvernement maudit.
Mais comme tu es faible et pauvre en esprit, en pouvoir et en autorité,
Descendez avec vous pour l’éternité. Amen.
Le but ultime du communisme dans la conquête de nouveaux pays n’est pas d’établir un autre système social ou économique. Il s’agit de se moquer de Dieu et de louer Satan.
L’Union des étudiants socialistes allemands a également publié une parodie du Notre Père, indiquant que le « vrai » sens de la prière soutient le capitalisme :
Notre capital, qui est à l’Ouest,
Que vos investissements soient sûrs,
Que vous fassiez des bénéfices.
Que vos actions prennent de la valeur,
à Wall Street comme en Europe.
Notre vente quotidienne nous donne aujourd’hui, et étend nos crédits,
comme nous étendons ceux de nos débiteurs.
Et ne nous conduisez pas à la faillite,
mais délivrez-nous des syndicats,
Car c’est à eux que reviennent la moitié du monde, le pouvoir et la richesse, pour 200 ans.
Mammon.

L’identification du christianisme aux intérêts du capitalisme est scandaleuse. La véritable Église sait que le capitalisme est lui aussi taché de sang, car tout système économique porte les marques du péché. Les chrétiens s’opposent au communisme non pas du point de vue du capitalisme, mais du point de vue du royaume de Dieu, qui est leur véritable idéal social. Ce qui précède n’est rien d’autre qu’une moquerie satanique de la très sainte prière de Jésus, tout comme celle publiée par les Soviétiques.

Notre Parti qui règne sur l’Union soviétique,
Que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
Que ta volonté soit faite en Éthiopie et dans le monde entier.
Donne-nous aujourd’hui notre pain quotidien et ne pardonne pas les fautes des impérialistes car nous ne les pardonnerons pas.
Puissions-nous résister à la tentation d’abandonner le combat,
et délivre-nous des maux du capitalisme. Amen.

Les moqueries à l’égard du Notre Père sont monnaie courante dans de nombreux pays communistes. Les enfants éthiopiens apprenaient à prier comme suit :

Sur une station de radio luthérienne éthiopienne confisquée par le gouvernement communiste, une version sataniste de la Bible a été diffusée. La première partie des Corinthiens 13 ressemblait à ceci :

Bien que je parle toutes les langues et que je n’aie aucune inimitié pour les propriétaires et les capitalistes, je suis devenu comme un sonneur de cuivres…. La haine de classe ne souffre aucune exploitation et est brutale. La haine de classe envie leurs richesses et s’enorgueillit des révolutions réussies dans de nombreux États socialistes…. Et maintenant, la foi, l’espoir et la haine de classe demeurent, mais la plus grande d’entre elles est la haine révolutionnaire.

Lors de la grève générale organisée par les communistes français en 1974, les travailleurs ont été appelés à défiler dans les rues de Paris en criant le slogan « Giscard d’Estaing est foutu, les démons sont dans la rue ! (Giscard d’Estaing [président français de l’époque] est foutu, les démons sont dans la rue ! Les démons sont dans la rue » .)

Pourquoi pas « le prolétariat » ou « le peuple » ? Pourquoi cette évocation des forces sataniques ? Quel est le rapport avec les revendications légitimes de la classe ouvrière pour de meilleurs salaires ?

Déification des dirigeants communistes

Les dirigeants communistes ont été et sont déifiés. Écoutez le poème suivant en l’honneur de Staline dans la Pravda (Moscou, 10 mars 1939). (La Pravda est l’organe central du parti communiste en U.R.S.S.)

Le soleil brille doucement et qui ne saurait pas que tu es ce soleil ?
Le bruit agréable des vagues de la mer chante une ode à Staline.
Les sommets enneigés et aveuglants des montagnes chantent les louanges de Staline.
Les millions de fleurs et de prairies te remercient.
Les tables couvertes aussi.
Les ruches vous remercient.
Les pères de tous les jeunes héros te remercient, Staline ;
Oh, héritier de Lénine, tu es pour nous Lénine lui-même.
Des milliers de poèmes de ce type ont été composés. Voici un autre hymne à Staline d’une ferveur et d’une beauté extraordinaires, qui rappelle le christianisme byzantin oriental du IVe siècle et des siècles suivants :
Ô grand Staline, ô chef des peuples,
Toi qui as donné naissance à l’homme,
Toi qui purifies la terre,
Tu restaures les siècles, Tu fais exploser le printemps,
Tu fais vibrer les accords musicaux.
Toi, splendeur de mon printemps, ô toi, soleil reflété par des millions de cœurs.

L’hymne qui précède a été publié dans la Pravda en août 1936. En mai 1935, le même journal officiel du Parti avait publié l’extraordinaire effusion suivante :

Il ordonne au soleil des ennemis de se coucher.
Il a parlé, et l’Orient des amis est devenu une grande lueur.
S’il dit que le charbon devient blanc,
Ce sera comme Staline le veut… .
Le maître du monde entier – rappelez-vous – est maintenant Staline.
Une composition beaucoup plus tardive d’un grand poète soviétique montre une évolution dans le style, mais guère dans le sujet :
Je l’aurais comparé à une montagne blanche – mais la montagne a un sommet.
mais la montagne a un sommet.
Je l’aurais comparé aux profondeurs de la mer – mais la mer a un fond.
mais la mer a un fond.
Je l’aurais comparé à la lune qui brille, mais la lune brille à minuit.
mais la lune brille à minuit, pas à midi.
Je l’aurais comparé au soleil brillant – mais
mais le soleil rayonne à midi, pas à minuit.

Mao Tsé-Toung a été salué comme celui « dont l’esprit a créé le monde » .

Kim Il-Sung, dictateur de la Corée du Nord, est également déifié, tout comme Nicolae Ceausescu, dictateur communiste de la Roumanie.

Ceausescu était une autre figure stalinienne. Il a fait l’objet d’un culte de la personnalité et a été comparé à Jules César, Alexandre le Grand, Périclès, Cromwell, Napoléon, Pierre le Grand et Abraham. Il semble que cette liste de personnalités ne soit pas suffisante. C’est pourquoi on l’appelait aussi « notre Dieu laïc » .

(Soit dit en passant, la Roumanie post-communiste, qui n’autorisait pas les congrès religieux internationaux, a autorisé un congrès de sorcières au printemps 1979 à Curteade-Argesh).

À Bucarest, il y avait un musée contenant des cadeaux apportés par le peuple à Ceausescu. Dans ce musée se trouvait une aquarelle peinte par un aveugle qui avait recouvré la vue par miracle. Il l’attribuait au fait qu’il avait « concentré toutes ses pensées sur le Président, qui non seulement peut faire voir les aveugles mais aussi déplacer les montagnes des Carpates » .

Un autre portrait montrait Ceausescu avec le roi Vlad Tsepesh, surnommé « le vampire Dracula » parce qu’il avait l’habitude d’empaler ses adversaires. De la même manière, Staline a magnifié la personnalité du tsar Ivan le Terrible.

Les administrateurs de la Roumanie d’aujourd’hui étaient membres du parti communiste. Le léopard n’a pas changé de tache.

SIX – UN COMBAT SPIRITUEL

Le petit et le grand diable

Selon la doctrine marxiste officielle actuelle, qui, comme on l’a vu, n’est qu’un déguisement, ni Dieu ni le Diable n’existent. Tous deux sont des chimères. En raison de cet enseignement, les chrétiens sont persécutés par les communistes.

Cependant, le journal soviétique Kommunisma Uzvara (avril 1974) rapporte que de nombreux cercles athées ont été créés dans les écoles de la Lettonie rouge. Le nom donné aux enfants de la quatrième à la sixième année était « petits diables » , tandis que les élèves de la septième année étaient appelés « serviteurs du diable » . Dans une autre école, les élèves de huitième année étaient appelés « enfants fidèles du diable » . Lors de la réunion, les enfants étaient habillés en diables, avec des cornes et des queues.

Il était donc interdit d’adorer Dieu, alors que l’adoration du diable était ouvertement autorisée et même encouragée parmi les enfants en âge scolaire. Tel était l’objectif caché des communistes lorsqu’ils ont pris le pouvoir en Russie.

À Vitebsk (URSS), Zoia Titova, membre de l’organisation de jeunesse communiste, a été surprise en train de pratiquer la magie noire. Lorsque son cas a été porté devant l’assemblée de la jeunesse communiste, celle-ci a refusé à l’unanimité de la punir, alors que les membres qui décidaient d’adorer Dieu ont été expulsés. Les communistes considèrent qu’il est faux de croire en Dieu. Pour ce « crime » , de nombreux enfants ont été séparés de leur famille et placés dans des internats athées spéciaux.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, les communistes voulaient même faire des chefs d’église des adorateurs de Satan. Un prêtre orthodoxe russe nommé Platonov, agitateur antijuif, est passé du côté des communistes lorsqu’ils sont arrivés au pouvoir en Russie. Pour cette raison, il a été nommé évêque et est devenu un Judas qui a dénoncé des membres de son troupeau à la police secrète, sachant pertinemment qu’ils seraient sévèrement persécutés.

Un jour, dans un bus, il rencontra sa sœur Alexandra, une abbesse qui avait été arrêtée à plusieurs reprises, apparemment au su de son frère. Il lui demanda : « Pourquoi ne me parles-tu pas ? Tu ne reconnais pas ton frère ? » Elle répondit : « Tu demandes pourquoi ? Père et mère se retourneraient dans leur tombe. Tu sers Satan. Bien qu’étant un évêque orthodoxe officiel en Union soviétique, il a répondu : « Peut-être suis-je moi-même Satan.”

écrit Pravoslavnaia Rus,

La cathédrale orthodoxe d’Odessa, si appréciée des Odessites, est devenue le lieu de rencontre des satanistes peu après l’arrivée des communistes au pouvoir….. Ils se réunissaient également à Slobodka-Romano et dans l’ancienne maison du comte Tolstoi.

Suit un récit détaillé des messes satanistes prononcées par le diacre Serghei Mihailov, de la perfide Église vivante, une branche orthodoxe établie de connivence avec les communistes. Un assistant décrit la messe sataniste comme une « parodie de la liturgie chrétienne, dans laquelle le sang humain est utilisé pour la communion » .

Ces messes se déroulaient dans la cathédrale, devant l’autel principal.

Toujours à Odessa, une statue de Satan était exposée au musée des athées. Elle s’appelait Baphomet. La nuit, les satanistes se réunissaient dans le musée pour prier et chanter devant la statue.

Obscénités religieuses

Il peut sembler « logique » que les communistes arrêtent les prêtres et les pasteurs en tant que contre-révolutionnaires. Mais pourquoi les prêtres ont-ils été contraints par les marxistes de la prison roumaine de Piteshti de dire la messe sur des excréments et de l’urine ? Pourquoi les chrétiens ont-ils été torturés pour qu’ils communient avec ces éléments ? Pourquoi une telle moquerie obscène de la religion ? Pourquoi le prêtre orthodoxe roumain Roman Braga, que j’ai connu personnellement lorsqu’il était prisonnier des communistes et qui réside actuellement aux États-Unis, s’est-il fait arracher les dents une à une avec une barre de fer pour le faire blasphémer ?

Les communistes lui avaient expliqué, ainsi qu’à d’autres :

« Si nous vous tuons, vous les chrétiens, vous irez au paradis. Mais nous ne voulons pas que vous soyez couronnés martyrs. Vous devez d’abord maudire Dieu et ensuite aller en enfer » .

Dans la prison de Piteshti, les communistes forçaient un prisonnier très religieux à être « baptisé » chaque jour en mettant sa tête dans le tonneau dans lequel ses compagnons d’infortune avaient fait leurs besoins, tout en obligeant les autres prisonniers à chanter l’office du baptême.

Un étudiant en théologie a été contraint de se vêtir de draps blancs (en imitation de la robe du Christ), et un phallus fait de savon a été suspendu à son cou par une ficelle. Des chrétiens ont été battus jusqu’à la folie pour les forcer à s’agenouiller devant une telle image moqueuse du Christ. Après avoir embrassé le savon, ils devaient réciter une partie de la liturgie.

Certains prisonniers étaient contraints d’enlever leur pantalon et de s’asseoir, les fesses nues, sur des bibles ouvertes.

Ces pratiques blasphématoires ont été perpétrées pendant au moins deux ans au vu et au su des dirigeants du Parti. Qu’est-ce que de telles indignités ont à voir avec le socialisme et le bien-être du prolétariat ? Leurs slogans anticapitalistes n’étaient-ils pas simplement des prétextes pour organiser des blasphèmes et des orgies sataniques ?

Les marxistes sont censés être des athées qui ne croient ni au paradis ni à l’enfer. Dans ces circonstances extrêmes, le marxisme a levé son masque athée pour révéler son vrai visage, celui du satanisme. La persécution communiste de la religion peut avoir une explication humaine, mais la fureur d’une telle persécution perverse ne peut être que satanique.

Dans les prisons roumaines, mais aussi en Union soviétique, les religieuses qui ne reniaient pas leur foi étaient violées par voie anale et les jeunes filles baptistes se voyaient imposer des rapports sexuels oraux.

De nombreux prisonniers ainsi traités sont morts en martyrs, mais les communistes ne se sont pas contentés de cela. Utilisant des techniques lucifériennes, ils faisaient mourir les martyrs en blasphémant à cause du délire provoqué par la torture.

Dans toute son œuvre, Marx n’a parlé qu’une seule fois de la torture. De son vivant, nombre de ses disciples ont été torturés par les autorités tsaristes russes. Marx étant généralement décrit comme un humaniste, on s’attendrait à ce qu’il écrive avec horreur sur une pratique aussi abominable. Mais son seul commentaire est le suivant,

La torture seule a donné naissance aux inventions mécaniques les plus ingénieuses et a employé de nombreux artisans honorables à la production de ces instruments.

La torture est productive, elle conduit à des inventions ingénieuses – c’est tout ce que Marx avait à dire sur le sujet. Il n’est pas étonnant que les gouvernements marxistes aient surpassé tous les autres dans la torture de leurs opposants ! Cela suffit à démontrer la nature satanique du marxisme.

Le marxisme est également fondé sur la haine de Dieu. En 1923, en Union soviétique, des simulacres de procès de Dieu ont été organisés en présence de Trotsky et de Lunatcharski. Mais une telle opposition à Dieu et à son peuple n’appartient pas seulement au passé.

Des profanations satanistes d’églises catholiques ont eu lieu dans les années 1970 à Upyna, Dotnuva, Zanaiciu, Kalvarija, Sede, etc. L’une d’entre elles, dont nous avons connaissance, s’est produite à Alsedeai le 22 septembre 1980.

Dans son livre Psychiatric Hospital 14 , Moscou, Georgi Fedotov raconte sa conversation avec le psychiatre Dr. Valdimir Lwitski au sujet d’un chrétien nommé Argentov qui était détenu dans cet hôpital. Le médecin lui dit :

« Vous tirez votre ami Eduard vers Dieu et nous vers le Diable. C’est pourquoi j’utilise mes droits de psychiatre pour vous refuser, à vous et à vos amis, l’accès à cet homme » .

Le chrétien Salu Daka Ndebele a été interrogé par la police secrète de Maputo, dans le Mozambique communiste. L’officier lui a dit : « Nous voulons tuer votre Dieu » . Il a levé son arme vers la tête du prisonnier et a déclaré : « C’est mon Dieu. Avec lui, j’ai le pouvoir de vie et de mort. Si ton Dieu vient ici, je l’abattrai moi-même » .

À Chiasso, dans l’Angola communiste, des communistes ont abattu des animaux dans une église et placé leurs têtes sur l’autel et la chaire. Une affiche proclamait :

« Voici les dieux que vous adorez » .

Le pasteur Aurelio Chicanha Saunge a été tué, ainsi que cent cinquante paroissiens.
Lors de l’assassinat du prêtre catholique lituanien Eugene Vosikevic, on a découvert que sa bouche avait été remplie de pain, un rituel apparemment sataniste.

Vetchernaia Moskva, un journal communiste, a laissé passer un lapsus freudien :

Nous ne luttons pas contre les croyants, ni même contre les ecclésiastiques. Nous luttons contre Dieu pour lui arracher les croyants.

Une « lutte contre Dieu pour lui arracher les croyants » est la seule explication logique de la lutte des communistes contre la religion.

Nous ne nous étonnons pas de ces mots publiés dans un journal soviétique. Marx l’avait déjà dit dans son livre L’idéologie allemande. Appelant Dieu « l’Esprit absolu » , comme l’avait fait son maître Hegel, il écrivait :

« Nous nous occupons d’une question extrêmement intéressante : la décomposition de l’Esprit absolu » .

Ce n’est pas la lutte contre la fausse croyance en un Dieu inexistant qui le préoccupe. Il croyait que Dieu existait et voulait voir cet Esprit Absolu se décomposer, comme de nombreux prisonniers des communistes que l’on faisait pourrir en prison.
En Albanie, un prêtre, Stephen Kurti, a été condamné à mort pour avoir baptisé un enfant. Les baptêmes doivent être célébrés en secret dans de nombreux pays communistes, y compris en Corée du Nord.

Lors du procès du métropolite Benjamin de Leningrad, le procureur a déclaré :

« L’ensemble de l’Église orthodoxe est un subterfuge,
Toute l’Église orthodoxe est une organisation subversive. À proprement parler, c’est toute l’Église qui devrait être en prison.

La seule raison pour laquelle tous les chrétiens ne sont pas en prison en Union soviétique est que les communistes ne sont pas assez puissants. Mais la volonté de détruire est là. Sans être freinés par l’Esprit de Dieu et soutenus par les forces du mal, ils détruiraient en effet la terre entière, y compris eux-mêmes.

Dans l’ancienne Union soviétique, les baptêmes ne pouvaient être célébrés qu’après enregistrement. Les personnes souhaitant être baptisées ou faire baptiser leur enfant présentaient leur carte d’identité au représentant du conseil de l’église, qui les dénonçait ensuite aux autorités de l’État. Il en résultait des persécutions. Les kolkhozniks (travailleurs des fermes collectives) n’avaient pas de carte d’identité et ne pouvaient donc baptiser leurs enfants qu’en cachette. De nombreux pasteurs protestants ont été condamnés à des peines de prison pour avoir baptisé des gens.

La lutte des communistes contre le baptême présuppose la croyance en sa valeur pour l’âme. Les religieux d’Israël, du Pakistan ou du Népal s’opposent au baptême au nom de leur propre conception religieuse, parce qu’il s’agit d’un sceau chrétien. Mais pour les athées – comme les communistes se déclarent clairement – le baptême ne devrait rien signifier. Il n’est censé ni profiter ni nuire au baptisé. Pourquoi alors ces communistes luttent-ils contre le baptême ? Parce que les communistes « luttent contre Dieu pour lui arracher les croyants ».

Leur idéologie n’est pas vraiment inspirée par l’athéisme, mais par une haine féroce de Dieu.

“Entre autres objectifs, disait Lénine, nous avons créé notre parti spécifiquement pour lutter contre toute tromperie religieuse du peuple.

Pratiques occultes

Pour en savoir plus sur les relations entre le marxisme et l’occultisme, voir Psychic Discoveries Behind the Iron Curtain de Sheila Ostrander et Lynn Schroder. Il est très significatif que l’Est communiste ait été beaucoup plus avancé que l’Ouest dans la recherche sur les forces obscures manipulées par Satan.

Le Dr Eduard Naumov, membre de l’Association internationale des parapsychologues, a été arrêté à Moscou. Le physicien moscovite L. Regelsohn, un chrétien hébraïque qui a pris sa défense, nous explique la raison de son arrestation :

Naumov s’efforçait de préserver la sphère psychique de la vie de la domination des forces du mal qui utilisaient la parapsychologie comme une nouvelle arme d’oppression de l’âme humaine.

En Tchécoslovaquie, en Bulgarie, etc., le parti communiste a dépensé des sommes considérables pour mener des enquêtes secrètes sur cette science. Il a caché à l’Occident des informations sur ce qui se passait dans les vingt instituts de parapsychologie situés en Union soviétique.

La Komsomolskaia Pravda (Moscou) a publié un long article sur les hypnotiseurs qui aident les gens à « revenir à leurs vies antérieures » . Pour le processus d’induction, ils utilisent les suggestions suivantes :

Vous descendez dans la terre, plus profondément, encore plus profondément. La terre et vous ne faites qu’un…. Vous êtes au plus profond de la terre. Vous êtes entouré d’une épaisse obscurité…. Autour de vous, c’est la nuit éternelle… .
Nous nous approchons maintenant d’un point lumineux au loin… de plus en plus près. Nous nous faufilons à travers un petit trou vers le ciel, laissant notre propre corps dans les profondeurs de la terre…. Nous franchissons les frontières du temps… et nous retournons dans votre passé….”

Dans ces articles, les Soviétiques utilisaient intentionnellement un double langage. Conscients que certains pourraient être effrayés, ils étaient délibérément réservés, affirmant qu’ils ne faisaient qu’informer sans approuver. Mais que penseraient les lecteurs d’un rédacteur en chef qui reproduirait à l’infini des articles provocateurs et des photos lascives de Playboy tout en affirmant qu’il n’est pas entièrement d’accord avec ce qu’il transmet au public ?

Les écrivains soviétiques ont clairement indiqué que cette « machine à remonter le temps » n’était pas de la science-fiction. Le « transpersonnalisme » offrait ce voyage dans le temps.

Dans les messes noires satanistes, toutes les prières sont dites à l’envers, de la fin vers le début, et la robe sacerdotale est portée à l’envers. L’inversion est la règle sataniste, qui s’applique même à la doctrine de la réincarnation. Alors que les dévots indiens se préoccupent de leurs futures réincarnations et tentent de s’améliorer en obéissant à ce qu’ils croient être les commandements de Dieu, les satanistes proposent un retour à des incarnations antérieures. Ils ne se soucient pas d’un avenir meilleur dans l’éternité.

Le marxisme en tant qu’église

Tout comme Satan est venu à Jésus avec des verset bibliques, Marx a utilisé des textes de l’Ecriture, bien qu’avec beaucoup de déformation.

Le volume 2 des Œuvres de Marx et Engels s’ouvre sur les paroles de Jésus à ses disciples (Jean 6:63), citées par Marx dans son livre La Sainte Famille : « C’est l’esprit qui donne la vie » . Puis nous lisons :

La critique [sa critique de tout ce qui existe] a tant aimé les masses qu’elle a envoyé son fils unique [c’est-à-dire Marx], afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais ait une vie de critique. La critique s’est transformée en masse et a vécu parmi nous, et nous avons vu sa gloire comme la gloire du Fils unique du Père. La critique n’a pas considéré qu’il était injuste d’être l’égal de Dieu, mais elle s’est fait une réputation, a pris la forme d’un relieur et s’est abaissée jusqu’au non-sens, oui, au non-sens critique en langues étrangères.
Ceux qui connaissent les Écritures reconnaîtront qu’il s’agit d’une parodie de versets bibliques (Jean 3:16 ; 1:14 ; Philippiens 2:6-8). Ici encore, Marx déclare que ses propres œuvres sont des « absurdités » , ainsi que des « livres d’escroquerie » .
Le marxisme est une religion, et il « utilise » même l’Ecriture. Son ouvrage principal, Le Capital de Marx, est appelé « la Bible de la classe ouvrière » . Marx se considérait comme « le pape du communisme » .
Le communisme « a l’orgueil de l’infaillibilité » . Tous ceux qui s’opposent au « credo » communiste (cette expression est utilisée par Engels) sont excommuniés. Marx écrit : « Bakounine doit se méfier. Sinon, nous l’excommunierons » .
Ceux qui meurent au service du marxisme sont fêtés comme des « martyrs » . Le marxisme a aussi ses sacrements : les réceptions solennelles dans l’organisation des tout-petits appelée « les enfants d’octobre » , les serments prêtés lors de l’accueil des « pionniers » , après quoi viennent les degrés supérieurs de l’initiation dans le Komsomol et le Parti. La confession est remplacée par l’autocritique publique devant l’assemblée des membres du Parti.
Le marxisme est une église. Il en a toutes les caractéristiques. Pourtant, son dieu n’est pas nommé dans sa littérature populaire. Mais, comme le montrent les preuves données dans ce livre, Satan est manifestement son dieu.
Il est étrange que, bien que le marxisme soit clairement satanique, il ne soit pas considéré comme une menace par de nombreuses églises du monde libre. Il existe des statistiques éclairantes à ce sujet.
On a demandé à des professeurs de séminaires aux États-Unis : « Un individu peut-il être un bon membre de votre dénomination et adhérer au marxisme ?”
Voici les pourcentages de ceux qui ont répondu par l’affirmative :
Épiscopaliens – 68
Luthériens – 53
Presbytériens – 49
Église méthodiste – 49 % Église du Christ – 47
Église du Christ – 47 % Église baptiste américaine – 44 % Église catholique romaine – 31 %.
Quelle tristesse que ceux qui suivent la Vérité soient dupés par ceux qui servent le père du mensonge.

SEPT – MARX, DARWIN ET LA RÉVOLUTION

Marx et Darwin

Quelle a été la contribution spécifique de Marx au plan de Satan pour l’humanité ?
La Bible enseigne que Dieu a créé l’homme à son image (Genèse 1:26). Jusqu’à l’époque de Marx, l’homme continuait à être considéré comme « la couronne de la création » . Marx a été l’outil choisi par Satan pour faire perdre à l’homme son estime de soi, sa conviction qu’il vient de haut et qu’il est destiné à y retourner. Le marxisme est la première philosophie systématique et détaillée qui réduit radicalement la notion d’homme.

Selon Marx, l’homme est avant tout un ventre qu’il faut constamment remplir. Les intérêts dominants de l’homme sont de nature économique ; il produit pour satisfaire ses besoins. Pour ce faire, il entre dans des relations sociales avec d’autres personnes. C’est la base de la société, ce que Marx appelle l’infrastructure. Le mariage, l’amour, l’art, la science, la religion, la philosophie, tout ce qui n’est pas lié aux besoins du ventre, sont tous des superstructures, déterminées en dernière analyse par l’état du ventre.

Il n’est pas étonnant que Marx ait fait l’éloge du livre de Darwin, La descendance de l’homme, un autre coup de maître qui fait oublier aux hommes leur origine divine et leur but divin. Darwin a dit que l’homme est issu du monde animal.
L’homme a été détrôné par ces deux-là. Satan n’a pas pu détrôner Dieu, il a donc dévalorisé l’homme. L’homme s’est révélé être la progéniture des animaux et un simple serviteur de ses intestins.

C’est une étrange coïncidence que le dix-neuvième siècle ait donné au monde trois personnalités opposées au christianisme, portant toutes le nom de Charles : Karl (Charles en allemand) Marx, Charles Darwin et le poète français Charles Baudelaire.

Ce dernier a écrit dans « Abel et Caïn » :
Race de Caïn, monte au ciel
Et jette Dieu sur la terre.

Marx écrit à Ferdinand Lassalle le 16 janvier 1861 :

Le livre de Darwin est très important et me sert de base dans les sciences naturelles pour la lutte historique des classes.

Le gendre de Marx, Paul Lafargue, dans Le socialisme et les intellectuels, dit,
Lorsque Darwin a publié son Origine des espèces, il a enlevé à Dieu son rôle de créateur du monde organique, comme Franklin l’a dépouillé de son coup de foudre.
(L’intention première de Darwin n’était pas de nuire à la religion. Il avait écrit : « Il y a une grandeur dans cette vision de la vie, avec ses différents pouvoirs, qui a été insufflée à l’origine dans quelques formes ou dans une seule » . Afin de rendre sa position plus catégorique, Darwin a inséré l’expression « par le Créateur » après « insufflée » dans la deuxième édition. Cette phrase est restée dans toutes les éditions suivantes qu’il a publiées).

Plus tard, Freud complétera l’œuvre de ces deux géants en réduisant l’homme à une pulsion sexuelle, parfois sublimée dans la politique, l’art ou la religion. C’est le psychologue suisse Carl Gustav Jung qui est revenu à la doctrine biblique selon laquelle la pulsion religieuse est la pulsion fondamentale de l’homme.

L’ère de Marx a été une période d’effervescence sataniste dans de nombreuses sphères de la vie. Le poète russe Sologub a écrit : « Mon père est le diable » . Un autre poète russe, Briusov, a dit : « Je glorifie à parts égales le Seigneur et le Diable » .
Marx était un enfant de l’époque qui nous a donné Nietzsche (le philosophe préféré d’Hitler et de Mussolini), Max Stirner, un anarchiste extrême, et Oscar Wilde, le premier théoricien de la liberté pour l’homosexualité, un vice qui aujourd’hui est accepté même par le clergé.

Des forces sataniques ont préparé la Russie à la victoire du marxisme. L’époque de la révolution était une période où l’amour, la bonne volonté et les sentiments sains étaient considérés comme mesquins et rétrogrades. Les filles cachaient leur innocence et les maris leur fidélité. La destruction était louée comme étant de bon goût, la neurasthénie comme étant le signe d’un esprit fin. C’est le thème des nouveaux écrivains qui surgissent de l’ombre. Les hommes inventent des vices et des perversions, et se gardent bien de passer pour moraux.

Comment se fait-il que Staline soit devenu révolutionnaire après avoir lu Darwin ? Étudiant dans un séminaire orthodoxe, il tient de Darwin l’idée que nous ne sommes pas des créatures de Dieu, mais le résultat d’une évolution dans laquelle règne une concurrence impitoyable. Seuls les plus forts et les plus cruels survivent. Il a appris que les critères moraux et religieux ne jouent aucun rôle dans la nature et que l’homme fait partie de la nature au même titre qu’un poisson ou un singe. Vive l’impitoyabilité et la cruauté !

Darwin avait écrit un livre scientifique exposant sa théorie des origines. Il n’avait aucune implication économique ou politique. Mais si beaucoup vont jusqu’à admettre que Dieu a créé le monde par un long processus d’évolution, le résultat final de la théorie de Darwin a été le massacre de dizaines de millions d’innocents. Il est donc devenu le père spirituel du plus grand massacreur de l’histoire.
Au-delà de l’agitation intellectuelle du XIXe siècle, on peut retracer l’influence de la Révolution française, qui était spirituellement très proche du cataclysme russe du XXe siècle.

Pendant les bouleversements en France, Anarchasis Clootz, l’un des principaux révolutionnaires français et Illuminatus, s’est déclaré « l’ennemi personnel de Jésus-Christ » . Il proclame devant la Convention du 17 novembre 1792 : « Le peuple est le souverain et le dieu du monde…. Il n’y a que les imbéciles qui croient à un autre Dieu, à un être suprême » . La Convention a ensuite publié un décret proclamant « l’annulation de toutes les religions » .

Pour ceux d’entre nous qui prennent au sérieux les paroles du Notre Père, « Délivre-nous du mal » , le sens est clair : nous implorons un Dieu d’amour de nous protéger, nous et la société qui nous entoure, des fausses doctrines, de l’art pernicieux qui nous habitue au mal sous l’apparence de la beauté, et de l’immoralité dans la vie. Nous n’aurons alors plus à craindre les pièges du diable.

Vous avez le choix : Voulez-vous devenir comme le Diable, cruel et vicieux, ou comme Jésus, l’homme-Dieu de l’amour saint et de la paix ?

Le faux sionisme de Moses Hess

Moses Hess

Pour compléter le tableau, nous allons considérer Moïse Hess, l’homme qui a converti Marx et Engels à l’idéal socialiste.

En Israël, une pierre tombale porte l’inscription suivante : « Moses Hess, fondateur du parti social-démocrate allemand » . Hess expose ses convictions dans le Catéchisme rouge pour le peuple allemand :

Qu’est-ce qui est noir ? Le noir, c’est le clergé…. Ces théologiens sont les pires aristocrates…. Le clergé enseigne aux princes à opprimer le peuple au nom de Dieu. Deuxièmement, il enseigne au peuple à se laisser opprimer et exploiter au nom de Dieu. Troisièmement et principalement, il s’assure, avec l’aide de Dieu, une vie splendide sur terre, tandis qu’il est conseillé au peuple d’attendre le ciel.

Le drapeau rouge symbolise la révolution permanente jusqu’à la victoire complète des classes ouvrières dans tous les pays civilisés : la république rouge…. La révolution socialiste est ma religion…. Les travailleurs, lorsqu’ils ont conquis un pays, doivent aider leurs frères dans le reste du monde.

Telle était la religion de Hess lors de la première édition du Catéchisme. Dans la deuxième édition, il a ajouté quelques chapitres. Cette fois-ci, la même religion, c’est-à-dire la révolution socialiste, utilise un langage chrétien pour s’accréditer auprès des croyants. Avec la propagande de la révolution, il y a bien quelques belles paroles sur le christianisme en tant que religion d’amour et d’humanité. Mais son message doit être plus clair : son enfer ne doit pas être sur terre et son paradis dans l’au-delà.

La société socialiste sera le véritable accomplissement du christianisme. C’est ainsi que Satan se déguise en ange de lumière.

Après que Hess ait convaincu Marx et Engels de l’idée socialiste, affirmant dès le début que son but serait de donner « le dernier coup de pied à la religion médiévale » (son ami Georg Jung l’a dit encore plus clairement :

“Marx chassera certainement Dieu de son paradis » ,

un développement intéressant s’est produit dans la vie de Hess. Celui qui avait fondé le socialisme moderne a également fondé un mouvement entièrement différent, une forme spécifique de sionisme.

Ainsi, Hess, fondateur d’un socialisme dont le but était de « chasser Dieu du ciel » , était également fondateur d’un type diabolique de sionisme qui devait détruire le sionisme pieux, le sionisme de l’amour, de la compréhension et de la concorde avec les nations environnantes. Celui qui a enseigné à Marx l’importance de la lutte des classes a écrit en 1862 ces mots surprenants : « La lutte des races est primordiale, la lutte des classes est secondaire » .

Il avait allumé le feu de la lutte des classes, un feu qui ne s’est jamais éteint, au lieu d’enseigner aux gens à coopérer pour le bien commun. Le même Hess a ensuite engendré un sionisme déformé, un sionisme de lutte des races. De même que nous rejetons le marxisme satanique, tout juif ou chrétien responsable doit rejeter cette perversion diabolique du sionisme.

Hess revendique Jérusalem pour les Juifs, mais sans Jésus, le roi des Juifs. Quel besoin Hess a-t-il de Jésus ? Il écrit:

Chaque Juif a en lui l’image d’un Messie, chaque Juive celle d’une Mater Delorosa.

Alors pourquoi n’a-t-il pas fait du juif Marx un Messie, un homme nommé par Dieu, au lieu d’un haineux déterminé à chasser Dieu du ciel ? Pour Hess, Jésus est « un Juif que les païens ont déifié pour en faire leur Sauveur » . Ni Hess ni les Juifs ne semblent avoir besoin de lui pour eux-mêmes.

Hess ne souhaite pas être sauvé lui-même, et le fait qu’un individu cherche à se sanctifier personnellement est « indo-germanique » , dit-il. Le but des Juifs, selon lui, doit être « un état messianique » , « pour préparer l’humanité à la révélation de l’essence divine » , ce qui signifie, comme il le reconnaît dans son Catéchisme rouge, mener la révolution socialiste par la lutte des races et des classes.

Moses Hess, qui a confié à son idole Marx la tâche de mettre fin à la religion médiévale pour la remplacer par la religion de la révolution socialiste, écrit ces mots étonnants :

“J’ai toujours été édifié par les prières hébraïques » .

Quelles sont les prières de ceux qui considèrent la religion comme l’opiacé du peuple ? Nous avons déjà vu que le fondateur de l’athéisme scientifique priait en portant des phylactères avant de brûler des bougies. Les prières juives peuvent être détournées dans un sens blasphématoire, tout comme les prières chrétiennes sont perverties dans les rituels satanistes.

Hess avait enseigné à Marx que le socialisme était inséparable de l’internationalisme. Marx écrit dans son Manifeste communiste que le prolétariat n’a pas de patrie. Dans son Catéchisme rouge, Hess se moque de la notion de patrie des Allemands, et il aurait fait de même avec la notion de patrie de n’importe quelle autre nation européenne. Hess critique le programme d’Erfurt du parti social-démocrate allemand pour sa reconnaissance inconditionnelle du principe national. Mais Hess est un internationaliste à part : Le patriotisme juif doit demeurer. Il écrit,
Celui qui nie le nationalisme juif n’est pas seulement un apostat, un renégat au sens religieux, mais un traître à son peuple et à sa famille. S’il s’avère que l’émancipation des Juifs est incompatible avec le nationalisme juif, alors le Juif doit sacrifier l’émancipation…. Le Juif doit être avant tout un patriote juif.

Je suis d’accord avec les idées patriotiques de Hess dans la mesure où ce qui est bon pour l’oie est bon pour le jars. Je suis pour toutes les formes de patriotisme – celui des Juifs, des Arabes, des Allemands, des Russes, des Américains. Le patriotisme est une vertu s’il signifie l’effort de promouvoir économiquement, politiquement, spirituellement et religieusement le bien-être de sa propre nation, à condition que cela se fasse dans l’amitié et la coopération avec d’autres nations. Mais le patriotisme juif d’un socialiste révolutionnaire qui nie le patriotisme de toutes les autres nations est hautement suspect. Cela semble être un plan diabolique pour que tous les peuples haïssent les Juifs.

Si j’étais un non-Juif qui voyait les Juifs accepter le plan de patriotisme unilatéral de Hess, je m’y opposerais. Heureusement, aucun Juif n’a accepté ce plan satanique. En fait, c’est Herzl qui a donné une tournure saine au sionisme. Dans sa forme moderne, aucune trace de satanisme n’est restée.

La lutte raciale proposée par Hess est fausse, aussi fausse que la lutte des classes qu’il préconisait.

Hess n’a pas abandonné le socialisme pour cette forme spécifique de sionisme. Après avoir écrit Rome et Jérusalem, il a continué à être actif dans le mouvement socialiste mondial.

Hess n’exprime pas clairement sa pensée ; il est donc difficile de l’évaluer. Il suffit de savoir que, selon lui, « le monde chrétien considère Jésus comme un saint juif devenu païen » . Il nous suffit de lire dans son livre :

“Nous aspirons aujourd’hui à un salut bien plus complet que celui que le christianisme a jamais pu offrir. »

Il ressort du Catéchisme rouge que ce salut plus complet est la révolution socialiste.
On pourrait ajouter que Hess n’est pas seulement la source originelle du marxisme et l’homme qui a tenté de créer un sionisme anti-Dieu, mais aussi le prédécesseur de la théologie de la libération actuellement approuvée par le Conseil œcuménique des Églises et le catholicisme. Un seul et même homme, presque inconnu, a été le porte-parole de trois mouvements sataniques : le communisme, un sionisme raciste et haineux et une théologie de la révolution.

Personne ne peut être chrétien sans aimer les Juifs. Jésus était juif, tout comme la vierge Marie et tous les apôtres. La Bible est juive. Le Seigneur a dit : « Le salut est dans les Juifs » (Jean 4:22). Hess, par contre, a exalté les Juifs comme s’il voulait consciemment créer une violente réaction anti-juive. Il dit que sa religion est celle de la révolution socialiste. Les clercs de toutes les « autres » religions sont des escrocs. La révolution est la seule religion pour laquelle Hess a une grande estime. Il écrit:

Notre religion (la religion juive) a pour point de départ l’enthousiasme d’une race qui, dès son apparition sur la scène de l’histoire, a prévu les buts finaux de l’humanité et qui a eu le pressentiment de l’époque messianique au cours de laquelle l’esprit de l’humanité s’accomplira, non seulement dans tel ou tel individu ou seulement en partie, mais dans les institutions sociales de l’humanité tout entière.
Ce temps – que Hess qualifie de « messianique » – est celui de la victoire de la révolution socialiste mondiale. L’idée que la religion juive ait eu pour point de départ le concept d’une révolution socialiste sans Dieu est une plaisanterie hideuse et une insulte au peuple juif.

Hess parle constamment en termes religieux, mais il ne croit pas en Dieu. Il écrit que :

« notre Dieu n’est rien d’autre que la race humaine unie dans l’amour » .

Le moyen de parvenir à une telle union est la révolution socialiste, au cours de laquelle des dizaines de millions de spécimens de son humanité bien-aimée seront torturés et tués.

Il ne cache pas qu’il ne souhaite ni la domination du ciel, ni celle des puissances terrestres, toutes deux oppressives. Il n’y a de bon dans aucune religion, sauf celle de la révolution sociale.

Il est inutile et inefficace d’élever le peuple à la liberté réelle et de le faire participer aux biens de l’existence, sans le libérer de l’esclavage spirituel, c’est-à-dire de la religion.

Il parle dans un même souffle de « l’absolutisme des tyrans célestes et terrestres sur les esclaves » .

On ne peut comprendre les profondeurs sataniques du communisme qu’en connaissant le genre d’homme qu’était Moses Hess, qui a influencé Marx et Engels, avec qui il a fondé la Première Internationale, ainsi que Bakounine. Sans la connaissance de Hess, Marx est inintelligible, car c’est lui qui l’a amené au socialisme.

Prenons les paroles de Marx déjà citées :

Les mots que j’enseigne sont tous mélangés dans une confusion diabolique. Ainsi, chacun peut penser ce qu’il veut.

Marx a écrit de cette manière. Les écrits de Hess constituent une confusion encore plus diabolique, difficile à démêler, mais qu’il faut analyser pour y déceler d’éventuels liens entre Marx et le satanisme.

Le premier livre de Hess s’intitule L’histoire sainte de l’humanité. Il le proclame « œuvre du saint esprit de vérité » , ajoutant que, comme le Fils de Dieu a libéré les hommes de leur propre esclavage, Hess les libérera de l’esclavage politique. « Je suis appelé à témoigner pour la lumière, comme l’a fait John » .

À cette époque, Marx, qui était toujours opposé au socialisme et n’avait pas connu Hess personnellement, commença à écrire un livre contre lui. Pour des raisons inconnues, ce livre n’a jamais été achevé. Il devint par la suite le disciple de Hess.

Comme indiqué précédemment, les objectifs avoués de Hess étaient de donner un dernier coup de pied à la religion médiévale et de produire des ravages. Dans l’introduction de son livre Le Jugement dernier, il se déclare satisfait que le philosophe allemand Kant ait prétendument …

« décapité le vieux Père Jéhovah avec toute la sainte famille » .

(Hess couvre ses propres idées avec le nom du grand philosophe. Kant n’avait pas de telles intentions. Il avait écrit le contraire : « J’ai dû limiter la connaissance pour faire place à la foi”).

Hess déclare « morte » la religion juive et chrétienne, ce qui ne l’empêche pas d’écrire à Rome et à Jérusalem sur « nos écrits sacrés » , « la langue sacrée de nos pères » , « notre culte » , « les lois divines » , « les voies de la Providence » et « la vie pieuse » .

Ce n’est pas qu’à différentes étapes de sa vie, il ait eu des opinions différentes. Dans son livre pseudo-sioniste, il déclare qu’il ne renie pas ses anciennes activités impies. Non, il s’agit d’une « confusion diabolique » intentionnelle.

Hess était juif et un précurseur du sionisme. Parce que Hess, Marx et d’autres personnes comme eux étaient juifs, certains considèrent le communisme comme un complot juif. Pourtant, Marx a également écrit un livre anti-juif. À cet égard également, il n’a fait que suivre Hess.

Ce « sioniste » , Hess, qui élève la juiverie au ciel, a écrit dans son livre Sur le système monétaire :

Les Juifs, qui avaient pour rôle, dans l’histoire naturelle du monde social animal, de transformer l’humanité en un animal sauvage, ont accompli leur tâche professionnelle. Le mystère du judaïsme et du christianisme a été révélé dans le judéo-christianisme moderne. Le mystère du sang du Christ, comme le mystère de l’ancien culte juif du sang, apparaît ici dévoilé comme étant le mystère de l’animal prédateur.

Ne vous inquiétez pas si vous ne comprenez pas ces mots. Ils ont été écrits « mélangés dans une confusion diabolique » , mais la haine du judaïsme qu’ils contiennent est claire. Hess est un raciste, juif et anti-juif, selon les besoins de l’esprit qui a inspiré ses œuvres et qu’il qualifie de « saint » .

Hitler aurait pu apprendre son racisme de Hess. Celui qui avait enseigné à Marx que la classe sociale est un facteur décisif a aussi écrit le contraire :

La vie est un produit immédiat de la race. Les institutions et les conceptions sociales, ainsi que les religions, sont des créations typiques et originales de la race. Le problème de la race se cache derrière tous les problèmes de nationalités et de liberté. Toute l’histoire passée a été marquée par la lutte des races et des classes. La lutte des races est primordiale, la lutte des classes est secondaire.


Comment Hess parviendra-t-il à faire triompher autant d’idées contradictoires ?

J’utiliserai l’épée contre tous les citoyens qui résistent aux efforts du prolétariat.

Nous entendrons la même chose de la part de Marx :

La violence est la sage-femme qui fait sortir la nouvelle société du ventre de l’ancienne.

Le premier professeur de Marx était le philosophe Hegel, qui n’a fait qu’ouvrir la voie à Hess. Marx avait lui aussi absorbé le poison de Hegel, pour qui le christianisme était misérable par rapport au passé glorieux de la culture grecque.

Hegel écrivait :

“Les chrétiens ont accumulé un tel tas de raisons de se consoler du malheur […] que nous devrions finalement regretter de ne pas pouvoir perdre un père ou une mère une fois par semaine » , alors que pour les Grecs « le malheur était le malheur, la douleur était la douleur » .

Avant Hegel, le christianisme avait déjà fait l’objet de satires en Allemagne. Mais Hegel a été le premier à faire la satire de Jésus lui-même. Il a également écrit de belles choses sur le christianisme, le même « embrouillamini diabolique » .

Nous sommes ce dont nous nous nourrissons. Marx s’est nourri d’idées sataniques ; il a donc énoncé une doctrine sataniste.

L’organisation « Hell » (l’enfer)

Les communistes ont l’habitude de créer des organisations de façade. Tout ce qui précède suggère la probabilité que les mouvements communistes soient eux-mêmes des organisations de façade du satanisme occulte. Les moyens de combattre le satanisme sont spirituels et non charnels ; autrement, si une organisation de façade sataniste, comme le nazisme, est vaincue, une autre s’élèvera pour remporter une plus grande victoire. Himmler, le ministre de l’intérieur de l’Allemagne nazie, se considérait comme la réincarnation du roi Henri de Fowler. Il pensait qu’il était possible de mettre les pouvoirs occultes au service de l’armée nazie. Plusieurs dirigeants nazis étaient impliqués dans la magie noire.

Ce qui n’était qu’une simple supposition lorsque j’ai publié la première édition de ce livre est aujourd’hui un fait avéré. La preuve en a été donnée par les communistes eux-mêmes. L’histoire commence avec l’affaire Netchaiev, qui a poussé Dostoïevski à écrire son célèbre roman Les Démons.

Netchaiev, qualifié de « splendide jeune fanatique » par Bakounine, collaborateur de Marx dans la fondation de la Première Internationale, a écrit Le catéchisme du révolutionnaire comme guide de l’organisation russe « La vengeance populaire » . Il est paru vers 1870.

L’objectif de cette organisation est formulé comme suit.

Notre cause est une destruction terrible, complète, universelle et impitoyable…. Unissons au monde sauvage et criminel ces vrais et seuls révolutionnaires de Russie.

Le premier homme tué par le groupe Netchaiev fut l’un de ses camarades fondateurs, Ivanov, qui avait osé critiquer sa direction. Aucune critique n’était permise.

Le plan de Netchaiev consistait à diviser l’humanité en deux parties inégales.
Un dixième obtient la liberté personnelle et des droits illimités sur les neuf autres dixièmes. Ces derniers doivent perdre leur personnalité et se transformer en une sorte de troupeau.

Ils se livreront à un travail d’espionnage. Chaque membre de la société espionnera l’autre et sera obligé de le dénoncer…. Tous sont esclaves et sont égaux dans l’esclavage.

Netchaiev écrit dans son Catéchisme :

Un révolutionnaire doit s’infiltrer partout, dans les classes supérieures et inférieures… dans les églises… dans la littérature.

Son disciple Peter Verhovensky commente :

Nous sommes déjà terriblement puissants…. Les jurés qui acquittent les criminels sont tout à fait nôtres. Le procureur qui tremble devant les tribunaux de ne pas être considéré comme assez libéral est le nôtre. Les administrateurs, les hommes de lettres, nous sommes nombreux, très nombreux, et ils ne savent pas qu’ils nous appartiennent.

Sur la base d’un tel programme, une organisation au nom impressionnant a été créée : la Ligue révolutionnaire mondiale. Ses statuts sont signés par Netchaiev et Bakounine, collaborateur intime de Marx. Au début, la Ligue ne compte qu’une poignée d’hommes.

Le duc révolutionnaire Peter Dolgorukov écrit le 31 octobre 1862 :

À Londres, j’ai rencontré Kelsiev (qui appartenait à l’organisation susmentionnée), un homme borné mais bon, terriblement fanatique, avec le visage d’un homme doux. Kelsiev m’a dit doucement, avec un regard bienveillant : « S’il faut massacrer, pourquoi ne pas massacrer, pourvu que ce soit utile ?”

… Tous ces hommes de Londres parlent sans cesse de « brûler, massacrer, mettre en pièces » . Ces mots n’ont jamais quitté leur langue depuis que Bakounine est venu en Angleterre…

En 1869, à Genève, Netchaiev rédige une proclamation dans laquelle, se référant à l’homme qui a abattu l’empereur Alexandre II, il conseille :

Nous devons considérer ce qu’a fait Karakazov comme un prologue. Oui, c’était un prologue. Faisons en sorte que le drame lui-même commence bientôt.

Une autre proclamation dit,

Bientôt, bientôt viendra le jour où nous déploierons le grand drapeau de l’avenir, le drapeau rouge, et où nous attaquerons à grand bruit le palais impérial…
Nous crierons d’un seul coup « Aux haches ! » et nous tuerons le parti de l’empereur. N’ayons pas de pitié…. Tuez dans les pubs si ces vils coquins osent y pénétrer, tuez dans les maisons, tuez dans les villages.
N’oubliez pas que ceux qui ne sont pas avec nous seront contre nous. Quiconque est contre nous est notre ennemi. Et nous devons détruire nos ennemis par tous les moyens.


En 1872, une société révolutionnaire a été créée sous le simple nom de « L’Organisation » , qui disposait d’un cercle ultra secret appelé froidement « l’Enfer » . Bien que ses objectifs soient poursuivis depuis plus d’un siècle par des groupes qui changent continuellement de nom, son existence est restée inconnue du monde extérieur.

Les historiens soviétiques n’ont osé parler des activités de l'”Enfer » , un précurseur du Parti communiste russe, qu’en 1965, quatre-vingt-treize ans après sa création.

Dans Revolutionist Underground in Russia, E. S. Vilenskaia écrit :

“L’enfer » était le nom du parti communiste russe :
“L’enfer » était le nom du centre au-dessus de l’organisation secrète, qui non seulement utilisait la terreur contre la monarchie, mais avait également des fonctions punitives à l’égard des membres de l’organisation secrète.

Dans Tchernishevsky ou Netchaiev, on peut lire que l’un des membres (Fediseev) de l'”Enfer » a pris sur lui d’empoisonner son propre père afin de donner à l’organisation son héritage. Tchernishevsky, qui appartenait à ce mouvement, écrivait:

Je participerai à la révolution, je n’ai pas peur de la saleté, des ivrognes avec des bâtons, des massacres. Nous ne nous soucions pas de devoir perdre trois fois plus de nourriture que les rebelles de la révolution française. Et si nous devions tuer cent mille paysans ?

Voici quelques-uns des objectifs exprimés par cette organisation satanique :

La mystification est le meilleur, presque le seul moyen de pousser les hommes à faire une révolution. Il suffit de tuer quelques millions de personnes pour que les rouages de la révolution soient huilés. Notre idéal est la destruction terrible, complète, universelle et impitoyable.

Et encore :

L’humanité doit être divisée en deux parties inégales. Un dixième reçoit la liberté personnelle et des droits illimités sur les neuf autres dixièmes. Ces derniers doivent perdre leur personnalité et devenir une sorte de troupeau.

Dans leurs écrits, nous trouvons constamment les mots « Nous n’avons pas peur » . Un exemple typique est la proclamation suivante :

Nous n’avons pas peur de découvrir qu’il faudra verser trois fois plus de nourriture pour renverser l’ordre existant que les Jacobins (révolutionnaires français) n’ont dû en verser lors de leur révolution de 1790….. Si, pour atteindre nos objectifs, nous devions massacrer cent mille propriétaires terriens, nous n’en aurions pas peur non plus.

En réalité, le nombre de victimes était bien plus élevé. Churchill raconte dans ses Mémoires de la Seconde Guerre mondiale que Staline a avoué que dix millions de personnes sont mortes à la suite de la collectivisation de l’agriculture en Union soviétique.

Le fait important à retenir est que les communistes ont maintenant avoué, après un retard de près de cent ans, qu’à l’origine de leur mouvement se trouvait un cercle appelé « l’enfer » . Pourquoi « l’Enfer » ? Pourquoi pas « La Société pour l’amélioration du sort des pauvres » ou » …de l’humanité » ?

Pourquoi cette insistance sur l’enfer ?

Aujourd’hui, les communistes sont plus prudents. Mais au début, leur nom même révélait que leur but avoué était de recruter des hommes pour la damnation éternelle.

HUIT – ANGES DE LUMIÈRE

La messe sataniste

Le Dr Lawence Pazder, dans Michelle Remembers, nous donne les paroles exactes d’une messe sataniste hautement secrète, obtenues par analyse de régression auprès d’une jeune fille qui y avait assisté une vingtaine d’années auparavant. [NDLR: La régression est souvent synonyme d’hypnose, donc démoniaque. Les résultats ne sont pas à prendre comme vérité,. Le livre est très contesté.]

Au cours de cette messe, Satan apparaît et dit

De l’obscurité et du feu rouge
Vient un homme de la mort vivante ;
Je ne marche sur la terre que la nuit, je ne brûle que la lumière.
Je ne vais que là où tout le monde a peur ;
Je vais chercher ceux qui se sont égarés. Toutes les forces les plus sombres sont les miennes.
Allumez une lumière, faites qu’il fasse nuit.

Satan est manifestement personnifié par le grand prêtre de la secte. Ensuite, Satan prend une Bible dans sa main et dit :

“Aucun œil ne peut voir ce que ce livre dit :
Aucun œil ne peut voir ce que dit ce livre.
Ce qui est écrit dans ce livre est mort.
Aucun œil ne peut voir, pas même un ami.
En fin de compte, les livres sont à moi.
Vous pouvez écrire toute la journée, vous pouvez écrire toute la nuit,
Mais l’écriture n’apportera pas la lumière.
Je le brûlerai, je le rendrai noir
Je brûlerai tes mots de l’avant à l’arrière.
Je brûlerai chaque page, je mangerai chaque mot
Et je les recracherai pour ne jamais les entendre.
Le feu grandira, leurs yeux verront.
Le livre des mots ne me résistera pas.
Quand ils vieilliront, ils sauront et raconteront.
Le seul pouvoir vient de l’enfer.
Matthieu, Marc, Luc et Jean
Brûlez dans le feu et vous disparaîtrez.
Leurs paroles étaient des mensonges,
Mes enfants le verront.
Dans le feu, leur parole meurt.
La seule chose qui brûle encore, c’est la lumière qui me montre à vous.
C’est la lumière qui me montre à toi.
Je reviendrai, attendez et voyez.
Je reviendrai pour prendre le monde pour moi. Tout ce qui est parti doit revenir. J’ai été jeté dehors, mais je peux brûler.
Tournez, mes enfants, tournez.

Touchez chaque parcelle de terre. Touchez tous ceux que vous pouvez. Faites de chaque homme une bête.
Suit le chant de la congrégation :
Il est temps de passer du noir au rouge
Il est temps de passer de la vie à la mort.
Prince des ténèbres…
Aide-nous à célébrer la fête de l’avènement de la Bête.

Satan reprend la parole :

Le Saint, le Très-Haut
Ha, pas pour longtemps, bientôt ce sera moi.
Tous les pays que tu vois, j’y ai mis mes pièges, en attendant que la botte s’effondre.
L’argent, le nombre et le pouvoir de la haine, Voilà les choses sur lesquelles je m’appuie.
Le nombre de personnes – si nombreuses, chacune petite, Puis, avec tant d’argent, les petits sont grands.

Friedrich Nietzsche, dans la quatrième partie de Ainsi parlait Zarathoustra, sous le titre « Éveil » , fournit le texte d’une autre messe noire qu’il a lui-même composée. Son esprit ne diffère pas beaucoup de celui de la précédente.


Il est tragique de constater que des messes noires se sont infiltrées dans la vie de nombreux Américains, en particulier dans celle des enfants.

“Satan, Satan, Satan. Il est Dieu, il est Dieu, il est Dieu » .

Ces mots blasphématoires sont cachés dans les paroles des disques de rock que les jeunes écoutent à toute heure, souvent sans avoir conscience de ce à quoi ils sont soumis. Les mots sont cachés dans les paroles par le biais du « backward masking » .

Plusieurs groupes de rock ont utilisé cette technique. Le disque le plus vendu de Led Zeppelin, « Stairway to Heaven » , qui n’a pas grand sens tel qu’il est écrit, contient le message masqué suivant :

« Je chanterai parce que je vis avec Satan » .

Une autre chanson contient les mots suivants :

“Je décide de fumer de la marijuana » .

La persuasion subliminale est plus puissante, et donc plus dangereuse, que l’influence consciente.

Les messes noires publiques sont rares aujourd’hui, mais Stefan Zweig, dans sa biographie de Fouché, en décrit une qui s’est déroulée à Lyon pendant la Révolution française.

Un révolutionnaire, Chaber, avait été tué et la messe noire était célébrée en son honneur. Ce jour-là, les crucifix sont arrachés de tous les autels et les robes des prêtres sont confisquées. Une foule immense d’hommes portant un buste du révolutionnaire descendit sur la place du marché. Trois proconsuls sont présents pour honorer Chaber,

“le Dieu-Sauveur mort pour le peuple » .

La foule porte des calices, des images saintes et des ustensiles utilisés pour la messe. Derrière eux se trouve un âne portant une mitre d’évêque sur la tête. Un crucifix et une Bible avaient été attachés à sa queue.

Finalement, l’Évangile a été jeté au feu avec les missels, les livres de prières et les icones. En récompense de ses services blasphématoires, on fit boire l’âne dans un calice de communion. Le buste de Chalier a été placé sur un autel à la place de l’image brisée du Christ. Des dizaines d’anciens prêtres catholiques y ont participé.

Une médaille a été éditée pour commémorer cet événement. Les messes noires secrètes ne prennent pas cette forme, mais l’esprit est fondamentalement le même.

Le magazine russe Iunii Kommunist décrit en détail une messe sataniste au cours de laquelle le pain et le vin, mélangés à des excréments et à des larmes provenant d’une opération sur les yeux d’un coq vivant, sont « transsubstantiés » dans le corps et le sang présumés de Lucifer.

Au cours de cette cérémonie, les paroles de la messe sont lues de la fin au début, comme il est d’usage dans les rituels satanistes. Ensuite, un pacte est conclu entre Satan et ses adorateurs. Les points du contrat sont les suivants:

  • Renonciation à l’enseignement chrétien
  • nouveau baptême au nom du Diable, avec changement de nom ;
  • renonciation au parrain et à la marraine, avec substitution d’autres protecteurs ; apport de vêtements personnels en cadeau à Satan ;
  • serment de loyauté à Satan en se tenant dans un cercle magique ;
  • l’inscription du nom du nouveau membre dans le « Livre des morts » ,
  • par opposition au Livre de vie du Christ ;
  • la promesse de consacrer ses enfants au Diable, ainsi que des cadeaux et des actes qui lui sont agréables ;
  • le serment de garder les secrets de l’alliance des sorcières et de rabaisser la religion chrétienne.

Pourquoi les communistes extraient-ils de tels enseignements de vieux livres de démonologie et les recommandent-ils à la jeunesse en disant qu’ils sont « une riche matière à réflexion » ? Est-ce là tout ce que le marxisme a à offrir à l’esprit humain ?

Le magazine communiste poursuit :

Dans cet anti-monde diabolique, qui est extérieurement tout à fait semblable au nôtre, l’homme doit répondre par le mal à chaque succès de la vie.

Puis elle affirme effrontément que le slogan du satanisme est le suivant :

« Satan n’est pas l’ennemi de l’homme. Il est la Vie, l’Amour, la Lumière » .

L’article se termine par une citation d’Uspenskii exprimant l’espoir des communistes :

Il y a des idées qui touchent les coins les plus intimes de nos vies. Une fois qu’elles ont été touchées, les marques restent à jamais. Elles empoisonneront la vie.

Ce matériel insidieux est présenté de manière subtile, comme s’il s’agissait d’une information, mais son but réel est d’éveiller la curiosité morbide du lecteur, avec des effets ravageurs.

Lors de la cérémonie d’initiation au troisième degré de l’église sataniste, l’initié doit prêter le serment suivant :

« Je ne ferai toujours que ce que je veux » .

En d’autres termes, il n’y a pas d’autorité au-delà du moi pollué. Il s’agit d’une négation ouverte du commandement de Dieu,

« … ne cherche pas ton cœur et tes yeux, après lesquels tu te prostituais » (Nombres 15:39).

Les marxistes font appel aux passions les plus basses, attisant l’envie envers les riches et la violence envers tous. « C’est le mauvais côté qui fait l’histoire » , écrivait Marx, et il a joué un rôle majeur dans l’évolution de l’histoire.

Les révolutions ne font pas triompher l’amour. Au contraire, le meurtre devient une manie. Lors des révolutions russe et chinoise, après avoir assassiné des dizaines de millions d’innocents, les communistes n’ont pas pu s’empêcher de tuer et se sont brutalement entretués.

Tout est-il permis ?

Le culte sataniste est très ancien, plus ancien que le christianisme. Le prophète Isaïe l’avait peut-être à l’esprit lorsqu’il a écrit :

« Nous nous sommes tournés chacun vers sa propre voie, et le Seigneur a fait retomber sur lui (le Sauveur) la faute de nous tous » (Isaïe 53:6).

Le véritable sentiment religieux est à l’opposé. Certains rabbins hassidiques ne disaient jamais « je » , car ils considéraient que ce pronom n’appartenait qu’à Dieu. Sa volonté est contraignante pour le comportement humain.
En revanche, lorsqu’un homme ou une femme est initié au septième degré du satanisme, il jure que son principe sera : « Rien n’est vrai et tout est permis. » Lorsque Marx a rempli un questionnaire pour sa fille, il a répondu à la question « Quel est votre principe préféré ? » par les mots « Douter de tout » .

Marx a écrit dans le Manifeste communiste que son objectif était l’abolition non seulement de toutes les religions, mais aussi de toutes les morales, ce qui rendrait tout permis.

C’est avec un sentiment d’horreur que j’ai lu le mystère du septième degré du satanisme inscrit sur une affiche à l’université de Paris pendant les émeutes de 1968. Il avait été simplifié à la formule « Il est interdit d’interdire » , qui est la conséquence naturelle de « Rien n’est vrai, tout est permis » .

Les jeunes ne se sont évidemment pas rendu compte de la stupidité de la formule. S’il est interdit d’interdire, il doit aussi être interdit d’interdire d’interdire. Si tout est permis, il est aussi permis d’interdire.
Les jeunes pensent que la permissivité est synonyme de liberté. Les marxistes le savent mieux. Pour eux, la formule signifie qu’il est interdit d’interdire les dictatures cruelles comme celles de la Chine rouge et de l’Union soviétique.
Dostoïevski l’avait déjà dit : « S’il n’y a pas de Dieu, tout est permis » . S’il n’y a pas de Dieu, nos instincts sont libres. L’expression ultime de cette liberté est la haine. Celui qui est libre dans ce sens considère l’amour bienveillant comme une faiblesse de l’esprit.

Engels a dit : « L’amour généralisé des hommes est une absurdité » . Le penseur anarchiste Max Stirner, auteur de « Le moi et le moi, c’est la propriété » et ami de Marx, a écrit : « Je suis légitimement autorisé à faire tout ce dont je suis capable » .
Le communisme est une possession démoniaque collective. Soljenitsyne, dans L’Archipel du Goulag, révèle certains de ses horribles résultats sur l’âme et la vie des gens.
Le Marx mythique
Permettez-moi de répéter que je suis conscient que les preuves que j’ai fournies jusqu’à présent peuvent être considérées comme circonstancielles. Mais ce que j’ai écrit est suffisant pour montrer que ce que les marxistes disent de Karl Marx est un mythe. Il n’est pas animé par le souci de la pauvreté de ses semblables, pour laquelle la révolution était la seule solution. Il n’aimait pas le prolétariat, il le traitait de « cinglé » , de « stupide » , de « cul » , de « vaurien » , voire d’obscénités. Il n’aimait même pas ses camarades de lutte pour le communisme. Il appelait Freiligrath « le porc » , Lassalle « le nègre juif » , Bakounine « un zéro théorique » .
Le lieutenant Tchekhov, un combattant de la révolution de 1848 qui passait ses nuits à boire avec Marx, a déclaré que le narcissisme de Marx avait dévoré tout ce qu’il y avait de bon en lui.
Marx n’aimait certainement pas l’humanité. Giuseppe Mazzini, qui l’a bien connu, a écrit qu’il avait « un esprit destructeur. Son cœur éclate de haine plutôt que d’amour envers les hommes » .
Mazzini était lui-même un « Carbonari » . Cette organisation, fondée en 1815 par Maghella, un franc-maçon génois, déclarait que son « but final était celui de Voltaire et de la Révolution française – l’anéantissement complet du catholicisme et, en fin de compte, du christianisme » . Il s’agissait au départ d’une opération italienne, mais elle a ensuite pris une orientation européenne plus large.
Bien que Mazzini ait critiqué Marx, il a maintenu son amitié avec lui. L’encyclopédie juive indique que Mazzini et Marx ont été chargés de préparer l’adresse et la constitution de la Première Internationale. Cela signifie qu’ils étaient des oiseaux d’une même plume, même s’ils se sont parfois donné des coups de bec.
Je ne connais pas de témoignages des contemporains de Marx qui contredisent l’évaluation de Mazzini. L’homme aimant qu’était Marx est un mythe qui n’a été construit qu’après sa mort.
En fait, son vers préféré était cette citation de G. Werth : « Il n’y a rien de plus beau au monde que de mordre ses ennemis. Dans ses propres mots, il disait carrément : « Nous sommes sans pitié. Nous ne demandons pas de pitié. Quand notre tour viendra, nous ne fuirons pas le terrorisme » . Ce ne sont pas là les sentiments d’un amoureux.
Marx ne détestait pas la religion parce qu’elle faisait obstacle au bonheur de l’humanité. Au contraire, il voulait simplement rendre l’humanité malheureuse dans ce monde et pour l’éternité. C’est ce qu’il a proclamé comme son idéal. Son but avoué était la destruction de la religion. Le socialisme, le souci du prolétariat, l’humanisme ne sont que des prétextes.

Après avoir lu L’Origine des espèces de Charles Darwin, Marx écrit une lettre à Lassalle dans laquelle il se réjouit que Dieu – du moins dans les sciences naturelles – ait reçu « le coup de grâce » . Quelle est donc l’idée qui, dans l’esprit de Marx, l’emporte sur toutes les autres ? Le sort du prolétariat pauvre ? Dans ce cas, quelle valeur pouvait avoir la théorie de Darwin ? La seule conclusion possible est que l’objectif principal de Marx était la destruction de la religion.
Le bien des travailleurs n’était qu’un prétexte. Là où les prolétaires ne se battent pas pour les idéaux socialistes, les marxistes exploiteront les différences raciales ou le soi-disant fossé entre les générations. L’essentiel est que la religion soit détruite.

Marx croyait en l’enfer. Et son programme, la force motrice de sa vie, était d’envoyer les hommes en enfer.

Robin Goodfellow

Marx a écrit,

« Dans les signes qui déconcertent la classe moyenne, l’aristocratie et les prophètes de la régression, nous reconnaissons notre brave ami, Robin Goodfellow, la vieille taupe qui peut travailler si vite dans la terre – la révolution » .

Les universitaires qui ont lu ce texte n’ont apparemment jamais cherché à connaître l’identité de ce Robin Goodfellow, l’ami courageux de Marx, l’ouvrier de la révolution.

L’évangéliste du XVIe siècle William Tyndale a utilisé Robin Goodfellow pour désigner le diable. Shakespeare, dans son Songe d’une nuit d’été, l’appelait

« l’esprit malin qui égare les promeneurs nocturnes en riant de leur malheur » .

Ainsi, selon Marx, considéré comme le père du communisme, un démon était l’auteur de la révolution communiste et son ami personnel.

La tombe de Lénine

Dans sa révélation à saint Jean, Jésus a dit quelque chose de très mystérieux à l’église de Pergame (une ville d’Asie Mineure) :

« Je sais […] où tu demeures, où est le siège de Satan » (Apocalypse 2:13).

Pergame était apparemment un centre du culte sataniste à cette époque. Les guides touristiques Baedecker, mondialement connus, indiquent que l’autel de Zeus de Pergame se trouvait dans le musée de l’île jusqu’en 1944. Des archéologues allemands l’avaient déterré et il se trouvait au centre de la capitale nazie pendant le régime sataniste d’Hitler.

Icône impériale : l’autel de Pergame dans l’Allemagne wilhelminienne

Mais la saga du siège de Satan n’est pas terminée. Le Svenska Dagbladet (Stockholm) du 27 janvier 1948 révèle que :

1. L’armée soviétique,
après la conquête de Berlin, a transporté l’autel de Pergame d’Allemagne à Moscou. Cette énorme structure mesure 127 pieds de long sur 120 pieds de large et 40 pieds de haut.

Il est surprenant de constater que l’autel n’a été exposé dans aucun musée soviétique. Dans quel but a-t-il été transporté à Moscou ?

Nous avons déjà indiqué que des hommes au sommet de la hiérarchie soviétique pratiquaient des rituels satanistes. Ont-ils réservé l’autel de Pergame à leur usage privé ? De nombreuses questions restent sans réponse. Il suffit de dire que les objets d’une telle valeur archéologique ne disparaissent généralement pas, mais font la fierté des musées.

2. L’architecte Stjusev,
qui a construit le mausolée de Lénine, a utilisé cet autel de Satan comme modèle pour le mausolée en 1924.

NDLR: mausolée de Lénine et son défilé des pèlerins
devant les remparts du Kremlin, sur la place rouge

De nombreux visiteurs font la queue chaque jour pour visiter ce sanctuaire de Satan dans lequel repose la momie de Lénine. Les chefs religieux du monde entier rendent hommage au « saint patron » marxiste dans ce monument érigé en l’honneur de Satan.

Le temple sataniste de Pergame n’était qu’un temple parmi tant d’autres. Pourquoi Jésus l’a-t-il distingué ? Probablement pas à cause du rôle mineur qu’il jouait à l’époque. Ses paroles étaient plutôt prophétiques. Il a parlé du nazisme et du communisme, par lesquels cet autel serait honoré.

Il convient de noter avec ironie que sur la tombe du père de Lénine se trouvait une croix portant l’inscription « La lumière du Christ illumine tout le monde » et une multitude de versets bibliques.

NEUF – QUI ALLONS-NOUS SERVIR ?

Un appel à l’action

Ce livre a été écrit de manière exploratoire. Les penseurs chrétiens, comme les autres chercheurs, succombent souvent à la tentation de prouver des idées préconçues. Ils ne présentent pas nécessairement la vérité telle qu’ils l’ont constatée. Ils sont parfois enclins à déformer la vérité ou à exagérer leur argumentation afin de prouver leur point de vue.

Je ne prétends pas avoir apporté la preuve indiscutable que Marx était membre d’une secte d’adorateurs du diable, mais je pense qu’il y a suffisamment de pistes pour le suggérer fortement. Il y a certainement assez de pistes pour suggérer une influence satanique sur sa vie et ses enseignements, tout en concédant qu’il y a des lacunes dans une chaîne de preuves qui mènerait à une conclusion définitive en la matière. J’ai donné l’impulsion initiale. Je prie pour que d’autres poursuivent cette importante enquête sur la relation entre le marxisme et le satanisme.

En attendant, comment l’Église peut-elle vaincre le marxisme ?

Le monde séculier anticommuniste peut utiliser les armes des sanctions économiques, de la pression politique, des menaces militaires et de la propagande à grande échelle. L’Église doit certainement soutenir toutes les actions que la conscience peut approuver dans la lutte contre les ennemis de Dieu. Mais elle dispose également d’une arme qui lui est propre.

Le métropolite ukrainien de l’Église catholique de rite byzantin, le comte Andrew Sheptytsky, a un jour demandé à Rome d’ordonner des prières d’exorcisme contre les communistes, dont le « régime ne peut s’expliquer que par une possession massive du diable » .

Jésus n’a pas dit à ses disciples de se plaindre des démons, mais de les chasser (Matthieu 10:8). Je crois que cela peut être accompli efficacement, bien que ce livre ne puisse pas entrer dans les détails d’une telle prière.

Réaction des lecteurs

Les premières éditions de ce livre ont suscité des réactions intéressantes. Beaucoup l’ont accueilli comme une nouvelle découverte dans la compréhension du marxisme et m’ont donné de précieuses indications sur les endroits où je pourrais trouver de nouveaux documents.

D’autre part, une personnalité néerlandaise a consacré plusieurs colonnes de son magazine théologique à minimiser l’importance de cette découverte.

“Marx s’est peut-être adonné à la magie noire, mais cela ne compte pas beaucoup. Tous les hommes sont pécheurs, tous les hommes ont de mauvaises pensées. Il ne faut pas s’en inquiéter.”

Il est vrai que tous les hommes sont pécheurs, mais tous ne sont pas criminels. Tous les hommes sont pécheurs, mais certains sont des meurtriers et d’autres des juges justes qui les jugent.

Les crimes du communisme sont inégalés. Quel autre système politique a tué soixante millions d’hommes en un demi-siècle ? Soixante autres millions ont été tués en Chine rouge. (Certaines estimations sont beaucoup plus élevées.)

Il existe des degrés de péché et de criminalité. L’énormité des crimes est une mesure de l’intensité de l’influence satanique sur le fondateur du communisme moderne. Les péchés du marxisme, comme ceux du nazisme, dépassent l’ordinaire. Ils sont bel et bien sataniques.

J’ai également reçu des lettres de satanistes présentant des excuses pour leur religion. L’un d’entre eux écrit :

Pour défendre le satanisme, il suffit de s’appuyer sur la Bible. Pensez à tous les milliers de personnes terrestres, créées à l’image de Dieu, qui ont été détruites par le feu et le soufre (Sodome et Gomorrhe), par une série de fléaux mortels et, pour couronner le tout, par la noyade de la population de la terre, à l’exception de la famille de Noé. Toutes ces dévastations ont été provoquées par un Dieu / Seigneur / Jéhovah « miséricordieux » . Qu’aurait pu faire un dieu sans pitié ?
Mais dans toute la Bible, il n’y a aucune trace d’une seule mort provoquée par Satan ! Alors, applaudissons Satan !

Ce sataniste n’a pas bien étudié la Bible. La mort est entrée dans le monde par la tromperie de Satan, qui a attiré Ève dans le péché. Ce sataniste a également tiré ses conclusions trop tôt. Dieu n’en est pas fini avec sa création.

Au départ, chaque tableau est un mélange insensé, souvent laid, de lignes et de points de différentes couleurs. Il a fallu vingt ans à Vinci pour en faire la belle Joconde. Dieu crée aussi dans le temps. Avec le temps, il façonne les êtres et les détruit pour leur donner une nouvelle forme. La graine qui n’a ni beauté ni parfum meurt en tant que graine pour devenir une fleur splendide et parfumée. La chenille doit mourir comme telle pour devenir un beau papillon. Les hommes sont autorisés par Dieu à passer par les feux raffinant de la souffrance et de la mort. L’apothéose de la création sera un nouveau ciel et une nouvelle terre où la justice triomphera. Ceux qui ont suivi Satan devront alors souffrir une éternité de regrets.

Jésus a subi la flagellation et la crucifixion. Mais celui qui veut connaître Dieu doit regarder au-delà du tombeau, vers la résurrection et l’ascension de Jésus. En revanche, les ennemis de Jésus qui ont comploté sa mort ont mené leur peuple et leur temple à la destruction et ont perdu leur propre âme.
Notre critique a voulu comprendre Dieu par la raison, qui n’est pas l’instrument adéquat pour une créature. Dieu ne peut être compris par l’esprit, mais seulement par un cœur croyant.

Un Jamaïcain a demandé si l’Amérique qui exploite son pays n’est pas aussi satanique que Marx. Ce n’est pas le cas. Les Américains sont des pécheurs, comme tous les hommes. L’Amérique compte un petit groupe d’adorateurs du diable. Mais la nation américaine en tant que telle n’adore pas le diable. [NDLR: Aujourd’hui en 2023, le fruits du satanisme et du Marxisme ont déjà bien fait des ravages aux USA et ont renversé les valeurs de l’éducation.]

Nauka I Religia, le principal magazine athée de Moscou, contenait un long article écrit par deux philosophes, Belov et Shilkin. Ils affirment que …

Le tempérament de Wurmbrand pourrait être envié par les plus grands joueurs de football. Ses cris sont sauvages. Ce combattant appelle à une croisade contre le socialisme, qu’il qualifie de rejeton de Satan. Il a été emprisonné en Roumanie pour avoir distribué de la littérature religieuse incitant à la révolte contre le gouvernement !

Dans cet article, deux choses sont à noter. Premièrement, je suis traité de « pasteur diabolique » pour mon livre Was Karl Marx a Satanist ? bien que les auteurs ne puissent pas produire un seul fait pour réfuter la documentation étayant les liens de Marx avec une secte sataniste. Deuxièmement, l’article félicite les dirigeants chrétiens, même anticommunistes, qui ont pris position contre moi. Ils peuvent être des adversaires du communisme, mais tant qu’ils s’opposent à Wurmbrand, principal ennemi du communisme, ils sont approuvés par Moscou.

Une lettre remarquable m’a été adressée par un Nigérian qui avait été un dirigeant syndical marxiste pendant vingt ans. Mes écrits l’ont aidé à comprendre qu’il avait été égaré par Satan. En outre, il est devenu chrétien.

DIX – MARX OU CHRIST ?

Un mot pour les marxistes…

Si je devais m’adresser à un marxiste de base, j’exprimerais les préoccupations suivantes :

De nombreux marxistes d’aujourd’hui ne sont pas animés par l’esprit qui animait Hess, Marx ou Engels. Ils aiment vraiment l’humanité ; ils sont convaincus d’être enrôlés dans une armée qui lutte pour le bien universel. Ils ne souhaitent pas être les instruments d’une étrange secte sataniste.

Malheureusement, le marxisme satanique a une philosophie matérialiste qui rend ses adeptes aveugles aux réalités spirituelles. Mais la matière n’est pas tout ce qui existe. Il existe une réalité de l’esprit, de la vérité, de la beauté et des idéaux.

Il existe aussi un monde d’esprits mauvais, dont le chef est Satan. Il est tombé du ciel par orgueil et a entraîné avec lui une foule d’anges. Il a ensuite séduit les géniteurs de la race humaine. Depuis la chute, sa tromperie s’est perpétuée et accrue par tous les moyens imaginables, jusqu’à ce qu’aujourd’hui nous voyions la belle création de Dieu ravagée par les guerres mondiales, les révolutions et contre-révolutions sanglantes, les dictatures, l’exploitation, les racismes de toutes sortes, les fausses religions, l’agnosticisme et l’athéisme, les crimes et les escroqueries, les infidélités en amour et en amitié, les mariages rompus, les enfants rebelles.

L’humanité a perdu la vision de Dieu. Mais qu’est-ce qui a remplacé cette vision ? Est-ce quelque chose de meilleur ?

L’homme doit avoir et aura une sorte de religion. C’est dans sa nature d’adorer. S’il n’a pas une religion qui craint Dieu, il aura la religion de Satan et persécutera ceux qui n’adorent pas son « dieu » .

Pour l’instant, seuls quelques hauts dirigeants du communisme ont été et sont consciemment satanistes, mais il existe aussi un satanisme inconscient. Un homme peut être sataniste sans être conscient de l’existence d’une telle religion. Mais s’il déteste la notion de Dieu et le nom du Christ, s’il vit comme s’il n’était que matière, s’il nie les principes religieux et moraux, il est en fait un sataniste. Les adeptes de l’occultisme appartiennent à la même catégorie.

Le dimanche, à Francfort, en Allemagne de l’Ouest, il y a plus de gens qui se rendent à des réunions spirites, où les morts sont prétendument invoqués, qu’à des services religieux. Des églises satanistes sont connues à Munich et à Düsseldorf, par exemple » . Il existe de nombreuses églises de ce type en France, en Grande-Bretagne, aux États-Unis et dans d’autres pays.

En Grande-Bretagne, il y a trente-cinq mille sorcières pratiquantes. Les universités américaines et même les lycées proposent des cours de sorcellerie, d’astrologie, de vaudou, de magie et d’ESP. En France, quarante mille messes noires sont célébrées chaque année.

Les êtres humains peuvent abandonner Dieu, mais Dieu n’a jamais abandonné ses créatures. Il a envoyé dans le monde son Fils unique, Jésus-Christ, pour sauver la race humaine. L’amour et la compassion incarnés ont vécu sur terre dans la vie d’un pauvre enfant juif, puis d’un charpentier bossu et enfin d’un maître de justice.

L’homme opprimé ne peut pas se sauver lui-même, pas plus qu’un homme qui se noie ne peut se sortir de l’eau tout seul. C’est pourquoi Jésus, plein de compréhension pour nos conflits intérieurs, a pris sur lui tous nos péchés, y compris ceux de Marx et de ses disciples, et a porté la punition pour ce que nous avons fait. Il a expié notre culpabilité en mourant sur la croix du Golgotha, après avoir subi l’humiliation la plus terrible et la douleur la plus atroce.

Aujourd’hui, nous avons sa parole que quiconque met sa foi en lui est pardonné et vivra avec lui dans le paradis éternel. Même les marxistes notoires peuvent être sauvés. Il convient de noter que deux prix Nobel soviétiques, Boris Pasternak et Alexandre Soljenitsyne, tous deux anciens communistes, après avoir décrit les extrémités du crime auxquelles conduit le marxisme satanique, ont confessé leur foi en Christ. Svetlana Alliluyeva, la fille de Staline, le pire des massacreurs marxistes, est également devenue chrétienne.

Rappelons que l’idéal de Marx était de descendre dans l’abîme de l’enfer et d’y entraîner toute l’humanité à sa suite. Ne le suivons pas sur ce chemin vicieux, mais suivons plutôt le Christ qui nous conduit vers des sommets de lumière, de sagesse et d’amour, vers un ciel de gloire indicible.

Le grand golfe

Il est manifestement impossible de comparer Jésus à Marx. Jésus appartient à un tout autre domaine.

Marx était humain et probablement un adorateur du Malin. Jésus est Dieu et s’est abaissé au niveau de l’humanité pour la sauver.

Marx proposait un paradis humain. Lorsque les Soviétiques ont essayé de le mettre en œuvre, le résultat a été un enfer.

Le royaume de Jésus n’est pas de ce monde. C’est un royaume d’amour, de justice et de vérité. Il lance un appel à tous, y compris aux marxistes et aux satanistes :

Venez à moi, vous tous qui peinez et qui êtes chargés, et je vous donnerai du repos (Matthieu 11:28).

Tous ceux qui croient en lui auront la vie éternelle dans son paradis céleste.
Il n’y a pas d’accord possible entre le christianisme et le marxisme, tout comme il ne peut y avoir d’accord entre Dieu et le Diable. Jésus est venu détruire les œuvres du Malin (1 Jean 3:8). En le suivant, les chrétiens s’efforcent de détruire le marxisme tout en gardant l’amour pour le marxiste individuel et en essayant de le gagner au Christ.

Certains proclament qu’ils sont des chrétiens marxistes. Soit ils sont trompeurs, soit ils sont trompés. On ne peut pas être un chrétien marxiste, pas plus qu’on ne peut être un chrétien adorateur du diable.

Au fil des ans, les objectifs satanistes du marxisme n’ont pas changé. Le philosophe marxiste Ernst Bloch écrit dans son livre L’athéisme dans le christianisme que
la séduction du premier couple humain par le serpent ouvre la voie du salut pour l’humanité. L’homme commence donc à devenir un dieu, c’est la voie de la rébellion.

La prêtrise et les possesseurs de biens ont refoulé cette vérité. Le péché originel consiste en ce que l’homme ne veut pas être comme Dieu. L’homme doit conquérir le pouvoir. La théologie de la révolution veut que l’homme conquière le pouvoir de Dieu. Le monde doit être changé à l’image de l’homme. Il ne devrait pas y avoir de ciel du tout. La croyance en un Dieu personnel est la chute dans le péché. Cette chute doit être réparée.

Il existe un fossé entre le christianisme et le communisme qui ne peut être comblé que dans un sens : Les marxistes doivent abandonner leur maître inspiré par le diable, se repentir de leurs péchés et devenir des disciples de Jésus-Christ.

Les marxistes sont préoccupés par les problèmes sociaux et politiques, mais ceux-ci devront être résolus en dehors des principes du marxisme. Pour Marx, le socialisme n’était qu’un faux-semblant. Son but était de ruiner l’humanité pour l’éternité, un plan diabolique. En revanche, le Christ veut notre salut éternel.

Dans la lutte entre le christianisme et le communisme, les croyants …

“ne luttent pas contre la chair et le sang, mais contre les principautés, contre les puissances, contre les dominateurs des ténèbres de ce monde, contre la méchanceté spirituelle dans les lieux élevés » (Éphésiens 6:12).

Chacun de nous doit choisir non seulement entre le bien et le mal abstraits, mais aussi entre Dieu et Satan. Marx croyait en Dieu et le détestait. Même dans sa vieillesse, il adorait Satan.

Le marxiste moyen et le sympathisant du marxisme ne devraient pas suivre Marx dans cette aberration spirituelle. Rejetons le bourgeois Marx, porteur de ténèbres, et Engels, propriétaire d’usine et donc, selon le dogme marxiste, exploiteur. Choisissons plutôt la Lumière du Monde et le premier Bienfaiteur de l’humanité, Jésus le travailleur, le Charpentier, le Sauveur, le Seigneur de tous.

“Prolétaires du monde, pardonnez-moi !

Que le satanisme marxiste ait ravagé le monde est terrible. Qu’il ait pénétré dans les hautes sphères de l’Église est impensable. Et pourtant, c’est le cas.

Pour ne citer qu’un exemple, le défunt pape Jean-Paul 1er a fait l’éloge de Giuseppe Carducci, un professeur d’université italien, comme exemple d’un bon enseignant pour la jeunesse. Qui est l’homme recommandé par le pape ? Carducci est devenu célèbre grâce à son « Hymne à Satan » , qui commence ainsi :

Mon vers ardent est pour toi. Je t’invoque, Satan, roi de la fête » .

Il se termine par :

“Dans la sainteté, l’encens et les vœux doivent monter vers toi, Satan. Tu as vaincu Jéhovah, le dieu des prêtres » .

(Je concède à ce pape qu’il ne savait peut-être pas qui il recommandait, mais il est répréhensible qu’un évêque soutienne un inconnu).

En 1949, un général soviétique a dit à un prêtre catholique, Werenfried van Straaten :

Nous sommes l’élite de Satan, mais vous, êtes-vous l’élite de Dieu ?”

Nous ne devons pas rester silencieux sur ces questions.

Nous avons vu dans ce livre jusqu’où les adorateurs du diable sont prêts à aller. Que leur dévouement au mal nous incite à nous comporter comme des élus de Dieu !
Pendant les troubles en Pologne en 1982, on pouvait voir des inscriptions moqueuses sur les murs. Par exemple,

“Marx a dit : Prolétaires du monde, pardonnez-moi ! »

au lieu de l’habituel « Prolétaires du monde, unissez-vous ! » .

J’ai frémi en lisant ces mots.

On dit d’Engels qu’il s’est repenti avant sa mort. Il n’y a rien de tel pour Marx. En 1983, beaucoup ont commémoré le centenaire de sa mort. Aurait-il organisé cette même commémoration en enfer ? En écrivant ce livre, j’ai passé de nombreuses nuits blanches à penser à ce que Marx doit endurer en regardant peut-être en enfer les rivières de larmes et de sang qu’il a fait couler.

Jésus a raconté l’histoire d’un homme riche dans le feu éternel qui exprimait un désir ardent : que ses frères soient avertis de ne pas finir dans le même lieu de tourment. Marx a-t-il le même désir : que ses disciples soient avertis de ne pas marcher sur ses traces qui mènent à la perdition ?

Les Polonais ont-ils raison lorsqu’ils font dire à Marx « pardonnez-moi » ? S’écrie-t-il vraiment du feu – comme cela pourrait vraiment être le cas –

“Envoie quelqu’un dans ma maison, car j’ai beaucoup de camarades, afin qu’il leur rende témoignage, de peur qu’ils ne viennent eux aussi dans ce lieu de tourments » (Luc 16:2 , 28)

Les communistes soviétiques ont fait du tort à leur cause en reniant Staline, qui était devenu une idole populaire. On ne peut que spéculer sur les raisons qui les ont poussés à permettre un tel revirement de politique, car il n’était certainement pas dans leur intérêt de retirer le cadavre de Staline du mausolée. De même, les communistes chinois ont nui à leur propre cause en reniant Mao et en emprisonnant sa femme.

Peut-être que dans les profondeurs cachées de leur âme, les dirigeants communistes soviétiques et chinois ont ressenti ce qui est aujourd’hui le désir ardent de leurs anciennes idoles, qui ont trop tardé à éprouver des remords pour ce qu’elles avaient fait et enseigné.

Quant à moi, j’aime tous les hommes, y compris les marxistes et les satanistes. Si Marx et Engels et Moses Hess vivaient encore aujourd’hui, mon souhait le plus ardent serait de les amener à Jésus-Christ, qui seul a la réponse aux maux de l’homme et le remède à ses péchés.

C’est le souhait que je formule pour vous, lecteur. Vous avez parcouru avec moi les pages terribles de ce livre. Maintenant, je vous demande instamment de réfléchir attentivement à votre loyauté avant qu’il ne soit trop tard. Abandonnez Satan et ses cohortes maléfiques. L’histoire prouve qu’il n’est jamais fidèle aux siens. Choisissez donc la vie, l’amour, l’espoir et le paradis.

Marxistes et prolétaires du monde entier, unissez-vous autour de Jésus-Christ !

ANNEXE – LE COMMUNISME PEUT-IL ÊTRE CHRÉTIEN ?

La théologie « chrétienne » marxiste

Ernesto Cardenal est un prêtre catholique qui s’est déclaré communiste et a été actif dans le gouvernement communiste du Nicaragua. Il est également l’un des principaux représentants de la théologie dite de la libération, qui existe à la fois dans le catholicisme et le protestantisme et qui cherche à mélanger le christianisme et le communisme.

Voici quelques extraits de son livre The Zero Hour :

Un monde de communisme parfait est le royaume de Dieu sur terre. Pour moi, c’est la même chose…. C’est par l’Évangile que je suis arrivé à la révolution, non pas par Karl Marx, mais par le Christ. C’est l’Évangile qui m’a fait devenir marxiste…. J’ai une vocation de poète et de prophète….
Castro m’a dit que les qualités d’un bon révolutionnaire sont aussi celles d’un bon prêtre…. N’oublions pas que les premiers chrétiens étaient les meilleurs chrétiens, c’est-à-dire des chrétiens révolutionnaires et subversifs….
Le marxisme est le fruit du christianisme ; sans le christianisme, le marxisme serait impossible ; Marx serait impensable sans les prophètes de l’Ancien Testament. En changeant le système de production, nous pouvons créer l’homme nouveau de l’Évangile… Le jésuite mexicain José Miranda affirme dans son livre Marx aid the Bible que les dix commandements sont marxistes, même le premier commandement, celui d’aimer Dieu. Pour lui, aimer Jéhovah avant tout signifie aimer la justice. Si l’Église a jamais affirmé autre chose, c’était une monstruosité.

Je crois que les communistes appartiennent eux aussi à l’Église. Je crois que la véritable Église comprend de nombreuses personnes qui ne se considèrent pas comme des chrétiens, même celles qui se considèrent comme des athées. Nombre d’entre eux appartiennent davantage à l’Église que certains membres de la Curie romaine. Depuis Constantin, l’Église s’est toujours couchée avec l’État. Si les chrétiens et les marxistes lisaient les écrits des uns et des autres, il n’y aurait plus de conflits entre les chrétiens et le socialisme…. Il me semble que les prêtres ouvriers et les révolutionnaires – la patte la plus progressiste de l’église – sont inspirés directement par le Saint-Esprit.
Pour moi, le Dieu de la Bible est aussi le Dieu du marxisme-léninisme…. L’apôtre Jean dit : « Personne n’a vu Dieu » . Ce que disent les marxistes athées ressemble beaucoup à ce que dit saint Jean : « Personne n’a vu Dieu » .


Un autre auteur cite Cardenal comme suit :

Je suis avant tout un révolutionnaire et, en tant que tel, je lutte pour un pays socialiste qui est en train de passer par une dictature du prolétariat, dans laquelle il ne peut certainement pas se montrer faible envers les ennemis de sa patrie, même dans les moments où l’on en arrive à devoir exécuter des hommes dans ce but.
Il est évident qu’un homme qui pense ainsi n’a aucune raison de faire l’éloge du régime cubain comme modèle de liberté.

La théologie de la libération n’est pas un phénomène isolé. Elle est le sous-produit d’une tendance générale à synthétiser le marxisme et le christianisme ; on la retrouve également dans diverses formes de compromis en politique, en art, en économie, etc.

Deux juifs, Bernstein et Schwartz, ont composé la comédie musicale The Mass pour l’inauguration du John Kennedy Center for the Performing Arts à Washington en 1971. Pendant le Kyrie Eleison, le Gloria et le Credo, un groupe de chanteurs et de danseurs hurle ses doutes :

Dieu a fait de nous le patron ;
Dieu nous a donné la croix.
Nous l’avons transformée en épée
Pour répandre la parole du Seigneur.
Nous utilisons ses saints décrets
Pour faire tout ce qui nous plaît. Oui, c’est vrai.
Donne-nous la paix pour que nous ne continuions pas à la briser. Donnez-nous quelque chose ou nous commencerons à prendre. Nous en avons assez de votre silence céleste, Et nous n’obtenons d’action que par la violence.

Les multimillionnaires « chrétiens » présents au concert ont applaudi. Leurs épouses, vêtues de jupes fendues et de corsages décolletés, parées de bijoux, se sont jointes aux applaudissements. La musique fait désormais partie du répertoire standard.
Je peux comprendre des hommes comme le prêtre Cardenal. Il y a une part de vérité dans le sentiment de solidarité qu’il exprime à l’égard des communistes, qui lui apparaissent comme les champions de la cause des pauvres, toujours chère au cœur des chrétiens.

Dans la Bible, Job est qualifié d’homme juste. Il décrit à ses amis douteux le programme de sa vie :

… J’ai secouru le pauvre qui criait, l’orphelin, et celui qui n’avait personne pour le secourir…. J’ai été un père pour les pauvres, et j’ai cherché la cause que je ne connaissais pas. J’ai brisé les mâchoires du méchant, j’ai arraché le butin de ses dents Job 29:12, 16, 17).

Ces mots pourraient être prononcés par n’importe quel révolutionnaire. Job poursuit :

N’ai-je pas pleuré sur le malheureux ? Mon âme ne s’est-elle pas affligée pour le pauvre ? (30:25). Si j’ai méprisé la cause de mon serviteur et de ma servante, quand ils se disputaient avec moi, que ferai-je quand Dieu se lèvera ? (31:13, 14).

Les vrais croyants ont toujours réagi de la sorte.

L’affirmation de Cardenal selon laquelle « l’Église s’est toujours couchée avec l’État » est fausse. Par exemple, la guerre de sécession aux États-Unis, qui a conduit à l’abolition de l’esclavage, a été influencée par La Case de l’oncle Tom, écrite par une chrétienne, Harriet Beecher Stowe. Elle disait simplement : « C’est le Seigneur qui l’a écrit » .

Au cours d’un service de communion, elle a eu la vision d’un vieil esclave battu à mort par un ruffian blanc. C’est ainsi qu’est née l’histoire de la flagellation de l’oncle Tom. Le livre a été un bâton de dynamite enfoncé dans les fondations de l’esclavage.

Charles Spurgeon, le plus grand prédicateur baptiste du siècle dernier, était également un ardent combattant de l’esclavage. Il a écrit :

“Si l’esclavage n’est pas mauvais, rien n’est mauvais » .

Wilberforce, chrétien et capitaliste, a fait abolir l’esclavage dans l’Empire britannique bien avant la guerre de Sécession. Lincoln, également chrétien, a publié la Proclamation d’émancipation qui a libéré les esclaves aux États-Unis.

La théologie de la libération, qui ignore ces faits, est largement répandue dans le tiers monde. Ses théoriciens ne peuvent se dire chrétiens qu’en raison du chaos de pensée qui règne actuellement dans l’Église.

Selon le décret du 28 juillet 1949 du Saint-Office de l’Église catholique romaine, les catégories suivantes de catholiques doivent être excommuniées :

  • Quiconque appartient au parti communiste ;
  • Quiconque fait de la propagande en sa faveur de quelque manière que ce soit ;
  • Quiconque vote pour lui et ses candidats ;
  • Quiconque écrit pour la presse communiste, la lit et la diffuse ;
  • Quiconque reste membre d’une organisation communiste ;
  • Quiconque confesse l’enseignement matérialiste et anti-chrétien du communisme athée
  • l’enseignement matérialiste et anti-chrétien du communisme athée ;
  • Quiconque le défend et le diffuse.

Cette peine s’applique également aux partis qui font cause commune avec le
communisme.

De nombreux théologiens révolutionnaires n’appartiennent que formellement à l’Église catholique, mais exercent une grande influence sur les croyants. Dans les églises orthodoxes également, il existe une tendance à exploiter, au profit du communisme, les énergies spirituelles que la religion éveille et canalise.

Les théologiens de la libération proclament un paradis terrestre. Le communisme est ce paradis, le capitalisme son ennemi. L’Église n’attend plus la venue de Jésus sur les nuages du ciel. Le triomphe du communisme sera assimilé à sa venue. Cela explique pourquoi, dans les pays communistes, le gouvernement communiste qui déteste Dieu a payé le clergé.

Il faut dire que parmi les catholiques et les orthodoxes, il y a aussi des évêques qui craignent d’être absorbés par des activités terrestres et qui recherchent plutôt une vie spirituelle plus profonde. Tous ne se sont pas prosternés devant Baal.

En ce qui concerne les protestants, Richard Arens, conseiller général de la Commission des activités anti-américaines de la Chambre des représentants des États-Unis, a déclaré lors des auditions du 26 février 1966 :

“Jusqu’à présent, dans la direction de l’Église catholique, il n’y a pas eu de changement radical :
Jusqu’à présent, au sein de la direction du Conseil national des Églises, nous avons trouvé plus de 100 personnes ayant des antécédents communistes ou des antécédents de services rendus à des causes communistes. L’ensemble des affiliations des dirigeants se chiffre en milliers.

Le Conseil œcuménique des Églises subventionne depuis des années les guérillas communistes en Afrique.
Le catholique Gustavo Gutierrez a écrit dans La théologie de la libération : « L’Église doit se situer clairement dans le processus de révolution. La théologienne luthérienne Dorothee Sölle, fondatrice de Chrétiens pour le socialisme, a écrit : « Nous sommes au début d’un nouveau chapitre de l’histoire chrétienne. Il ne s’écrira pas sans Karl Marx » .

Tels sont les faits, ouverts et incontestés, de ce qui se passe dans l’Église universelle.

Nous n’avons pas tenu compte de l’avertissement du Seigneur de se méfier des loups déguisés en brebis. Si le vêtement nous parle de faire du bien à l’humanité, nous nous laissons prendre, oubliant que le pire des hommes peut dire de belles choses.

En 1907, les socialistes allemands ont ouvert leur congrès avec l’hymne de Luther, A Mighty Fortress, en remplaçant « Dieu » par « Socialist League » . Certains groupes révolutionnaires pratiquent le baptême. L’un d’entre eux réclame un nouveau service de communion au cours duquel le pasteur proclamerait :

“Ceci est le corps du pain que les riches doivent aux pauvres » .

Les groupes révolutionnaires parlent de « la sainte Église communiste » , « l’Église égalitaire en dehors de laquelle il n’y a pas de salut » . Leur « Notre Père » disait : « Pas de maîtres et pas de serviteurs – Amen. L’argent et la propriété seront abolis » (voir James Billington, Fire in the Minds of Men, Basic Books, 1985).

Le Diable se déguise en ange de lumière. L’arrivée au pouvoir des communistes a donné lieu à des massacres sans précédent, qui éclipsent même l’holocauste hitlérien.

Les ecclésiastiques qui étaient du côté du communisme en sont aussi les victimes. Si le communisme conquiert les pays du tiers-monde, les théologiens de la libération se retrouvent en prison avec ceux qui s’opposent à cette idéologie.

Le communisme parfait : Royaume de Dieu sur terre ?

Le communisme et le royaume de Dieu sont pour moi la même chose » ,

affirme le P. Cardenal.

Le mot « communisme » en lui-même est vague. Il ne désigne qu’un système économique dans lequel chacun travaillera selon ses capacités et recevra selon ses besoins. Il n’y aura pas d’Etat, pas de division du monde en pays, pas de classes sociales, car les moyens de production appartiendront à toute l’humanité.

À supposer que cela soit possible, où est Dieu dans le tableau ? Pourquoi l’assimiler au royaume de Dieu ? Une société d’incroyants, voire d’hommes qui haïssent et méprisent Dieu, pourrait choisir ou être forcée de vivre dans un tel état.

L’Écriture dit que lorsque le royaume sera le Seigneur, « toutes les extrémités du monde se souviendront de l’Éternel et se tourneront vers lui, et toutes les nations se prosterneront devant toi » (Psaume 22:27).

Le royaume de Dieu ne sera pas une société sans État. Il sera dominé par le peuple des saints du Très-Haut (Daniel 7:27).

Ce n’est pas un royaume instauré par un parti politique, mais par Jésus, le Fils de l’homme (Matthieu 16:28).

Évidemment, il n’y aura aucun des maux qui affligent la société actuelle, comme la guerre, la famine, la peste, la pollution, l’injustice, l’exploitation, le racisme, etc. Le royaume de Dieu sera celui de la justice, de la paix, de l’amour, de la joie et du droit de posséder sa propre demeure et son propre jardin (Jean 14:2).

Le père Cardenal, qui se prétend prophète, doit savoir ce qu’a dit son prédécesseur biblique Michée :

“Dans les derniers jours, chacun s’assiéra sous sa vigne et sous son figuier » (4:1, 4).

Le prophète Isaïe renforce cette idée :

“Ils ne bâtiront pas, et un autre habitera ; ils ne planteront pas, et un autre mangera » (65:22).

L’Écriture soutient donc la notion de propriété privée.

À quoi ressemblerait un communisme parfait dans la réalité ? La perfection, telle que nous la concevons en tant qu’êtres humains, est l’aboutissement ultime d’années de pratique – dans le domaine du sport, de la musique, de la dactylographie ou de toute autre compétence. Un violoniste perfectionne son interprétation d’un concerto de Beethoven en s’exerçant à jouer du violon. Un lanceur de Baseball atteint le succès en affinant sa technique grâce à des efforts intensifs et persistants.

Le communisme parfait, décrit comme la libération économique, la liberté, la paix et la justice, ne pourrait être atteint que par la mise en pratique de ces politiques dans la société qu’il espère avantager.

Mais dans la réalité, les communistes ont emprisonné, torturé et terrorisé des centaines de millions de personnes pendant près de soixante-dix ans. Comment une telle pratique pourrait-elle déboucher sur une société juste, douce et aimante ?

Le communisme chrétien est une impossibilité utopique, un cauchemar d’exploitation. La théologie de la révolution est une absurdité patente, une contradiction dans les termes.

Quelle communion y a-t-il entre la justice et l’injustice ? Quelle communion y a-t-il entre la lumière et les ténèbres ? Quel accord y a-t-il entre le Christ et Bélial, ou entre celui qui croit et l’infidèle ? (2 Corinthiens 6:14, 15).

“Vous ne pouvez pas servir Dieu et Mammon » , a dit Jésus. Choisissez aujourd’hui qui vous voulez servir.

Karl Marx and Satan (english)

Marx and Satan
By Richard Wurmbrand

“I wish to avenge myself against the One who rules above …”
“The idea of God is the keynote of a perverted civilization. It must be destroyed.”

Karl Marx

Marx began life in a God-fearing family. It is documented that he was once a Christian. But a drastic change at some point in his life led Karl Marx to a deep personal rebellion against God and all Christian values. Eventually, he became a Satan worshipper who regularly participated in occult practices and habit. By examining Marx’s poetry, plays, correspondence, and biographical account, Richard Wurmbrand builds a convincing case for Marx’s undeniably Satanic preference. Marx’s own statements expose him as a hater of God, and therefore, a hater of God’s creatures-those who have suffered under Marxism and communism. Wurmbrand, who was imprisoned for 14 years in Europe for his outspoken views against communism, urges Christians not to be duped by Marxism’s benevolent disguise as a mere political or economic theory. He reveals the true root of Marxist thinking so that Christians will recognize the evil therein and stand against it. Having been a prisoner of the Communist government in Romania, Rev. Richard Wurmbrand has thoroughly researched his subject and seen its effects firsthand. He and his wife founded Jesus to the Communist World to help Christians who suffer at the hands of communism and Marxism. Wurmbrand has over a dozen books in print here and in Europe, among them:


Tortured for Christ
One Hundred Prison Meditations Where Christ Still Suffers
Answer to the Moscow Atheists

INTRODUCTION
ONE Changed Loyalties
TWO Against All Gods
THREE Ruined Faith
FOUR Too Late
FIVE A Cruel Counterfeit
SIX A Spiritual Warfare
SEVEN Marx, Darwin, and Revolution
EIGHT Angels of Light
NINE Whom Will We Serve?
TEN Marx or Christ?
APPENDIX: Can Communism Be Christian?

INTRODUCTION
This work started as a small brochure containing only hints about possible connections between Marxism and the Satanist church.
No one had ventured to write about this before. Therefore I was cautious, even timid. But in the course of time more and more evidence has accumulated in my files, evidence I hope will convince you of the spiritual danger part and parcel of communism.
Marxism has governed over one-third of mankind. If it could be shown that the originators and perpetrators of this movement were indeed behind closed-doors devil-worshipers, consciously exploiting Satanic powers, would not such a startling realization require action?
If some were to reject my thesis out of hand, it would not surprise me. Science and technology advance at a rapid pace because we are always ready to scrap obsolescent machinery in favour of new conveniences. It is quite different in affairs of sociology or religion. Ideas die hard, and a mindset, unlike a computer chip, is not easily altered or replaced. Even fresh evidence may fail to persuade. The doors of some minds have rusty hinges. But I offer credit e proofs to support my thesis, and I invite you to carefully consider them.
The Communists certainly took note of this book, which has been translated into Russian, Chinese, Romanian, German, Slovak, and other languages, and was smuggled into Iron Curtain countries in great quantities. For instance, the East Berlin journal Deutsche Lehrerzeitung, under the heading “The Killer of Marx,” denounced my book vehemently, calling it “the most broadly based, provocative, and heinous work written against Marx.”
Can Marx be so easily destroyed? Is this his Achilles’ heel? Would Marxism be discredited if men knew about his connection with Satanism? Do enough people care?
Marxism is the great fact of modern life. Whatever your opinion of it, whether or not you believe in the existence of Satan, whatever importance you attach to the cult of Satan practiced in certain circles, I ask you to consider, weigh, and judge the documentation I present here.
I trust it will help you orient yourself to the problems with which Marxism still confronts every inhabitant of the globe today.
The majority of the members of the Russian Parliament remain Communists. Russia and its surrounding area remain on the brink of Civil war. – Ed. Notes 1993
Richard Wurmbrand

ONE – CHANGED LOYALTIES
Marx’s Christian Writings
Today much of the world is still Marxist. Marxism in one form or another is embraced by many in capitalist countries, too. There are even Christians, aid amazingly, clergymen, some in high standing, who are sure that while Jesus might have had the right answers about how to get to heaven, Marx had the right answers about how to help the hungry, destitute, and oppressed here on earth.
Marx, it is said, was deeply humane. He was dominated by one idea: how to help the exploited masses. What impoverishes them, he maintained, is capitalism. Once this rotten system is overthrown after a transitional period of dictatorship of the proletariat, a society will emerge in which everyone will work according to his abilities in factories and farms belonging to the collective, and will be rewarded according to his needs. There will be no state to rule over the individual, no wars, no revolution, only an everlasting, universal brotherhood.

In order for the masses to achieve happiness, more is needed than the overthrow of capitalism. Marx writes:
The abolition of religion as the illusory happiness of man is a requisite for their real happiness. The call to abandon their illusions about their conditions is a call to abandon a condition which requires illusions. The criticism of religion is, therefore, the criticism of this vale of tears of which religion is the halo.
Allegedly, Marx was antireligious because religion obstructs the fulfilment of the Communist ideal, which he considered the only answer to the worlds problems.
This is how Marxists explain their position, and sadly there are clergymen who explain it in the same way. Rev Oestreicher of Britain said in a sermon:
Communism, whatever its present varied forms of expression, both good and bad, is in origin a movement for the emancipation of man from exploitation by his fellowman. Sociologically, the Church was and largely still is on the side of the world’s exploiters. Karl Marx, whose theories only thinly veil a passion for justice and brotherhood that has its roots in the Hebrew prophets, loathed religion because it was used as an instrument to perpetuate a status quo in which children were slaves and worked to death in order to make others rich here in Britain. It was no cheap jibe a hundred years ago to say that religion was the opium of the masses… As members of the body of Christ we must come in simple penitence knowing that we owe a deep debt to every Communist.
Marxism makes an impression on people’s thinking because of its success, but success proves nothing. Witch doctors often succeed too. Success confirms error as well as truth. Conversely, failure can be constructive, opening the way to deeper truth. So an analysis of some of Marx’s works should be made without regard to their success.
Who was Marx? In his early youth, Karl Marx professed to be and lived as a Christian. His first written work is called The Union o f the Faithful with Christ. There we read these beautiful words:
Through love of Christ we turn our hearts at the same time toward our brethren who are inwardly bound to us and for whom He gave Himself in sacrifice.
Marx knew a way for men to become loving brethren toward one another-Christianity.
He continues:
Union with Christ could give an inner elevation, comfort in sorrow, calm trust, and a heart susceptible to human love, to everything noble and great, not for the sake of ambition and glory, but only for the sake of Christ.
At approximately the same time Marx writes in his thesis Considerations o f a Young Man on Choosing His Career:

Religion itself teaches us that the Ideal toward which all strive sacrificed Himself for humanity, and who shall dare contradict such claims? If we have chosen the position in which we can accomplish the most for Him, then we can never be crushed by burdens, because they are only sacrifices made for the sake of all.
Marx started out as a Christian believer. When he finished high school, the following was written on his graduation certificate under the heading “Religious Knowledge”:
His knowledge of the Christian faith and morals is fairly clear and well grounded. He knows also to some extent the history of the Christian church.
However, in a thesis written at the same time he repeated six times the word “destroy,” which not even one of his colleagues used in the exam. “Destroy” then became his nickname. It was natural for him to want to destroy because he spoke about mankind as “human trash” and said, “No man visits me and I like this, because present mankind may [an obscenity]. They are a bunch of rascals.”
Marx’s First Anti-God Writings
Shortly after Marx received this certificate, something mysterious happened in his life: he became profoundly and passionately antireligious. A new Marx began to emerge.
He writes in a poem, “I wish to avenge myself against the One who rules above.”~ So he was convinced that there is One above who rules, but was quarrelling with Him. Yet, the One above had done him no wrong. Marx belonged to a relatively well-to-do family. He had not faced hunger in his childhood. He was much better off than many fellow students. What produced such a terrible hatred for God? No personal motive is known. Was Karl Marx in this declaration only someone else’s mouthpiece? We don’t know.
At an age when most young men have beautiful dreams of doing good to others and preparing a career for themselves, the young Marx wrote the following lines in his poem “Invocation of One in Despair”:
So a god has snatched from me my all, In the curse and rack of destiny. All his worlds are gone beyond recall. Nothing but revenge is left to me.
I shall build my throne high overhead, Cold, tremendous shall its summit be. For its bulwark – superstitious dread. For its marshal – blackest agony.
Who looks on it with a healthy eye, Shall turn back, deathly pale and dumb, Clutched by blind and chill mortality, May his happiness prepare its tomb

Marx dreamt about ruining the world created by God. He said in another poem:
Then I will be able to walk triumphantly, Like a god, through the rains of their kingdom. Every word of mine is fire and action. My breast is equal to that of the Creator.
The words “I shall build my throne high overhead” and the confession that from the one sitting on this throne will emanate only dread and agony remind us of Lucifer’s proud boast, “I will ascend into heaven, I will exalt my throne above the stars of God” (Isaiah 14:13).
Perhaps it was no coincidence that Bakunin, who was for a time one of Marx’s most intimate friends, wrote,
One has to worship Marx in order to be loved by him. One has at least to fear him in order to be tolerated by him. Marx is extremely proud, up to dirt and madness.
The Satanist Church and Oulanem Why did Marx wish such a throne?
The answer is found in a little-known drama which he also composed during his student years. It is called Oulanem. To explain this title, a digression is needed.
One of the rituals of the Satanist church is the back mass, which Satanist priests recite at midnight. Black candles are put in the candlesticks upside down. The priest is dressed in his ornate robes, but with the lining outside. He says all things prescribed in the prayer book, but reads from the end toward the beginning. The holy names of God, Jesus, and Mary are read inversely. A crucifix is fastened upside down or trampled upon. The body of a naked woman serves as an altar. A consecrated wafer stolen from a church is inscribed with the name Satan and is used for a mock communion. During the black mass a Bible is burned. All those present promise to commit the seven deadly sins, as enumerated in Catholic catechisms, and never to do any good. An orgy follows.
Devil worship is very old. The Bible has much to say about – and against – it. For example, the Jews, though entrusted by God with the true religion, sometimes faltered in their faith and “sacrificed unto devils” (Deuteronomy 32:17). And King Jeroboam of Israel once ordained priests for devils (2 Chronicles 11:15).
So from time immemorial men have believed in the existence of the Devil. Sin and wickedness are the hallmark of his kingdom, disintegration and destruction its inevitable result. The great concentrations of evil design in times past as well as in modern communism and nazism would have been impossible without a guiding force, the Devil himself. He has been the mastermind, the secret agent, supplying the unifying energy in his grand scheme to control mankind.

Characteristically, “Oulanem” is an inversion of a holy name. It is an anagram of Emmanuel, a Biblical name of Jesus which means in Hebrew “God with us.” Such inversions of names are considered effective in black magic.
We will be able to understand the drama Oulanem only in the light of a strange confession that Marx made in a poem called “The Player,” later downplayed by both himself and his followers:
The hellish vapours rise and fill the brain,
Till I go mad and my heart is utterly changed.
See this sword?
The prince of darkness
Sold it to me.
For me he beats the time and gives the signs.
Ever more boldly I play the dance of death.
These lines take on special significance when we learn that in the rites of higher initiation in the Satanist cult an “enchanted” sword which ensures success is sold to the candidate. He pays for it by signing a covenant, with blood taken from his wrists, agreeing that his soul will belong to Satan after death.
(To enable the reader to grasp the horrid intent of these poems, I should mention – though with natural revulsion – that “The Satanic Bible,” after saying “the crucifix symbolizes pallid incompetence hanging on a tree,” calls Satan “the ineffable Prince of Darkness who rules the each.” As opposed to “the lasting foulness of Bethlehem,” “the cursed Nazarene,” “the impotent king,” “fugitive and mute god,” “vile and abhorred pretender to the majesty of Satan,” the Devil is called “the God of Light,” with angels “cowering and trembling with fear and prostrating themselves before him” and “sending Christian minions staggering to their doom.”)
Now I quote from the drama Oulanem itself:
And they are also Oulanem, Oulanem. The name rings forth like death, rings forth Until it dies away in a wretched crawl. Stop, I’ve got it now! It rises from my soul As clear as air, as strong as my bones.
Yet I have power within my youthful arms
To clench and crush you (i.e., personified humanity] with tempestuous force,
While for us both the abyss yawns in darkness. You will sink down and I shall follow laughing, Whispering in your ears, “Descend, come with me, friend.”


The Bible, which Marx had studied in his high school years and which he knew quite well in his mature years, says that the Devil will be bound by an angel and cast into the bottomless pit (abyssos in Greek; see Revelation 20:3). Marx desires to draw the whole of mankind into this pit reserved for the Devil and his angels.
Who speaks through Marx in this drama? Is it reasonable to expect a young student to entertain as his life’s dream the vision of mankind entering into the abyss of darkness (“outer darkness” is a Biblical expression for hell) and of himself laughing as he follows those he has led to unbelief? Nowhere in the world is this ideal cultivated except in the initiation rites of the Satanist church at its highest degrees.


When, in the drama, the time comes for Oulanem’s death, his words are:
Ruined, ruined. My time has clean run out.


The clock has stopped, the pygmy house has crumbled. Soon I shall embrace eternity to my breast, and soon I shall howl gigantic curses on mankind.
Marx had loved the words of Mephistopheles in Faust: “Everything in existence is worth being destroyed.” Everything, including the proletariat and the comrades. Marx quotes these words in The 18th Brumaire. Stalin acted on them and destroyed even his own family.


Satan is called in Faust the spirit that denies everything. This is precisely Marx attitude. He writes about “pitiless criticism of all that exists”; “war against the situation in Germany”; “merciless criticism of all.” He adds, “It is the first duty of the press to undermine the foundations of the existing political system.” Marx said about himself that he is “the most outstanding hater of the so-called positive.”


The Satanist sect is not materialistic. It believes in eternal life. Oulanem, the person through whom Marx speaks, does not question this. He asserts eternal life, but as a life of hate magnified to its extreme.
It is worth noting that eternity for devils means torment. Note Jesus’ reproach by demons: “Art thou come hither to torment us before the time?” (Matthew 8:29).


Marx is similarly obsessed:
Ha! Eternity! She is our eternal grief,
An indescribable and immeasurable Death, Vile artificiality conceived to scorn us,
Ourselves being clockwork, blindly mechanical, Made to be the fool-calendars of Time and Space, Having no purpose save to happen, to be ruined, So that there shall be something to ruin.
We begin now to understand what has happened to young Marx. He had had Christian convictions, but had not led a consistent life. His correspondence with his father testifies to his squandering great sums of money on pleasures and his constant quarrelling with parental authority about this and other matters. Then he seems to have fallen in with the tenets of the highly secret Satanist church and received the rites of initiation.

Satan, who his worshipers see in their hallucinatory orgies, actually speaks through them. Thus Marx is only Satan’s mouthpiece when he utters in his poem “Invocation of One in Despair” the words, “I wish to avenge myself against the One who rules above.” – Listen to the end of Oulanem:
If there is a Something which devours,
I’ll leap within it, though I bring the
world to ruins –


The world which bulks between me
and the abyss
I will smash to pieces with my enduring curses.
I’ll throw my arms around its harsh reality, Embracing me, the world will dumbly pass away,
And then sink down to utter nothingness, Perished, with no existence – that would be really living.
Marx was probably inspired by the words of the Marquis de Sade:
I abhor nature. I would like to split its planet, hinder its process, stop the circles of stars, overthrow the globes that float in space, destroy what serves nature, protect what harms it-in a word, I wish to insult it in my works… . Perhaps we will be able to attack the sun, deprive the universe of it, or use it to set the world on fire. These would be real crimes.


De Sade and Marx propagate the same ideas!
Honest men, as well as men inspired by God, often seek to serve their fellowmen by writing books to increase their store of knowledge, improve their morality, stimulate religious sentiments, or at least provide relaxation and amusement. The Devil is the only being who consciously purveys only evil to humankind, and he does this through his elect servants.


As far as I know, Marx is the only renowned author who has ever called his own writings “shit,” “swinish books.” He consciously, deliberately gives his readers filth. No wonder, then, that some of his disciples, Communists in Romania and Mozambique, forced prisoners to eat their own excrement and drink their own urine.
In Oulanem Marx does what the Devil does: he consigns the entire human race to damnation.
Oulanem is probably the only drama in the world in which all the characters are aware of their own corruption, and flaunt it and celebrate it with conviction. In this drama there is no black and white. There exist no Claudius and Ophelia, Iago and Desdemona. Here all are servants of darkness, all reveal aspects of Mephistopheles. All are Satanic, corrupt, doomed.

TWO – AGAINST ALL GODS
Satan in Marx’s Family
When he wrote the works quoted in the last chapter, Marx, a premature genius, was only eighteen. His life’s program had thus already been established. He had no vision of serving mankind, the proletariat, or socialism. He merely wished to bring the world to ruin, to build for himself a throne whose bulwark would be human fear.
At that point, correspondence between Karl Marx and his father included some especially cryptic passages. The son writes,
A curtain had fallen. My holy of holies was rent asunder and new gods had to be installed.


These words were written on November 10, 1837 by a young man who had professed Christianity until then. He had earlier declared that Christ was in his heart. Now this is no longer so. Who are the new gods installed in Christ’s place?
The father replies, “I refrained from insisting on an explanation about a very mysterious matter although it seemed highly dubious.”
What was this mysterious matter? No biographer of Marx has explained these strange sentences.
On March 2, 1837, Marx’s father writes to his son:


Your advancement, the dear hope of seeing your name someday of great repute, and your earthly well-being are not the only desires of my heart. These are illusions I had had a long time, but I can assure you that their fulfillment would not have made me happy. Only if your heart remains pure and beats humanly and if no demon is able to alienate your heart from better feelings, only then will I be happy.
Marx 1839

What made a father suddenly express the fear of demonic influence upon a young son who until then had been a confessed Christian? Was it the poems he received as a present from his son for his fifty-fifth birthday?
The following quotation is taken from Marx’s poem “On Hegel”:
Words I teach all mixed up into a devilish muddle. Thus, anyone may think just what he chooses to think.
Here also are words from another epigram on Hegel:
Because I discovered the highest,
And because I found the deepest through meditation, I am great like a God;
I clothe myself in darkness like Him.
In his poem “The Pale Maiden,” he writes:
Thus heaven I’ve forfeited, I know it full well.
My soul, once true to God, Is chosen for hell.
No commentary is needed. Marx had started out with artistic ambitions. His poems and drama are important in revealing the state of his heart; but having no literary value, they received no recognition. Lack of success in drama gave us a Goebbels, the propaganda minister of the Nazis; in philosophy a Rosenberg, the purveyor of German racism; in painting and architecture a Hitler.
Hitler was a poet too. It can be assumed that he never read Marx’s poetry, but the resemblance is striking. In his poems Hitler mentions the same Satanist practices:


On rough nights, I go sometimes
To the oak of Wotan in the still garden, To make a pact with dark forces.
The moonlight makes runes appear.
Those that were sunbathed during the day Become small before the magic formula.
“Wotan” is the chief god of German heathen mythology. “Runes” were symbols used for writing in olden times.


Hitler soon abandoned a poetic career, and so did Marx, who exchanged it for a revolutionary career in the name of Satan against a society which had not appreciated his poems. This is conceivably one of the motives for his total rebellion. Being despised as a Jew was perhaps another.


Two years after his father’s expressed concern, in 1839, the young Marx wrote The Difference Between Democritus’ aid Epicures’ Philosophy of Nature, in the preface to which he aligns himself with the declaration of Aeschylus, “I harbor hatred against all gods.” This he qualifies by stating that he is against all gods on earth and in heaven that do not recognize human self-consciousness as the supreme godhead.


Marx was an avowed enemy of all gods, a man who had bought his sword from the prince of darkness at the price of his soul. He had declared it his aim to draw all mankind into the abyss and to follow them laughing.
Could Marx really have bought his sword from Satan?
His daughter Eleanor says that Marx told her and her sisters many stories when they were children. The one she liked most was about a certain Hans Röckle.
The telling of the story lasted months and months, because it was a long, long story and never finished. Hans Röckle was a witch … who had a shop with toys and many debts…. Though he was a witch, he was always in financial need. Therefore he had to sell against his will all his beautiful things, piece after piece, to the Devil…. Some of these adventures were horrifying and made your hair stand on end?
Is it normal for a father to tell his little children horrifying stories about selling one’s dearest treasures to the Devil? Robert Payne in his book Marx also recounts this incident in great detail, as told by Eleanor – how unhappy Röckle, the magician, sold the toys with reluctance, holding on to them until the last moment. But since he had made a pact with the Devil, there was no escaping it. Marx’s biographer continues,
There can be very little doubt that those interminable stories were autobiographical. He had the Devil’s view of the world, and the Devil’s malignity. Sometimes he seemed to know that he was accomplishing works of evil
When Marx had finished Oulanem and other early poems in which he wrote about having a pact with the Devil, he had no thought of socialism. He even fought against it. He was editor of a German magazine, the Rheinische Zeitung , which “does not concede even theoretical validity to Communist ideas in their present form, let alone desire their practical realization, which it anyway finds impossible…. Attempts by masses to carry out Communist ideas can be answered by a cannon as soon as they have become dangerous….”
Marx Will Chase God from Heaven
After reaching this stage in his thinking, Marx met Moses Hess, the man who played the most important role in his life, the man who led him to embrace the Socialist ideal.
Hess calls him “Dr. Marx – my idol, who will give the last kick to medieval religion and politics.” To give a kick to religion was Marx’s first aim, not socialism.


Georg Jung, another friend of Marx at that time, writes even more clearly in 1841 that Marx will surely chase God from His heaven and will even sue Him. Marx calls

Christianity one of the most immoral religions. No wonder, for Marx now believed that Christians of ancient times had slaughtered men and eaten their flesh.
These then were the expectations of those who initiated Marx into the depths of Satanism. There is no support for the view that Marx entertained lofty social ideals about helping mankind, saw religion as a hindrance in fulfilling this ideal, and for this reason embraced an antireligious attitude. On the contrary, Marx hated any notion of God or gods. He determined to be the man who would kick out God-all this before he had embraced socialism, which was only the bait to entice proletarians and intellectuals to embrace this devilish ideal.
Eventually Marx claims not to even admit the existence of a Creator. Incredibly, he maintained that mankind shaped itself. He wrote,
Seeing that for the Socialist man all of so-called world history is nothing other than the creation of man through human work, than the development of nature for man, he has the incontestable proof of his being born from himself…. The criticism of religion ends with the teaching that man is the supreme being for man.
When no Creator is acknowledged, there is no one to give us commandments, or to whom we are accountable. Marx confirms this by stating, “Communists preach absolutely no morals.” When the Soviets in their early years adopted the slogan, “Let us drive out the capitalists from earth and God from heaven,” they were merely fulfilling the legacy of Karl Marx.
One of the peculiarities of hack magic, as mentioned earlier, is the inversion of names. Inversions in general so permeated Marx’s whole manner of thinking that he used them throughout. He answered Proudhon’s book The Philosophy of Misery with another book entitled The Misery of Philosophy. He also wrote, “We have to use instead of the weapon of criticism, the criticism of weapons.”
Here are further examples of Marx’s use of inversion in his writing:
Let us seek the enigma of the Jew not in his religion, but rather let us seek the enigma of his religion in the real Jew. Luther broke the faith in authority, because he restored the authority of faith. He changed the priests into laymen, because he changed the laymen into priests.
Marx used this technique in many places. He used what could be called typical Satanist style.
Shifting gears somewhat, men usually wore beards in Marx’s time, but not beards like his, and they did not have long hair. Marx’s manner and appearance was characteristic of the disciples of Joanna Southcott, a cultist priestess of an occult sect who claimed to be in contact with the ghost Shiloh.
It is strange that some sixty years after her death in 1814,
the Chatham group of Southcottians were joined by a soldier, James White, who, after his period of service in India, returned and took the lead locally, developing further the doctrines of Joanna … with a communistic tinge.

Marx did not often speak publicly about metaphysics, but we can gather his views from the men with whom he associated. One of his partners in the First International was Mikhail Bakunin, a Russian anarchist, who wrote:


The Evil One is the satanic revolt against divine authority, revolt in which we see the fecund germ of all human emancipations, the revolution. Socialists recognise each other by the words “In the name of the one to whom a great wrong has been done.”
Satan [is] the eternal rebel, the first freethinker and the emancipator of worlds. He makes man ashamed of his bestial ignorance and obedience; he emancipates him, stamps upon his brow the seal of liberty and humanity, in urging him to disobey and eat of the fruit of knowledge.
Bakunin does more than praise Lucifer. He has a concrete program of revolution, but not one that would free the poor from exploitation. He writes:
In this revolution we will have to awaken the Devil in the people, to stir up the basest passions. Our mission is to destroy, not to edify. The passion of destruction is a creative passion.
Marx, along with Bakunin, formed the First International and endorsed this strange program. Marx and Engels said in The Communist Manifesto that the proletarian sees law, morality, and religion as “so many bourgeois prejudices, behind which lurk in ambush just as many bourgeois interests.”
Bakunin reveals that Proudhon, another major Socialist thinker and at that time a friend of Karl Marx, also “worshiped Satan.” Hess had introduced Marx to Proudhon, who wore the same hair style typical of the nineteenth-century Satanist sect of Joanna Southcott.
Proudhon, in The Philosophy of Misery, declared that God was the prototype for injustice.
We reach knowledge in spite of him, we reach society in spite of him. Every step forward is a victory in which we overcome the Divine.
He exclaims,
Come, Satan, slandered by the small and by kings. God is stupidity and cowardice; God is hypocrisy and falsehood; God is tyranny and poverty; God is evil. Where humanity bows before an altar, humanity, the slave of kings and priests, will be condemned…. I swear, God, with my hand stretched out towards the heavens, that you are nothing more than the executioner of my reason, the sceptre of my conscience…. God is essentially anticivilized, antiliberal, antihuman.
Proudhon declares God to be evil because man, His creation, is evil. Such thoughts are not original; they are the usual content of sermons delivered in Satanist worship.
Marx later quarreled with Proudhon and wrote a book to refute his Philosophy of Misery. But Marx contradicted only minor economic doctrines. He had no objection to Proudhon’s demonic anti-God rebellion.

Heinrich Heine, the renowned German poet, was a third intimate friend of Marx. He too was a Satan fancier. He wrote:
I called the devil and he came, His face with wonder I must scan; He is not ugly, he is not lame. He is a delightful, charming man.
“Marx was a great admirer of Heinrich Heine… . Their relationship was warm, hearty.”


Why did he admire Heine? Perhaps for Satanist thoughts like the following:
I have a desire … for a few beautiful trees before my door, and if dear God wishes to make me totally happy, he will give me the joy of seeing six or seven of my enemies hanged on these trees. With a compassionate heart I will forgive them after death all the wrong they have done to me during their life. Yes, we must forgive our enemies, but not before they are hanged.
I am not revengeful. I would like to love my enemies. But I cannot love them before taking revenge upon them. Only then my heart opens for them. As long as one has not avenged himself, bitterness remains in the heart.
Would any decent man be an intimate friend of one who thinks like this?
But Marx and his entourage thought alike. Lunatcharski, a leading philosopher who was once minister of education of the U.S.S.R., wrote in Socialism aid Religion that Marx set aside all contact with God and instead put Satan in front of marching proletarian columns.
It is essential at this point to state emphatically that Marx and his comrades, while anti-God, were not atheists, as present-day Marxists claim to be. That is, while they openly denounced and reviled God, they hated a God in whom they believed. They challenged not His existence, but His supremacy.
When the revolution broke out in Paris in 1871, the Communard Flourens declared, “Our enemy is God. Hatred of God is the beginning of wisdom.”
Marx greatly praised the Communards who openly proclaimed this aim. But what has this to do with a more equitable distribution of goods or with better social institutions? Such are only the outward trappings for concealing the real aim – the total eradication of God and His worship. We saw the evidence of this in such countries as Albania, and today in North Korea, where all churches, mosques, and pagodas have been closed.

Marx’s Devilish Poetry
We see this clearly in Marx’s poetry. In “Invocation of One in Despair” and “Human Pride” man’s supreme supplication is for his own greatness. If man is doomed to perish through his own greatness, this will be a cosmic catastrophe, but he will die as a godlike being, mourned by demons. Marx’s ballad “The Player” records the singer’s complaints against a God who neither knows nor respects his art. This emerges from the dark abyss of hell, bedeviling the mind and bewitching the heart, and his dance is the dance of death.” The minstrel draws his sword and throws it into the poet’s soul.
Art emerging from the dark abyss of hell, bedeviling the mind … This reminds us of the words of the American revolutionary Jerry Rubin in Do It:
We’ve combined youth, music, sex, drugs, and rebellion with treason-and that’s a combination hard to beat.
In his poem “Human Pride,” Marx admits that his aim is not to improve the world or to reform or revolutionize it, but simply to ruin it and to enjoy its being ruined:
With disdain I will throw my gauntlet Full in the face of the world,
And see the collapse of this pygmy giant Whose fall will not stifle my ardour. Then will I wander godlike and victorious Through the ruins of the world
And, giving my words an active force, I will feel equal to the Creator.
Marx adopted Satanism after intense inner struggle. He ceased writing poems during a period of severe illness, a result of the tempest within his heart. He wrote at that time about his vexation at having to make an idol of a view he detested. He felt sick.
The overriding reason for Marx’s conversion to communism appears clearly in a letter of his friend Georg Jung to Ruge: it was not the emancipation of the proletariat, nor even the establishing of a better social order. Jung writes:
If Marx, Bruno Bauer and Feuerbach associate to found a theological-political review, God would do well to surround himself with all his angels and indulge in self-pity, for these three will certainly drive him out of heaven….
Were these poems the only expressly Satanist writings of Karl Marx? We do not know, because the bulk of his works is kept secret by those who guard his manuscripts.
In The Revolted Man, Albert Camus stated that thirty volumes of Marx and Engels have never been published and expressed the presumption that they are not much like what is generally known as Marxism. On reading this, I had one of my secretaries write to the Marx Institute in Moscow, asking if this assertion of the French writer is true.
I received a reply.

The vice director, one Professor M. Mtchedlov, after saying Camus lied, nevertheless confirmed his allegations. Mtchedlov wrote that of a total of one hundred volumes, only thirteen have appeared. He offered a ridiculous excuse for this: World War II forestalled the printing of the other volumes. The letter was written in 1980, thirty-five years after the end of the war. And the State Publishing House of the Soviet Union surely has sufficient funds.
From this letter it is clear that though the Soviet Communists had all the manuscripts for one hundred volumes, they chose to publish only thirteen. There is no other explanation than that most of Marx’s ideas were deliberately kept secret.
Marx’s Ravaged Life
All active Satanists have ravaged personal lives, and this was the case with Marx as well.
Arnold Künzli, in his book Karl Marx – A Psychogram, writes about Marx’s life, including the suicide of two daughters and a son-in-law Three children died of malnutrition. His daughter Laura, married to the Socialist Lafargue, also buried three of her children; then she and her husband committed suicide together. Another daughter Eleanor, decided with her husband to do likewise. She died; he backed out at the last minute.
Friedrich Engels and Karl Marx; in the front Marx’ wife Jenny and her children Laura and Eleanor (1864)
Marx felt no obligation to earn a living for his family, though he could easily have done so through his tremendous knowledge of languages. Instead, he lived by begging from Engels. He had an illegitimate child by his maidservant, Helen Demuth. Later he attributed the child to Engels, who accepted this comedy. Marx drank heavily. Riazanov, director of the Marx-Engels Institute in Moscow, admits this fact in his book Karl Marx, Mai, Thinker aid Revolutionist.
Eleanor was Marx’s favorite daughter. He called her Tussy and frequently said, “Tussy is me.” She was shattered when she heard about the scandal of illegitimacy from Engels on his deathbed. It was this that led to her suicide.
It should be noted that Marx, in The Communist M^nifesto, had railed against capitalists “having the wives and daughters of their proletarians at their disposal.” Such hypocrisy was not out of character for Karl Marx.
There was an even darker spot in the life of Marx, the great revolutionary. The German newspaper Reichsruf (January 9, 1960) published the fact that the Austrian chancellor Julius Raab donated to Nikita Khrushchev, then director of Soviet Russia, an original letter of Karl Marx. Khrushchev did not enjoy it, because it was proof that Marx had been a paid informer of the Austrian police, spying on revolutionaries.
The letter had been found accidentally in a secret archive. It indicated that Marx, as an informer, reported on his comrades during his exile in London. He received $25 for each bit of information he turned up. His notes were about the revolutionary exiles in London, Paris, and Switzerland.
One of those against whom he informed was Ruge, who considered himself an intimate friend of Marx. Cordial letters between the two still exist.
Rolv Heuer describes Marx’s ravaged financial life in Genius and Riches:
While he was a student in Berlin, the son of papa Marx received 700 thalers a year pocket-money.
This was an enormous sum because at that time only 5 percent of the population had an annual income greater than 300 thalers. During his lifetime, Marx received from Engels some six million French francs, according to the Marx Institute.
Yet he always lusted after inheritances. While an uncle of his was in agony, Marx wrote, “If the dog dies, I would be out of mischief.” To which Engels answers, “I congratulate you for the sickness of the hinderer of an inheritance, and I hope that the catastrophe will happen now “
“The dog” died, and Marx wrote on March 8, 1855,
A very happy event. Yesterday we were told about the death of the ninety-year-old uncle of my wife. My wife will receive some one hundred Lst; even more if the old dog has not left a pate of his money to the lady who administered his house.
He did not have any kinder feelings for those who were much nearer to him than his uncle. He was not even on speaking terms with his mother. In December 1863 he wrote to Engels,

Two hours ago a telegram arrived co say that my mother is dead. Fate needed to take one member of the family. I already had one foot in the grave. Under the circumstances I am needed more than the old woman. I have to go to Trier about their inheritance.
This was all he had to say at his mother’s passing. In addition, the relationship between Marx and his wife was demonstrably poor. She abandoned him twice but returned each time. When she died, he did not even attend her funeral.
Always in need of funds, Marx lost much money at the stock exchange, where he, the great economist, knew only how to lose.
Marx was an intellectual of high caliber, as was Engels. But their correspondence is full of obscenities, unusual for their class of society. Foul language abounds, and there is not one letter in which one hears an idealist speaking about his humanist or Socialist dream.
Since the Satanist sect is highly secret, we have only reports about the possibilities of Marx’s connections with it. But his disorderly life is undoubtedly another link in the chain of evidence already considered.

THREE – RUINED FAITH
Engels’s Counter-Conversion
Since Friedrich Engels figures prominently in Marx’s life, I will give brief material about him. Engels had been brought up in a pietistic family. In fact, in his youth he had composed beautiful Christian poems. After meeting Marx, he wrote about him:
Who is chasing wild endeavour? A black man from Trier [Marx’s birthplace], a remarkable monster. He does not walk or run, he jumps on his heels and rages full of anger as if he would like to catch the wide tent of the sky and throw it to the earth. He stretches his arms far away in the air; the wicked fist is clenched, he rages without ceasing, as if ten thousand devils had caught him by the hair.
Friedrich Engels
Engels had begun to doubt the Christian faith after reading a book written by a liberal theologian, Bruno Bauer. He had had a great struggle in his heart. He wrote at that time,
I pray every day, indeed almost all day, for truth, and I have done so ever since I began to doubt, but still I cannot go back. My tears are welling as I write.
Engels never found his way back to the Word of God, joining instead the one whom he himself had called “the monster possessed by ten thousand devils.” He had experienced a counter-conversion.
What kind of person was Bruno Bauer, the liberal theologian who played a decisive role in the destruction of Engels’s Christian faith and who endorsed Marx in his new anti-Christian ways? Did he have any connection with demons?
Like Engels himself, he started life as a believer and later as a conservative theologian, even writing against critics of the Bible. Afterward he himself became a radical critic of the Holy Scriptures and creator of a materialistic Christianity which

insisted that Jesus was only human, not the Son of God. Bauer wrote to his friend Arnold Ruge, also a friend of Marx and Engels, on December 6, 1841:
I deliver lectures here at the university before a large audience. I don’t recognize myself when I pronounce my blasphemies from the pulpit. They are so great that these children, whom nobody should offend, have their hair standing on end. While delivering the blasphemies, I remember how I work piously at home writing an apology of the holy Scriptures and of the Revelation. In any case, it is a very bad demon that possesses me as often as I ascend the pulpit, and I am so weak that I am compelled to yield to him…. My spirit of blasphemy will be satisfied only if I am authorized to preach openly as professor of the atheistic system.
The man who convinced him to become a Communist was the same Moses Hess who had previously convinced Marx. Hess wrote, after meeting Engels in Cologne,
He parted from me as an overzealous Communist. This is how I produce ravages…
To produce ravages-was this Hess’s supreme purpose in life? It is Lucifer’s, too.
The traces of having been a Christian never disappeared from Engels ‘s mind. In 1865 he expressed his admiration for the song of the Reformation, “A Mighty Fortress Is Our God,” calling it “a triumphal hymn which became the Marseillaise of the sixteenth century.” There are also other such pro-Christian statements from his pen.
The tragedy of Engels is moving, and even more gripping than that of Marx. Here is a wonderful Christian poem written in his youth by the man who would later become Marx’s greatest accomplice in the attempted destruction of religion:
Lord Jesus Christ, Gods only son,
O step down from Thy heavenly throne
And save my soul for me.
Come down in all Thy blessedness.
Light of Thy Fathers holiness,
Grant that I may choose Thee.
Lovely, splendid, without sorrow is the joy
with which we raise, Saviour, unto Thee our praise.
And when I draw my dying breath And must endure the pangs of death, Firm to Thee may I hold;
That when my eyes with dark are filled And when my beating heart is stilled, In Thee shall I grow cold.
Up in Heaven shall my spirit praise Thy name eternally,
Since it lies safe in Thee.
O were the time of joy but nigh When from Thy loving bosom I Might draw new life that warms.

And then, O God, with thanks to Thee,
Shall I embrace those dear to me
Forever in my arms. Ever, ever, ever-living, Thee abiding to behold Shall my life anew unfold.
Thou camest Humankind to free From death and ill, that there might be Blessings and fortune everywhere. And now with this, Thy new descent, On Earth all shall be different;
To each man shalt Thou give his share.
After Bruno Bauer had sown doubts in his soul, Engels wrote to some friends,
It is written, “Ask and it shall be given unto you.” I seek truth wherever I have the hope of finding at least a shadow of it. Still I cannot recognize your truth as the eternal truth. Yet it is written, “Seek and ye shall find. Who is the man among you who would give to his child a stone, when it asks for bread? Even less will your Father who is in heaven.”
Tears come into my eyes while I write this. I am moved through and through, but I feel I will not be lost. I will come to God, after whom my whole soul longs. This, too, is a witness of the Holy Spirit. With this I live and with this I die. … The Spirit of God witnesses to me, that I am a child of God.
Engels was very well aware of the danger of Satanism. In his book Schelling Philosopher in Christ, Engels wrote:
Since the terrible French Revolution, an entirely new, devilish spirit has entered into a great part of mankind, and godlessness lifts its daring head in such an unashamed and subtle manner that you would think the prophecies of Scripture are fulfilled now Let us see first what the Scriptures say about the godlessness of the last times. The Lord Jesus says in Matthew 24:11-13: “Many false prophets shall rise, and shall deceive many. And because iniquity shall abound, the love of many shall wax cold. But he that shall endure unto the end, the same shall be saved. And this gospel of the kingdom shall be preached in all the world for a witness unto all nations; and then shall the end come.” And then in verse 24: “There shall arise false Christ’s, and false prophets, and shall show great signs and wonders; insomuch that, if it were possible, they shall deceive the very elect.” And St. Paul says, in II Thessalonians 2:3ff.: “That man of sin shall be revealed, the son of perdition, who opposes and exalts himself above all that is God, or that is worshipped…. [The coming of the Wicked] is after the working of Satan with all power and signs and lying wonders, and with all deceivableness of unrighteousness in them that perish; because they received not the love of the truth, that they might be saved. And for this cause God shall send them strong delusion, that they should believe a lie: that they all might be damned who believed not the truth, but had pleasure in unrighteousness.”
Engels quotes Scripture after Scripture, just as the most Bible-believing theologian would do.

He continues:
We have nothing to do any more with indifference or coldness toward the Lord. No, it is an open, declared enmity, and in the place of all sects and parties we have now only two: Christians and anti-Christians…. We see the false prophets among us…. They travel throughout Germany and wish to intrude everywhere; they teach their Satanic teachings in the market-places and bear the flag of the Devil from one town to another, seducing the poor youth, in order to throw them in the deepest abyss of hell and death.
He finishes this book with the words of Revelation:
Behold, I come soon. Keep what you have, that nobody takes away from you your crown. Amen.
The man who wrote such poems and such warnings against Satanism, the man who prayed with tears to beware of this danger, the man who recognized Marx as being possessed with a thousand devils, became Marx’s closest collaborator in the devilish fight, “for Communism abolishes eternal truths, it abolishes all religion, and all morality….”
Liberal theology had accomplished this monstrous change. Thus it shares with Marx and Engels the guilt for the tens of millions of innocents killed by communism to date. What spiritual tragedy!
Marx Hates Whole Nations
Shifting now from Engels to Marx, Marx’s whole attitude and conversation were Satanic in nature.
Though a Jew, he wrote a pernicious anti-Jewish book called The Jewish Question. In 1856, he wrote in The New York Tribune an article entitled “The Russian Loan,” in which we read:
We know that behind every tyrant stands a Jew, as a Jesuit stands behind every Pope. As the army of the Jesuits kills every free thought, so the desire of the oppressed would have chances of success, the usefulness of wars incited by capitalists would cease, if it were not for the Jews who steal the treasures of mankind. It is no wonder that 1856 years ago Jesus chased the usurers from the Jerusalem temple. They were like the contemporary usurers who stand behind tyrants and tyrannies. The majority of them are Jewish. The fact that the Jews have become so strong as to endanger the life of the world causes us to disclose their organization, their purpose, that its stench might awaken the workers of the world to fight and eliminate such a canker.
Did Hitler say anything worse than this?

(Strangely, Marx also wrote to the contrary, in The Capital, Volume I, under the heading “The Capitalist Character of Manufacture”: “In the front of the chosen people it was written that they are the property of Jehovah.”)
Many other Jewish Communists imitated Marx in their hatred of Jews. Ruth Fisher, renowned German Jewish Communist leader and a member of Parliament, said: “Squash the Jewish capitalists, hang them from the lamp posts; tread them under your feet.” Why just the Jewish capitalists and not the others remains an unanswered question.
Marx hated not only the Jews, but also the Germans: “Beating is the only means of resurrecting the Germans.” He spoke about “the stupid German people … the disgusting national narrowness of the Germans” and said that “Germans, Chinese, and Jews have to be compared with peddlers and small merchants.” He called the Russians “cabbage-eaters.” The Slavic peoples were “ethnic trash.” He expressed his hatred of many nations, but never his love.
Marx wrote in his new year’s roundup of 1848 about “the Slavic riffraff,” which included Russians, Czechs, and Croats. These “retrograde” races had nothing left for them by fate except “the immediate task of perishing in the revolutionary world storm.” “The coming world war will cause not only reactionary classes and dynasties, but entire reactionary peoples, to disappear from the face of the earth. And that will be progress.” “Their very name will vanish.”
Neither Marx nor Engels were concerned about the destruction of millions of people. The former wrote,
A silent, unavoidable revolution is taking place in society, a revolution that cares as little about the human lives it destroys as an earthquake cares about the houses it ravages. Classes and races that are too weak to dominate the new conditions of existence will be defeated.
In contrast, Hitler, who desired only the enslavement and not the destruction of these nations, was much more humane than Marx.
Engels wrote in the same vein:
The next world war will make whole reactionary peoples disappear from the face of the earth. This, too, is progress.
Obviously this cannot be fulfilled without crushing some delicate national flower. But without violence and without pitilessness nothing can be obtained in history
Marx, the man who posed as a fighter for the proletariat, called this class of people “stupid boys, rogues, asses.
Engels well knew what to expect from them. He wrote, “The democratic, red, yes, even the Communist mob, will never love us.”
Marx identified black people with “idiots” and constantly used the offensive term “nigger” in private correspondence.

He called his rival Lassalle “the Jewish nigger” and made it very clear that this was not intended as an epithet of disdain for just one person.
It is now absolutely clear to me that, as both the shape of his head and his hair texture shows, he is descended from the Negroes who joined Moses’ flight from Egypt (unless his mother or grandmother on the paternal side hybridized with a nigger)…. The pushiness of the fellow is also nigger-like.
Marx even championed slavery in North America. For this, he quarreled with his friend Proudhon, who had advocated the emancipation of slaves in the U.S. Marx wrote in response,
Without slavery, North America, the most progressive of countries, would be transformed into a patriarchal country. Wipe North America from the map of the world and you will have anarchy-the complete decay of modern commerce and civilization. Abolish slavery and you will have wiped America off the map of nations.
Marx also wrote, “The Devil take the British!” – In spite of such denunciations, there are plenty of British, as well as American, Marxists.
Satan is in the Family
Marx’s favorite daughter, Eleanor, with her father’s approval, married Edward Eveling. He lectured on such subjects as “The Wickedness of God.” (Just as Satanists do. Unlike atheists, they do not deny the existence of God, except to deceive others; they know of His existence, but describe Him as wicked.) In his lectures he tried to prove that God is “an encourager of polygamy and an instigator to theft.” He advocated the right to blaspheme. The following poem describes the attitudes of his movement toward Satanism:
To thee my verses, unbridled and daring,
Shall mount, O Satan, king of the banquet.
Away with thy sprinkling, O priest, and thy droning. For never shall Satan, O priest, stand behind thee.
Thy breath, O Satan, my verses inspires, When from my bosom the gods I defy.
Of kings pontifical, of kings inhuman:
Throe is the lightning that sets minds to shaking. O soul that wanderest far from the straight way, Satan is merciful. See Heloisa!
Like the whirlwind spreading its wings,
He passes, O people, Satan the great!
Hail, of reason the great Vindicator!
Sacred to thee shall rise incense and vows!
Thou hast the god of the priest disenthroned

FOUR – TOO LATE
A Housemaid’s Revelation
An American, Commander Sergius Riis, had been a disciple of Marx. Grieved by the news of his death, he went to London to visit the house in which the admired teacher had lived. The family had moved. The only one whom he could find to interview was Marx’s former housemaid Helen Demuth. She said these amazing words about him:
He was a God-fearing man. When very sick, he prayed alone in his room before a row of lighted candles, tying a sort of tape measure around his forehead.
This suggests phylacteries, implements worn by Orthodox Jews during their morning prayers. But Marx had been baptized in the Christian religion, had never practiced Judaism, and later became a fighter against God. He wrote books against religion and brought up all his children as atheists. What was this ceremony which an ignorant maid considered an occasion of prayer? Jews, saying their prayers with phylacteries on their foreheads, don’t usually have a row of candles before them. Could this have been some kind of magic practice?
We also know that Marx, a presumed atheist, had a bust of Zeus in his study. In Greek mythology Zeus, a cruel heathen deity, transformed himself into a beast and took Europe captive – as did Marxism later.
(Coincidentally, the naked figure of Zeus, known for his ferocity, is the only religious emblem in the main lobby of the United Nations building in New York.)
Family Letters
Another possible hint is contained in a letter written to Marx by his son Edgar on March 31, 1854. It begins with the startling words, “My dear devil.” Who has ever known of a son addressing his father like this? But that is how a Satanist writes to his beloved one. Could the son have been initiated as well?
Equally significant, Marx’s wife addresses him as follows, in a letter of August 1844,
Your last pastoral letter, high priest and bishop of souls, has again given quiet rest and peace to your poor sheep.
Marx had expressed, in The Communist Manifesto, his desire to abolish all religion, which one might assume would include abolishing the Satanist cult too. Yet his wife refers to him as high priest and bishop. Of what religion? The only European religion with high priests is the Satanist one. What pastoral letters did he, a man believed to have been an atheist, write? Where are they? This is a part of Marx’s life which has remained unresearched.

Biographers’ Testimonies
Some biographers of Marx have undoubtedly had a suspicion about the connection between devil-worship and the subject of their book. But not having the necessary spiritual preparation, they could not understand the facts they had before their eyes. Still, their testimony is interesting.
The Marxist Franz Mehring wrote in his book Karl Marx:
Although Karl Marx’s father died a few days after his son’s twentieth birthday, he seems to have observed with secret apprehension the demon is his favorite son…. Henry Marx did not think and could not have thought that the rich store of bourgeois culture which he handed on to his son Karl as a valuable heritage for life would oily help to deliver the demos he feared.
Marx died in despair, as all Satanists do. On May 25, 1883, he wrote to Engels, “How pointless and empty is life, but how desirable!”
Marx was a contemporary of great Christians: the composer Mendelsohn, the philanthropist Dr. Barnardo, the preachers Charles Spurgeon and General William Booth. All lived near him in London. Yet he never mentions them. They went unobserved.
There is a secret behind Marx which few Marxists know about. Lenin wrote, “After half a century, not one of the Marxists has comprehended Marx.”
The Secret Behind Lenin’s Life
There was a secret behind Lenin’s life too.
When I wrote the first edition of the present book, I knew of no personal involvement of Lenin with any rituals of the Satanist sect. Since then, I have read The Young Lenin by Trotsky, who was Lenin’s intimate friend and co-worker. He writes that Lenin, at the age of sixteen, tore the cross from his neck, spat on it, and trod it underfoot, a very common Satanist ceremony.

There is not the slightest doubt that Lenin was dominated by Satanist ideology. How else could one explain the following quotation from his letter to the Russian writer Maxim Gorki, dated 13-14 November 1913:
Millions of sins, mischiefs, oppressions, and physical epidemics, are more easily discovered by the people, and therefore less dangerous, than the thinnest idea of a spiritual little god, even if disguised in the most decorous garb.
In the end Satan deceived him, as he does all his followers. Lenin was moved to write as follows about the Soviet state:
The state does not function as we desired. How does it function? The car does not obey. A man is at the wheel and seems to lead it, but the car does not drive in the desired direction. It moves as another force wishes.
What is this other mysterious force which supersedes even the plans of the Bolshevik leaders? Did they sell out to a force which they hoped to master, but which proved more powerful than even they anticipated and drove them to despair?
In a letter of 1921 Lenin wrote:
I hope we will be hanged on a stinking rope. And I did not lose the hope that this would happen, because we cannot condemn dirty bureaucracy. If this happens, it will be well done.
This was Lenin’s last hope after a whole life of struggle for the Communist cause: to be justly hanged on a stinking rope. This hope was not fulfilled for him, but almost all of his co-workers were eventually executed by Stalin after confessing publicly that they had served other powers than the proletariat they pretended to help.
What a confession from Lenin: “I hope we will be hanged on a stinking rope.”
It is interesting to note that at the age of thirteen, Lenin wrote what could be called prophetic poetry foretelling the bankruptcy in which his life would end. He had decided to serve mankind, but without God. These were his words:
Sacrificing your life freely for others, It is a pity you will have the sad fate
That your sacrifice will be completely fruitless.
What a contrast to the words of another fighter, St. Paul the Apostle, who wrote toward the end of his life:
I have fought a good fight, I have finished my course… . henceforth there is laid up for me a crown of righteousness, which the Lord, the righteous judge, shall give me at that day (2 Timothy 4:7, 8).

There exists a “too late” in our spiritual affairs. Esau repented with many tears for having sold his birthright, but the deal could not be undone. And Lenin, founder of the Soviet state, said on his deathbed,
I committed a great error. My nightmare is to have the feeling that I’m lost in an ocean of blood from the innumerable victims. It is too late to return. To save our country, Russia, we would have needed men like Francis of Assisi. With ten men like him we would have saved Russia.

FIVE – A CRUEL COUNTERFEIT
Bukharin, Stalin, Mao, Ceausescu, Andropov
It might be instructive at this point to take a look at some modern Marxists. Bukharin, secretary general of the Communist International and one of the chief Marxist doctrinaires in this century, as early as the age of twelve, after reading the Book of Revelation in the Bible, longed to become the Antichrist. Realizing from Scripture that the Antichrist had to be the son of the apocalyptic great whore, he insisted that his mother confess to having been a harlot.
About Stalin he wrote, “He is not a man, but a devil.”
Too late Bukharin realized into whose hands he had fallen. In a letter which he made his wife memorize just before his arrest and execution, he said:
I am leaving life. I am lowering my head…. I feel my helplessness before a hellish machine… ?
He had helped erect a guillotine – the Soviet state – that had killed millions, only to learn in the end that its design had been made in hell. He had desired to be the Antichrist. He became instead a victim of the Enemy.
Similarly, Kaganovitch, Stalin’s brother-in-law and closest collaborator, writes about him in his diary (soon to be published):

I started to understand how Stalin managed to make himself a god. He did not have a single human characteristic… . Even when he exhibited some emotions, they all did not seem to belong to him. They were as false as the scale on top of armor. And behind this scale was Stalin himself-a piece of steel. For some reason I was convinced that he would live forever…. He was not human at all… .
Rosa [his wife) says he makes her climb a tree wearing nothing but stockings. I have a feeling he is not human at all. He is too unusual to be a regular human being. Although he looks like an ordinary man. Such a puzzle. What is it I’m writing? Am I raving mad, too?
Stalin described to Kaganovitch his spiritual exercise. Believers of various religions engage in the practice of meditation on what is beautiful, wise, and good, to help them become more loving. Stalin indulged in just the opposite practice.
He told Kaganovitch:
When I have to say good-bye to someone, I picture this person on all fours and he becomes disgusting. Sometimes I feel attached to a person who should be removed for the good of the cause. What do you think I do? I imagine this person shitting, exhaling stench, farting, vomiting – and I don’t feel sorry for this person. The sooner he stops stinking on this earth, the better. And I cross this person out of my heart.
One of Stalin’s amusements was to put green glasses on the eyes of horses to make them see hay as grass. Even worse, he put dark glasses of atheism on the eyes of men to keep them from seeing God’s pastures, reserved for believing souls.
The diary contains many revealing insights:
Many times Stalin spoke of religion as our most vicious enemy. He hates religion for many reasons, and I share his feelings. Religion is a cunning and dangerous enemy… Stalin also thinks that separation from children should be the main punishment for all parents belonging to sects, irrespective of whether they were convicted or not.
I think he secretly engaged in astrology. One peculiar feature of his always astonished me. He always talked with some veiled respect about God and religion. At first, I thought I was imagining it, but gradually I realized it was true. But he was always careful when the subject came up. And I was never able to find out exactly what his point of view was. One thing became very clear to me – his treatment of God and religion was very special. For example, he never said directly there was no God. . .
People ceased somehow to be their own selves in his presence. They all admired him and worshiped him. I don’t think he enjoyed any great love of the nation: he was above it. It may sound strange, but he occupied a position previously reserved only for God.
Part and parcel of the tragedy of human existence is the fact that one has enemies and is sometimes obliged to fight them. Marx took delight in this sad necessity. His favorite saying, which he often repeated, was, “There is nothing more beautiful in the world than to bite one’s enemies.”
No wonder his follower Stalin said that the greatest joy is to cultivate a person’s friendship until he lays his head confidently on your bosom, then to implant a dagger in his back – a pleasure not to be surpassed.
Marx had expressed the same idea long before. He wrote to Engels about comrades with whom he disagreed:
We must make these rogues believe that we continue our relationship with them, until we have the power to sweep them away from our road, in one manner or another.
It is significant that many of Stalin’s comrades-inarms spoke about him as demonic.
Milovan Djilas, prominent Communist leader of Yugoslavia who was personally well acquainted with Stalin, wrote:
Was it not so that the demonic power and energy of Stalin consisted in this, that he made the [Communist] movement and every person in it pass to a state of confusion and stupefaction, thus creating and ensuring his reign of fear.
He also says about the whole ruling class of the U.S.S.R.:
They make a semblance of believing in the ideal of socialism, in a future society without classes. In reality, they believe in nothing except organized power.
Even Stalin’s daughter, Svetlana Alliluyeva, who never learned about the depths of Satanism, wrote,
Beria (the Soviet minister of interior affairs) seems to have had a diabolic link with all our family…. Beria was a frightening, wicked demon…. A terrible demon had taken possession of my father’s soul.
Svetlana further mentions that Stalin considered goodness and forgiving love to be worse than the greatest crime.
Such is the Satanic priesthood that rules almost half of mankind and which orders terrorist acts all over the world.
Stalin was the illegitimate child of a landlord by a servant-maid. His father, fearing notoriety, bribed a cobbler to marry the pregnant girl, but the affair became known. During his childhood Stalin was mocked as a bastard. During Stalin’s teen years, his real father was found murdered. Stalin was suspected, but no proof could be found against him.
Later, as a seminary student, he joined Communist circles. There he fell in love with a girl named Galina. Since the Communists were poor, Galina was given the assignment to become the mistress of a rich man and so provide the Party with money. When Stalin himself voted for this proposal, she cut her veins.

Stalin himself committed robberies for the Party, and in this he was very successful. He appropriated none of the stolen money for himself.
He was also assigned the duty of infiltrating the Czarist police. He had to play a dual role, denouncing secondary Party members in order to find out police secrets and protect more important Communists.
As a young man, therefore, Stalin had the worst possible heredity, education, and development. Thus he was easily susceptible to Satanist influence. He became what his name, Stalin, means: a man of steel, without the slightest human emotion or pity.
(Andropov, late premier of the Soviets, produced the same impression as Stalin. The French minister of external affairs, Claude Cheysson, who met him, described Andropov in Le Monde as “a man without warmth of soul, who works like a computer…. He shows no emotions…. He is extremely dispassionate…. He is accurate in words and gestures like a computer.”)
Stalin, like Marx, Engels, and Bauer before him, started out as a believer. At fifteen, he wrote his first poem, which begins with the words, “Great is the Almighty’s providence.” He became a seminarian because he felt it his calling. There he became first a Darwinist, then a Marxist.
When he began to write as a revolutionary, the first pseudonyms he used were “Demonoshvili,” meaning something like “the demoniac” in the Georgian language, and “Besoshvili,” “the devilish.”
Other evidences of Satanist persuasion among Marxist leaders are also significant. Troitskaia, daughter of the Soviet marshal Tuhatchevsky, one of the top men of the Red Army who was later shot by Stalin, wrote of her father that he had a picture of Satan in the east corner of his bedroom, where the Orthodox usually put their ikons.
When a certain Communist in Czechoslovakia was named head of the State Council for Religious Affairs, an institution whose purpose is to spy on believers and persecute them, he took the name “Hruza,” which means in Slovak “horror,” an appellation used for “devil.”
One of the leaders of a terrorist organization in Argentina took upon himself the nickname “Satanovsky.”
Anatole France, a renowned French Communist writer, introduced some of the greatest intellectuals of France to communism. At a recent exhibition of demoniac art in Paris, one of the pieces shown was the specific chair used by that Communist writer for presiding over Satanist rituals. Its horned armrests and legs were covered with goat’s fur.
Britain’s center of Satanism is Highgate Cemetery in London, where Karl Marx is buried. Mysterious rites of black magic are celebrated at this tomb. It was the place of inspiration for the Highgate Vampire, who attacked several girls in 1970. Hua KuoFeng, director of Red China, also paid it his respects.
Ulrike Meinhof, Gudrun Enslin and other German Red terrorists have also been involved in the occult.

One of the oldest devil-worshiping sects, the Syrian Yezidi, was written up in a Soviet atheistic magazine, Nauka I Religia (July 1979). It is the only religious sect about which the magazine wrote not one word of criticism.
Furthermore, Mao Tse-Tung wrote:
From the age of eight I hated Confucius. In our village there was a Confucianist temple. With all my heart, I wished only one thing: to destroy it to its very foundations.
Is it normal for an eight-year-^ld child to wish only the destruction of his own religion? Such thoughts belong to demonic characters.
At the other extreme is St. Paul of the Cross, who from the age of eight spent three hours in prayer every night.
Cult of Violence
Engels wrote in Anti-Duhring, “Universal love for men is an absurdity.” And in a letter to a friend he said, “We need hate rather than love – at least for now”
Che Guevara learned his Marxist lessons well. In his writings he echoes Engels’ sentiments:
Hate is an element of fight-pitiless hate against the foe, hate that lifts the revolutionist above the natural limitation of man and makes him become an efficient, destructive, cool, calculating, and cold killing machine.
This is what the Devil wishes to make of men. He has succeeded all too well with many notorious leaders of the human race. In our lifetime we have witnessed more than our share: Hitler, Eichmann, Mengele, Stalin, Mao, Andropov, Pol Pot…
Marx writes in The Communist Manifesto:
The Communists despise making a secret of their opinions and intentions. They openly declare that their aims can be reached only through the violent overthrow of the whole existing social structure. – …There is only one method to shorten the murderous pains of death of the old society, the bloody birth pangs of the new society; only one method to simplify and concentrate them, that is revolutionary terrorism.
There have been many revolutions in history. Each had an objective. The American revolution, for example, was fought for national independence, the French revolution for democracy. Marx is the only one who formulates as his aim a “permanent revolution,” terrorism and bloodshed for revolution’s sake. There is no purpose to be attained; violence to the point of paroxysm is its only objective. This is what distinguishes Satanism from ordinary human sinfulness.

Marx called terrorists executed for murder in Czarist Russia “immortal martyrs” or “amazingly capable fellows.”
Engels wrote, too, of the “foody revenge we take.” This expression occurs often. “In the interior (of Russia), what a splendid development. The attempts at murder become frequent.” “Leaving aside the problem of morality … for a revolutionist any means are right which lead to the purpose, the violent, as the seemingly tame.”
The Marxist Lenin, while living under the democratic rule of Kerensky in Russia, said,
What is needed is wild energy and again energy. I wonder, yea more, I am horrified that more than half a year has passed in speaking about bombs and not one single bomb has been fabricated.
A further insight into the fundamental attitudes of Communists can be gained from a few brief quotes.
Marx: “We make war against all prevailing ideas of religion, of the state, of country, of patriotism. The idea of God is the keynote of a perverted civilization. It must be destroyed.”
The Communist Manifesto: “The Communists disdain to conceal their views and aims. They openly declare that their aims can be attained only by the forcible overthrow of all the existing social conditions. Let the ruling class tremble at a Communist revolution.”
Lenin: “We have to use any ruse, dodge, trick, cunning, unlawful method, concealment, and veiling of the truth. The Basic rule is to exploit the conflicting interests of the capitalist states.”
Lenin: “Atheism is an integral part of Marxism. Marxism is materialism. We must combat religion. This is the ABC of all materialism and consequently of Marxism.”
Lenin, in an address in 1922: “First we shall take Eastern Europe, then the masses of Asia. After that, we shall surround and undermine the U.S.A., which will fall into our hands without a struggle-like an overripe fruit.”
Khrushchev: “If anyone believes our smiles involve abandonment of the teachings of Marx, Engels and Lenin, he deceives himself. Those who wait for that must wait until a shrimp learns to whistle.”
Satanist Cruelty
Solzhenitsyn reveals in his monumental Gulag Archipelago that the hobby of Yagoda, the Soviet Union’s minister of interior affairs, was to undress and, naked, shoot at images of Jesus and the saints. A couple of comrades joined him in this. Another Satanist ritual practiced in Communist high places!

Why should men allegedly representing the proletariat shoot at the image of Jesus, a proletarian, or the virgin Mary, a poor woman?
Some Pentecostal Christians recall an incident that took place in Russia during World War II. One of their preachers had exorcised a devil who threatened, upon leaving the possessed, “I will take revenge.” Several years later the Pentecostal preacher who had performed the exorcism was shot for his faith. The officer who executed him said just before pulling the trigger, “Now we are even.”
Are Communist officers sometimes possessed by devils? Do they perhaps serve as Satan’s instruments of revenge against Christians who seek to overthrow his throne? There is no doubt.
In Russia, in Stalin’s day, some Communists killed a number of innocents in the cellars of the police. After their bloody deed, one of the henchmen had second thoughts and went from corpse to corpse, apologizing: “I did not intend to do this. I don’t know you. Speak to me, move, forgive me.” One of his comrades then killed him. A third was converted and later related the incident.
Russkaia Misl, a Russian-language magazine in France, reported (March 13, 1975) the following from the Soviet Union:
D. Profirevitch, in Russia, had a daughter and a son whom he brought up in the faith. Naturally, they had to attend Communist schools. At the age of twelve the daughter came home and told her parents, “Religion is a capitalist superstition. We are living in new times.” She dropped Christianity altogether. Afterwards she joined the Communist Party and became a member of the Secret Police. This was a terrible bow to her parents.
Later the mother was arrested. Under Communist rule no one possesses anything, whether it be children, a wife, or personal liberty. The state can take them away at any time.
After the mother’s arrest, the son exhibited great sorrow A year later he hanged himself. D. Profirevitch found this suicide letter:
Father, will you judge me? I am a member of the Communist youth organization. I had to sign that I would report everything to the Soviet authorities. One day the police called me, and Varia, my sister, asked me to sign a denunciation against Mother because as a Christian she is considered a counterrevolutionist. I signed. I am guilty of her imprisonment. Now they have ordered me to spy on you. The consequence will be the same. Forgive me, Father; I have decided to die.
The suicide of the son was followed by the jailing of the father.
Priest Zynoviy Kovalyk was arrested by the Bolsheviks in the year 1941 and was confined in the Brygidka jail in Lviv, Ukraine. When the Germans put the Bolsheviks to flight that same year, the people of the city found the priest’s blood-stained body nailed to the wall by the arms and legs, as if it were the crucified Lord. They also found about six thousand massacred prisoners, shot in the nape of the neck, whom

the Bolsheviks had piled on top of each other in the cellars and covered over with plaster.
Dr. O. Sas-Yavorsky (U.S.A.), after the capture of Lviv by the Germans near the end of June 1941, went searching for his imprisoned father and saw in the jail a priest nailed to a cross. Into his slashed stomach the Communists had placed the body of an unborn baby, taken from the womb of its mother, whose corpse lay on the blood-soaked floor. Other eyewitnesses recognized that this was the body of the renowned missionary Father Kovalyk.
Generally, to the Communists human life is cheap. Lenin wrote during the civil war,
It would be a shame not to shoot men for not obeying the draft and avoiding mobilization. Report more often about the results.
During the Spanish civil war, Communists killed four thousand Catholic priests.
A renowned Russian Orthodox priest named Dudko reported that six Communists entered the house of Father Nicholas Tchardjov, pulled out his hair, gouged out his eyes, made many cuts on his body, passed a pressing iron over it, then shot him with two bullets. This happened on the Eve of St. Nicholas. It was not only a crime against the priest, but also a mockery of the saint.
The Western press reported on March 10, 1983, that in Zimbabwe three thousand of the Ndebele tribe were killed by the soldiers of the Communist dictator Mugabe. The army had been trained by North Korean instructors. Tribe members were asked to shoot their grown-up sons themselves; if they refused, they were shot along with their sons.
The Devil apes God by promising still waters and green pastures which are not his to give. Therefore he must pretend. And the less he can offer, the more he must pretend. To gain a foothold, he puts on a false front (did you ever wonder about Communist front organizations?) and makes benevolent gestures. But he delivers only misery, death, and destruction – “awful, complete, universal, and pitiless.”
The Devil is jealous and becomes enraged at spiritual beauty. It offends him. Since he cannot be beautiful – he lost his primal beauty because of his pride – he does not want anyone else to be. If it were not for the saints’ spiritual beauty, the Devil would not seem so ugly. Therefore he wishes to deface all beauty.
This is why Christians in the Romanian Communist prison of Piteshti, as well as other Communist jails, were tortured – not only to betray the secrets of the underground church, but to blaspheme.
Regimes under which such horrors occur again and again, regimes that turn even Christians into murderers and denouncers of innocent victims, can only be abhorred by the children of God. Whoever bids them Godspeed is a partaker in their evil deeds (2 John 11).

Satanic Sin
I have written that Marxism is Satanic. But is not every sin Satanic by its very nature? I pondered long about this. Then I had a dream one night that clarified my thinking.
In my dream I saw a prostitute hooking young men who were just leaving church. I asked her, “Why did you choose this particular place to work?”
She replied, “My delight is to lead young men into sin just as they come from worship. The Greek word for worship in the New Testament is proskune, which means etymologically to kiss.' The worshiper stepping out of the house of prayer still has the imprint of Jesus' kisses on his mouth. What a satisfaction to defile him just then, to make him wallow in the bed of lasciviousness and then say to him,You see, Jesus to whom you prayed could not keep you from sin for even five minutes. He is not your Savior. My master is more powerful than He.’ “
Sexual impurity is a common human sin. Mephistopheles asks Faust to seduce Gretchen just as she is walking to church with a prayer book in her hand. This is Satanic.
To write, read, or view pornography is another common sin. But it is a characteristic of American pornography, which promotes incest, pederasty, and perversion, that it is full of the names of God, Christ, and Mary. With every obscenity there is a sacred word, with every ugly gesture a heavenly expression, to defile and profane the holy. This is Satanic.
To slay the innocent is a very common sin as well. To crucify Jesus, the Son of God, between two thieves in order to suggest guilt by association is Satanic.
To kill political enemies, to make war and stir up revolution – even with mass killings – proves human sinfulness. But the Russian Communists, having killed millions of their enemies, turned their violence against even their friends, including their most illustrious comrades, the chief perpetrators of their revolution. This is the seal of Satanism. It is revolution not for attaining a goal, but revolution and killing for killing’s sake, what Marx called “the permanent revolution.”
Of twenty-nine members and candidates in the Central Committee of the Soviet Communists in 1917, the year of the revolution, only four had the good fortune to depart this life before being deprived of it. One of the four was posthumously declared “an enemy of the revolution.” Thirteen were sentenced to death by their own comrades or disappeared. Two were so persecuted by Stalin that they committed suicide.
To be a criminal or a Mafioso is a heinous human sin, but the Satanic goes beyond even what the Mafia allows.
Tomasso Buscetta, a representative of the Sicilian Mafia, who became a police informer and revealed the crimes of that organization, said:

Crime is a necessity that one cannot avoid, but that always has a reason. With us gratuitous crime, which is an end in itself or the result of an individual impulse, is excluded. We exclude, for example, “transversal vendetta,” i.e., the calculated killing of someone near the target of our crime, such as a wife, children, or relatives.
Satanic crime is of another order. Hitler killed millions of Jews, including babies, with the excuse that Jews had done harm to the German people. For the Communists it was a matter of course to imprison and torture the family members of a person they considered guilty. When I was jailed, it was taken for granted that my wife must be jailed too, and that my son must be excluded from all schooling.
Marxism is not an ordinary sinful human ideology. It is Satanic in its manner of sinning, as it is Satanic in the teachings it purveys. Only in certain circumstances has it openly avowed its Satanic character.
One can judge a teacher by his disciples. The painter Picasso said, “An artist must discover the way to convince his public of the full truth of his lies.”
Who was the man who wrote this monstrosity? The same who wrote, “I came to communism as one comes to a fountain…. My adherence to communism is the logical consequence of my entire life and work.”
So one becomes a Marxist because his ideal is a lie. How sad!
To gain an insight into the life and thinking of a Satanist, one need only read a few mild excerpts from the writing of Alister Crowley (1875-1947), notorious for his involvement in occult practices:
Pity not the fallen. I never knew them. I console not. I hate the consoler and the consoled.
The wolf betrays only the greedy and treacherous, the raven betrays only the melancholy and dishonest. But I am he of whom it is written: He shall deceive the very elect… .
I have feasted myself on the blood of the saints, but I am not suspected of men to be their enemy, for my fleece is white and warm, for my teeth are not the teeth of one that tears flesh, and my eyes are mild, and they know me not as the chief of the lying spirits…
Beautiful art thou, O Babylon, and desirable…. O Babylon, Babylon, thou mighty mother, that ride upon the crowned beasts, let me be drunken upon the wine of your fornication; let your kisses wanton me unto death.
Crowley quotes a multitude of sayings like this from completely unknown older Satanist works, unavailable to the uninitiated.

Blasphemous Versions of the Lord’s Prayer
The Soviet newspaper Sovietskaia Molodioj, February 14, 1976, added a new and shattering proof of the connections between Marxism and Satanism. It described how militant Communists stormed churches and mocked God under the Czaristregime. For this purpose the Communists used a blasphemous version of the “Our Father”:
Our Father, which art in Petersburg [today, Leningrad],
Cursed be your name,
May your Kingdom crumble,
May your will not be fulfilled, yea, not even in hell.
Give us our bread which you stole from us,
And pay our debts, as we paid yours until now.
And don’t lead us further into temptation,
But deliver us from evil – the police of Plehve [the Czarist prime minister],
And put an end to his cursed government.
But as you are weak and poor in spirit and in power and in authority,
Down with you for all eternity. Amen.
The ultimate aim of communism in conquering new countries is not to establish another social or economic system. It is to mock God and praise Satan.
The German Socialist Student Union also published a parody of the Lord’s Prayer, indicating that the “true” meaning of the prayer upholds capitalism:
Our Capital, which art in the West,
May your investments be sure,
May you make a profit.
May your shares increase in value,
On Wall Street as in Europe.
Our daily sale give us today, and extend our credits,
As we extend those of our debtors.
And do not lead us into bankruptcy,
But deliver us from the trade unions,
For thine is half the world and the power, and the riches, for 200 years.
Mammon.
The identification of Christianity with the interests of capitalism is outrageous. The true church knows that capitalism, too, is stained with blood, for every economic system bears the marks of sin. Christians oppose communism not from the viewpoint of capitalism, but of the kingdom of God, which is their true social ideal. The above is nothing less than Satanic mockery of Jesus’ most holy prayer, as is the one published by the Soviets.
Mockery of the Lord’s Prayer is customary in many Communist lands. Ethiopian children were taught to pray as follows:
Our Party which rulest in the Soviet Union,
Hallowed be thy name,
Thy Kingdom come,
Thy will be done in Ethiopia and in the whole world.

Give us this day our daily bread, and don’t forgive the trespasses of the Imperialists as we will not forgive them.
And may we resist the temptation to abandon the fight,
And deliver us from the evils of Capitalism. Amen.
Over an Ethiopian Lutheran radio station confiscated by the Communist government, a Satanist version of the Bible a was broadcast. First Corinthians 13 sounded like this:
Though I speak all the languages and have no enmity toward the landlords and capitalists, I have become as sounding brass…. Class hatred suffers no exploitation and is brutal. Class hatred envies their riches and vaunts itself with the successful revolutions in many Socialist states…. And now abide faith, hope, and class hatred, but the greatest of these is revolutionist hatred.
During the general strike organized by the French Communists in 1974, workers were called to march in the streets of Paris shouting the slogan, “Giscard d’Estaing est foutu, les démons sont dans la rue! (Giscard d’Estaing [then French president] is done with. Demons are now in the street).” Why not “the proletariat” or “the people”? Why this evocation of Satanic forces? What has this to do with the legitimate demands of the working class to have better salaries?
Deification of Communist Leaders
Communist leaders have been and are deified. Listen to the following poem honoring Stalin in Pravda (Moscow, March 10, 1939). (Pravda is the central organ of the Communist Party in the U.S.S.R.)
The sun shines mildly and who would not know that you are this sun?
The pleasant noise of the sea waves sings an ode to Stalin.
The blinding snowy peaks of mountains sing the praise of Stalin.
The millions of flowers and meadows thank you.
Likewise the covered tables.
The beehives thank you.
The fathers of all young heroes thank you, Stalin;
Oh, Lenin’s heir, you are for us Lenin himself.
Thousands of such poems have been composed. Here is another hymn to Stalin of extraordinary fervor and beauty, reminding one of Eastern Byzantine Christianity in the fourth and following centuries:
O great Stalin, O leader of the peoples,
Thou who broughtest man to birth,
Thou who purifiest the earth,
Thou who restorest the centuries, Thou who makes boom the Spring,
Thou who makes vibrate the musical chords.
Thou, splendor of my Spring, O Thou Sun reflected from millions of hearts.
The foregoing hymn was published in Pravda in August 1936. In May 1935 the same official Party newspaper had published the following extraordinary effusion:

He commands the sun of the enemies to set.
He spoke, and the East for friends became a great glow.
Should he say that coal turns white,
It will be as Stalin wills… .
The master of the entire world – remember – is now Stalin.
A much later composition by a leading Soviet poet shows development in style but hardly in subject matter:
I would have compared him to a white mountain – but
the mountain has a summit.
I would have compared him to the depths of the sea – but
the sea has a bottom.
I would have compared him to the shining moon – but
the moon shines at midnight, not at noon.
I would have compared him to the brilliant sun – but
the sun radiates at noon, not at midnight.
Mao Tse-Tung has been hailed as the one “whose mind created the world.” Kim Il-Sung, dictator of North Korea, is also deified, as was Nicolae Ceausescu, Communist dictator of Romania.
Ceausescu was another Stalinist figure. He was the object of a personality cult and was likened to Julius Caesar, Alexander the Great, Pericles, Cromwell, Napoleon, Peter the Great, and Abraham. This distinguished roster, it seems, is not enough. So he was also called “our lay God.”
(By the way, post-Communist Romania, which did not allow international religious conventions, permitted a witches’ convention in the spring of 1979 in CurteadeArgesh.)
In Bucharest there was a museum containing gifts brought by the people to Ceausescu. In it was a watercolor painted by a blind man who regained his sight through a miracle. He attributed it to the fact that “he concentrated all his thoughts on the President, who not only can make the blind to see but can move the Carpathian mountains.”
Another portrayal showed Ceausescu with King Vlad Tsepesh, who was known as “the vampire Dracula” because he used to impale his adversaries. In similar fashion, Stalin magnified the personality of Czar Ivan the Terrible.
The administrators of Romania today were Communist party members. The Leopard has not changed its spots.

SIX – A SPIRITUAL WARFARE
The Little and the Big Devils
According to current official Marxist doctrine, which, as has been illustrated, is only a disguise, neither God nor the Devil exists. Both are fancies. Because of this teaching, Christians are persecuted by the Communists.
However, the Soviet newspaper Kommunisma Uzvara (April 1974) reported that many atheist circles were created in Red Latvia’s schools. The name given the children in the fourth through sixth grades was “little devils,” while seventh graders were called “servants of the Devil.” In another school eighth graders had the name “faithful children of the Devil.” At the meeting the children came clothed as devils, complete with horns and tails.
Thus, it was forbidden to worship God, though devilworship was openly permitted and even encouraged among children of school age. This was the hidden objective of the Communists when they seized power in Russia.
In Vitebsk (U.S.S.R.), Zoia Titova, a member of the Communist youth organization, was caught practicing black magic. When her case was brought before the assembly of Communist youth, there was unanimous refusal to punish her, though members who decided to worship God were expelled. The Communists consider it wrong to believe in God. For this “crime,” many children were separated from their families and kept in special atheist boarding schools.
Incredibly, the Communists even wanted to make Satan-worshipers of church leaders. A Russian Orthodox priest named Platonov, an anti-Jewish agitator, went over to the side of the Communists when they came to power in Russia. For this, he was made a bishop and became a Judas who denounced members of his flock to the Secret Police, well knowing they would be severely persecuted.
One day, while on a bus, he met his sister Alexandra, an abbess who had been arrested many times, apparently with her brother’s knowledge. He asked her, “Why don’t you speak to me? Don’t you recognize your brother?” She answered, “You ask why? Father and Mother would turn over in their graves. You are serving Satan.” Though an official Orthodox bishop in the Soviet Union, he replied, “Perhaps I am Satan myself.”
Pravoslavnaia Rus writes,
The Orthodox cathedral in Odessa, so much loved by the Odessites, became the meeting place of Satanists soon after the Communists came to power…. They gathered also in Slobodka-Romano and in Count Tolstoi’s former home.
Then follows a detailed account of Satanist masses said by deacon Serghei Mihailov, of the treacherous Living Church, an Orthodox branch established in connivance with the Communists. An attendant describes the Satanist mass as a “parody of the

Christian liturgy, in which human blood is used for communion.” These masses took place in the cathedral before its main altar.
Also in Odessa, a statue of Satan used to be exhibited in the Museum of the Atheists. It was called Baphomet. At night, Satanists would gather in the museum for prayer and chanting before the statue.
Religious Obscenities
It might be in some sense “logical” that Communists would arrest priests and pastors as counterrevolutionaries. But why were priests compelled by the Marxists in the Romanian prison of Piteshti to say Mass over excrement and urine? Why were Christians tortured into taking Communion with these as the elements? Why such an obscene mockery of religion? Why did the Romanian Orthodox priest Roman Braga, whom I knew personally when he was a prisoner of the Communists, and who presently resides in the U.S.A., have his teeth knocked out one by one with an iron rod in order to make him blaspheme?
The Communists had explained to him and others: “If we kill you Christians, you go to heaven. But we don’t want you to be crowned martyrs. You should curse God first and then go to hell.”
In the prison of Piteshti the Communists would force a very religious prisoner to be “baptized” daily by putting his head into the barrel in which his fellowsufferers had fulfilled their necessities, meanwhile obliging the other prisoners to sing the baptismal service.
A theology student was forced to dress in white sheets (in imitation of Christ’s robe), and a phallus made out of soap was hung around his neck with a string. Christians were beaten to insanity to force them to kneel before such a mocking image of Christ. After they had kissed the soap, they had to recite part of the liturgy.
Some prisoners were compelled to take off their trousers and sit with their naked bottoms on open Bibles.
Such blasphemous practices were perpetrated for at least two years with the full knowledge of the Party’s top leadership. What have such indignities to do with socialism and the well-being of the proletariat? Were their anticapitalist slogans not merely pretexts for organizing Satanic blasphemies and orgies?
Marxists are supposed to be atheists who believe in neither heaven nor hell. In these extreme circumstances, Marxism has lifted its atheistic mask to reveal its true face, the face of Satanism. Communist persecution of religion might have a human explanation, but the fury of such perverse persecution can only be Satanic.
In Romanian prisons and in the Soviet Union as well, nuns who would not deny their faith were raped anally, and Baptist girls had oral sex forced on them.

Many prisoners who were so treated died as martyrs, but the Communists were not satisfied with this. Using Luciferian techniques, they made martyrs die blaspheming because of the delirium provoked by torture.
Only once in all his works did Marx ever write about torture. During his own lifetime, many of his followers were tortured by Russian Czarist authorities. Since Marx is usually described as a humanist, one would expect him to write with horror about such an abominably practice. But his only comment was,
Torture alone has given rise to the most ingenious mechanical inventions and employed many honorable craftsmen in the production of the instruments.
Torture is productive, it leads to ingenious inventions – this is all Marx had to say about the subject. No wonder Marxist governments have surpassed all others in torturing their opponents! This alone displays the Satanic nature of Marxism.
Marxism also is based on a hatred for God. In 1923, in the Soviet Union, mock trials of God were held in the presence of Trotsky and Lunatcharski. But such opposition to God and His people do not belong only to the past.
Satanist desecrations of Catholic churches occurred in the 1970s in Upyna, Dotnuva, Zanaiciu, Kalvarija, Sede, etc., localities in Lithuania. One about which we know happened in Alsedeai on September 22, 1980.
In his book Psychiatric Hospital 14 , Moscow, Georgi Fedotov tells of his conversation with the psychiatrist Dr. Valdimir Lwitski about a Christian named Argentov who was detained there. The physician says, “You are pulling your friend Eduard toward God and we toward the Devil. So I’m using my rights as a psychiatrist to deny you and your friends access to him.”
The Christian Salu Daka Ndebele was interrogated by the Secret Police of Maputo in Communist Mozambique. The officer said to him, “We want to kill your God.” He raised his gun toward the head of the prisoner and declared, “This is my God. With this I have the power of life and death. If your God comes here, I will shoot Him dead myself.”
In Chiasso, Communist Angola, Communists slaughtered animals in a church and placed their heads on the altar and pulpit. A poster proclaimed, “These are the gods whom you adore.” Pastor Aurelio Chicanha Saunge was killed, together with one hundred and fifty parishioners.
When the Catholic Lithuanian priest Eugene Vosikevic was killed, his mouth was found to have been filled with bread, an apparent Satanist ritual.
Vetchernaia Moskva, a Communist newspaper, let pass a Freudian slip of the pen:
We do not fight against believers and not even against clergymen. We fight against God to snatch believers from Him.

A “fight against God to snatch believers from Him” is the only logical explanation for the Communist fight against religion.
We do not wonder at these words in a Soviet newspaper. Marx had said it already in his book German Ideology. Calling God “the absolute Spirit,” as his teacher Hegel had done, he wrote, “We are concerned with a highly interesting question: the decomposition of the Absolute Spirit.”
It was not a fight against false belief in a nonexistent God that preoccupied him. He believed that God does exist and wanted to see this Absolute Spirit decompose, like many prisoners of the Communists who were made to rot in jail.
In Albania a priest, Stephen Kurti, was sentenced to death for having baptized one child. Baptisms must be performed in secret in many Communist lands, including North Korea.
The prosecutor at the trial of Metropolitan Benjamin of Leningrad said,
The whole Orthodox church is a subversive organization. Properly speaking, the entire church ought to be in prison.
The only reason all Christians are not in jail in the Soviet Union is that the Communists are not quite powerful enough. But the will to destroy is there. Unrestrained by the Spirit of God and empowered by the forces of evil, they would indeed destroy the whole earth, including themselves.
In the former Soviet Union baptisms could be officiated only after registration. Persons wishing to be baptized or to have their child baptized presented their identity cards to the representative of the church board, who in turn reported them to the state authorities. The result was persecution. Kolkhozniks (workers on collective farms) had no identity cards and could therefore baptize their children only secretly. Many protestant pastors received prison sentences for baptizing people.
The Communist fight against baptism presupposes belief in its value for a soul. Religious people in Israel or Pakistan or Nepal oppose baptism in the name of their own religious outlook, because it is a Christian seal. But for atheists – as Communists clearly declare themselves to be – baptism should mean nothing. Supposedly it neither benefits nor harms the baptized. Why then do these Communists fight against baptism? It is because Communists “fight against God to snatch believers from Him.” Their ideology is not really inspired by atheism, but by a fervent hatred for God.
“Among other purposes,” said Lenin, “we created our party specifically for the fight against any religious deceiving of the people.”
Occult Practices
More about the relationship between Marxism and the occult can be found in Psychic Discoveries Behind the Iron Curtain by Sheila Ostrander and Lynn Schroder. It is

highly significant that the Communist East had been much more advanced than the West in research about the dark forces manipulated by Satan.
Dr. Eduard Naumov, a member of the International Association of Parapsychologists, was arrested in Moscow The Moscow physicist L. Regelsohn, a Hebrew-Christian who took his defense, tells us the reason for his arrest: Naumov endeavoured to keep the psychic sphere of life free from the domination of evil forces that used parapsychology as a new weapon for the oppression of the human soul.
In Czechoslovakia, Bulgaria, etc., the Communist Party spent huge sums on secret investigation into this science. They hid from the West information about what happened in the twenty parapsychological institutes located in the Soviet Union.
Komsomolskaia Pravda (Moscow) published a lengthy article about hypnotists who help people “regress to past lives.” For the induction process they use the following suggestions:
You descend into earth, deeper, even deeper. You and the earth become one…. You are deep in the earth. You are surrounded by thick darkness…. Around you is eternal night… .
Now we approach a spot of light far away… nearer and nearer. We sneak through a small hole to the sky, leaving our own body deep in the earth…. We overcome the frontiers of time … and we return to your past….”
In such articles the Soviets used intentional double-talk. Aware that some might become frightened, they were purposefully reserved, claiming they only inform without agreeing. But what would readers think of an editor who reprinted provocative articles and lustful pictures endlessly from Playboy while claiming that he did not agree fully with what he was purveying to the public?
Soviet writers said clearly that this “time machine” was not science fiction. “Transpersonalism” offered this voyage in time.
In the Satanist black masses, all prayers are said from the end to the beginning, and the priestly robe is worn inside out. Inversion is the Satanist rule, and this is applied even to the doctrine of reincarnation. Whereas Indian devotees are concerned about their future reincarnations and try to better themselves by obeying what they believe to be God’s commandments, the Satanists offer a return to former incarnations. They care nothing about a better future in eternity.
Marxism as a Church
Just as Satan came to Jesus with Bid a verses, so Marx used texts of Scripture, though with much distortion.
Volume 2 of The Works o f Marx and Engels opens with Jesus’ words to His disciples (John 6:63), as quoted by Marx in his book The Holy Family: “It is the spirit which gives life.” Then we read:

Criticism [his criticism of all that exists] so loved the masses that it sent its only-begotten son [i.e., Marx ], that whosoever believes in him should not perish but have a life of criticism. Criticism became masses and lived among us, and we saw its glory as the glory of the only-begotten Son of the Father. Criticism did not consider it robbery to be equal with God, but made itself of no reputation, taking the form of a bookbinder, and humbled itself up to nonsense – yes, critical nonsense in foreign languages.”
Those knowledgeable in Scripture will recognize this as a parody of Biblical verses (John 3:16; 1:14; Philippians 2:6-8). Here again, Marx declares his own works to be “nonsense,” as well as “swinish books.”
Marxism is a religion, and it even “uses” Scripture. Its main work, The Capital le by Marx, is called “the Bible of the working class.” Marx considered himself “the Pope of Communism.”
Communism “has the pride of infallibility.” All who oppose the Communist “creed” (this expression is used by Engels) are excommunicated. Marx wrote, “Bakunin should beware. Otherwise we will excommunicate him.”
Those who die in the service of Marxism are feasted as “martyrs.” Marxism also has its sacraments: the solemn receptions in the toddlers’ organization called “the Children of October”, the oaths given when received as “Pioneers”, after which come the higher grades of initiation in the Komsomol and the Party. Confession is replaced with public self-criticism before the assembly of Party members.
Marxism is a church. It has all the characteristics of a church. Yet, its god is not named in its popular literature. But, as seen by the proofs given in this book, Satan is obviously its god.
It is strange that though Marxism is clearly Satanic, it is not seen as a threat by many churches in the free world. Some illuminating statistics on this are available.
Seminary professors in the U.S.A. were asked, “Can an individual consistently be a good member of your denomination and adhere to Marxism?”
Below are the percentage figures of those who answered Yes:
Episcopalian – 68 %
Lutheran – 53 %
Presbyterian – 49 %
Methodist – 49 %
Church of Christ – 47 % American Baptist – 44 % Roman Catholic – 31 %
How sad that those who follow the Truth are duped by those who serve the father of lies.

S E V E N – MARX, DARWIN, AND REVOLUTION
Marx and Darwin
What was the specific contribution of Marx to Satan’s plan for mankind?
The Bible teaches that God created man in His own image (Genesis 1:26). Up to the time of Marx, man continued to be considered as “the crown of creation.” Marx was Satan’s chosen tool to make man lose his self-esteem, his conviction that he comes from high places and is meant to return to them. Marxism is the first systematic and detailed philosophy which drastically reduces the notion of man.
According to Marx, man is primarily a belly which has to be filled and refilled constantly. The prevailing interests of man are economic in nature; he produces in order to satisfy his needs. For this purpose, he enters into social relationships with others. This is the basis of society, what Marx calls the infrastructure. Marriage, love, art, science, religion, philosophy, everything other than the needs of the belly, are all superstructure, determined in the last analysis by the state of the belly.
No wonder Marx praised Darwin’s book The Descent of Man, another masterstroke which makes men forget their divine origin and divine purpose. Darwin said that man springs from the animal world.
Man was dethroned by these two. Satan could not dethrone God, so he devalued man. Man was shown to be the progeny of animals and a mere servant to his intestines.
It is a strange coincidence that the nineteenth century gave the world three leading personalities opposed to Christianity, all bearing the name of Charles: Karl (German for Charles) Marx, Charles Darwin, and the French poet Charles Baudelaire. The latter wrote in “Abel and Cain”:
Race of Cain, ascend to heaven And throw God to the earth.
Marx wrote to Ferdinand Lassalle on January 16, 1861, “Darwin’s book is very important and serves me as a basis in the natural sciences for the historical class struggle.”
Marx’s son-in-law, Paul Lafargue, in Socialism and the Intellectuals, says,
When Darwin published his Origin of Species, he took away from God his role as creator in the organic world, as Franklin has despoiled him of his thunderbolt.
(It was not Darwin’s original intent to harm religion. He had written, “There is a grandeur in this view of life, with its several powers, having been originally breathed into a few forms or into one.” In order to make his position more emphatic, Darwin inserted the phrase “by the Creator” after “breathed” in the second edition. It remained there in all the succeeding editions he published.)

Later Freud would complete the work of these two giants, reducing man basically to a sex urge, sometimes sublimated in politics, art, or religion. It was the Swiss psychologist Carl Gustav Jung who returned to the Biblical doctrine that the religious impulse is man’s basic urge.
The age of Marx was a time of Satanist ferment in many spheres of life. The Russian poet Sologub wrote, “My father is the Devil.” Another Russian poet, Briusov, said, “I glorify equally the Lord and the Devil.”
Marx was a child of the time that gave us Nietzsche (Hitler’s and Mussolini’s favorite philosopher), Max Stirner, an extreme anarchist, and Oscar Wilde, the first theoretician of freedom for homosexuality, a vice which today has met with acceptance even among the clergy.
Satanic forces prepared Russia for the victory of Marxism. The time of the revolution was a period when love, goodwill, and healthy feeling were considered mean and retrograde. Girls hid their innocence and husbands their faithfulness. Destruction was praised as good taste, neurasthenia as the sign of a fine mind. This was the theme of new writers who burst on the scene out of obscurity. Men invented vices and perversions, and were fastidious in their avoidance of being thought moral.
How was it that Stalin became a revolutionist after reading Darwin? As a student in an Orthodox seminary, he obtained from Darwin the concept that we are not creatures of God, but the result of an evolution in which ruthless competition reigns. It is only the strongest and most cruel who survive. He learned that moral and religious criteria play no role in nature and that man is as much a part of nature as a fish or an ape. Long live ruthlessness and cruelty!
Darwin had written a scientific book setting forth his theory of origins. It had no economic or political implications. But though many might go so far as to concede that God created the world through a long process of evolution, the end result of Darwin’s theory has been the killing of tens of millions of innocents. He therefore became the spiritual father of the greatest mass-murderer in history.
Beyond the intellectual turmoil of the nineteenth century can be traced the influence of the French Revolution, which was spiritually very much akin to the Russian cataclysm of the twentieth century.
During the upheaval in France, Anarchasis Clootz, a leading French revolutionary and Illuminatus, declared himself to be “the personal enemy of Jesus Christ.” He proclaimed before the Convention of November 17, 1792, “The people is the sovereign and the god of the world…. Only fools believe in any other God, in a Supreme Being.” The Convention then issued a decree proclaiming “the nullification of all religions.”
For those of us who take seriously the words of the Lord’s Prayer, “Deliver us from evil,” the meaning is clear: we implore a loving God to protect us and society around us from false doctrine, from pernicious art that accustoms us to evil under the guise of beauty, and from immorality in life. Then we need have no fear of the Devil’s snares.

You have a choice: Do you want to become like the Devil, cruel and vicious, or like Jesus, the God-man of holy love and peace?
Moses Hess’s False Zionism
To complete the picture, we will consider Moses Hess, the man who converted Marx and Engels to the Socialist ideal.
There is a tombstone in Israel inscribed with the words, “Moses Hess, founder of the German Social-Democrat Party.” Hess expounds his beliefs in the Red Catechism for the German People:
What is black? Black is the clergy…. These theologians are the worst aristocrats…. The clergyman teaches the princes to oppress the people in the name of God. Secondly, he teaches the people to allow themselves to be oppressed and exploited in God’s name. Thirdly and principally, he provides for himself with God’s help a splendid life on earth, while the people are advised to wait for heaven.
The Red flag symbolizes the permanent revolution until the completed victory of the working classes in all civilized countries: the Red republic…. The Socialist revolution is my religion…. The workers, when they have conquered one country, must help their brethren in the rest of the world.
This was Hess’ religion when he first issued the Catechism. In the second edition, he added a few chapters. This time the same religion, i.e., the Socialist revolution, uses Christian language in order to accredit itself with believers. Together with the propaganda of revolution, there are indeed a few nice words about Christianity as a religion of love and humanity. But its message must be made clearer: its hell must not be on earth and its heaven beyond. The Socialist society will be the true fulfillment of Christianity. Thus Satan disguises himself as an angel of light.
After Hess convinced Marx and Engels of the Socialist idea, claiming from the very beginning that its purpose would be to give “the last kick to medieval religion” (his friend Georg Jung said it even more clearly: “Marx will surely chase God from his heaven”), an interesting development took place in Hess’ life. He who had founded modern socialism also founded an entirely different movement, a specific brand of Zionism.

Thus Hess, founder of a socialism whose aim was to “chase God from heaven,” was also founder of a diabolic type of Zionism that was to destroy godly Zionism, the Zionism of love, understanding, and concord with surrounding nations. He who taught Marx the importance of class struggle wrote in 1862 these surprising words: “Race struggle is primary, class struggle is secondary.”
He had lighted the fire of class war, a fire never extinguished, instead of teaching people to cooperate for the common good. The same Hess then breeds a distorted Zionism, a Zionism of race struggle. As we reject Satanic Marxism, so also must every responsible Jew or Christian reject this diabolical perversion of Zionism.
Hess claims Jerusalem for the Jews, but without Jesus, the King of the Jews. What need has Hess of Jesus? He writes,
Every Jew has the making of a Messiah in himself, every Jewess that of a Mater Delorosa in herself.
Then why in the world did he not make of the Jew Marx a Messiah, a God-anointed man, instead of a hater bent on chasing God from heaven? For Hess, Jesus is “a Jew, whom the heathen deified as their Savior.” Neither Hess nor the Jews seem to need Him for themselves.
Hess does not wish to be saved himself, and for an individual to seek personal sanctification is “Indo-German,” he says. The aim of the Jews, according to him, must be “a Messianic state,” “to prepare mankind for the revelation of the divine essence,” which means, as he acknowledges in his Red Catechism, to wage the Socialist revolution through racial and class struggle.
Moses Hess, who allotted to his idol Marx the task of putting an end to medieval religion, replacing it with the religion of Socialist revolution, writes these amazing words: “I have always been edified by Hebrew prayers.” What prayers do those who consider religion the opiate of the people say? We have seen already that the founder of scientific atheism prayed while wearing phylacteries before burning candles. Jewish prayers can be misused in a blasphemous sense, just as Christian prayers are perverted in Satanist ritual.
Hess had taught Marx that socialism was inseparable from internationalism. Marx writes in his Communist Manifesto that the proletariat has no fatherland. In his Red Catechism Hess mocks the fatherland notion of the Germans, and he would have done the same with the fatherland notion of any other European nation. Hess criticized the Erfurt program of the German Social-Democrat Party for its unconditional recognition of the national principle. But Hess is an internationalist with a difference: Jewish patriotism must remain. He writes,
Whoever denies Jewish nationalism is not only an apostate, a renegade in the religious sense, but a traitor to his people and to his family. Should it prove true that the emancipation of the Jews is incompatible with Jewish nationalism, then the Jew must sacrifice emancipation…. The Jew must be, above all, a Jewish patriot.

I agree with Hess’ patriotic ideas to the extent that what is sauce for the goose is sauce for the gander. I am for every kind of patriotism – that of the Jews, the Arabs, the Germans, the Russians, the Americans. Patriotism is a virtue if it means the endeavor to promote economically, politically, spiritually, and religiously the welfare of one’s own nation, provided that it is done in friendship and cooperation with other nations. But the Jewish patriotism of a revolutionary Socialist who denies the patriotism of all other nations is highly suspect. This seems to be a diabolical plan to make all peoples hate the Jews.
If I were a non-Jew who saw the Jews accept Hess’s plan of unilateral patriotism, I would oppose it. Fortunately, no Jews have accepted this Satanic plan. In fact, it was Herzl who gave a sane turn to Zionism. In its modern form no trace of Satanism has remained.
The race struggle proposed by Hess is false, as false as the class struggle he enjoined.
Hess did not abandon socialism for this specific kind of Zionism. After writing Rome and Jerusalem, he continued to be active in the world Socialist movement.
Hess does not state his thoughts clearly; therefore it is difficult to evaluate them. It is enough to know that according to him, “the Christian world views Jesus as a Jewish saint who became a pagan man.” It is enough for us to read in his book, “We today long for a far more comprehensive salvation than that which Christianity was ever able to offer.” From The Red Catechism it follows that this more comprehensive salvation is the Socialist revolution.
It could be added that Hess was not only the original source of Marxism and the man who attempted to create an anti-God Zionism, but also the predecessor of the liberation theology currently endorsed in the World Council of Churches and Catholicism. One and the same man, who is almost unknown, has been the mouthpiece of three Satanic movements: communism; a racist, hateful brand of Zionism; and a theology of revolution.
No one can be a Christian without loving the Jews. Jesus was Jewish, as were the virgin Mary and all the apostles. The Bible is Jewish. The Lord has said, “Salvation is of the Jews” (John 4:22). Hess, on the other hand, exalted the Jews as though he consciously wanted to create a violent anti-Jewish reaction. He said that his religion was that of Socialist revolution. The clergy of all “other” religions were crooks. Revolution was the only religion for which Hess had a high regard. He writes,
Our religion (the Jewish) has as its point of departure the enthusiasm of a race which from its appearance on the stage of history has foreseen the final purposes of mankind and which had a foreboding of the messianic time in which the spirit of humanity will be fulfilled, not only in this or that individual or only partially, but in the social institutions of all mankind.
This time – which Hess calls “messianic” – is the time of the victory of the Socialist world revolution. The idea that the Jewish religion had as its point of departure the concept of a godless Socialist revolution is an ugly joke and an insult to the Jewish people.

Hess speaks persistently in religious terms, but he does not believe in God. He writes that “our God is nothing more than the human race united in love.” The way to arrive at such a union is the Socialist revolution, in which tens of millions of specimens of his beloved mankind will be tortured and killed.
He makes no secret of the fact that he wishes neither the domination of heaven, nor that of earthly powers, which are both oppressive. There is no good in any religion, except that of social revolution.
It is useless and inefficient to elevate the people to real freedom and to make them participate in the goods of existence, without freeing them from spiritual slavery, i.e., from religion.
He speaks in one breath about “the absolutism of celestial and earthly tyrants over slaves.”
The Satanic depths of communism can be understood only by knowing the kind of man Moses Hess was, for he influenced Marx and Engels, with whom he founded the First International, as well as Bakunin. Without a knowledge of Hess, Marx is unintelligible, because it is he who brought Marx to socialism.
Consider Marx’s words already quoted:
Words I teach all mixed up into a devilish muddle. Thus, anyone may think just what he chooses to think.
Marx wrote in such a manner. Hess’s writings are an even more devilish muddle, which are difficult to untangle but which must be analyzed for possible a connections between Marx and Satanism.
Hess’ first book was called The Holy History o f Mankind. He proclaimed it to be “a work of the holy spirit of truth,” saying further that as the Son of God freed men from their own slavery, Hess would free them from political bondage. “I am called to witness for the light, as John has been.”
At that time Marx, who was still opposed to socialism and had not known Hess personally, started to write a book against him. For unknown reasons, this book was never completed. He later became Hess’s disciple.
As previously indicated, Hess’ avowed aims were to give a last kick to medieval religion and to produce ravages. In the introduction to his book Last Judgment, he declares his satisfaction that the German philosopher Kant had allegedly “decapitated the old Father Jehovah together with the whole holy family.” (Hess covers his own ideas with the name of the great philosopher. Kant had had no such intentions. He had written to the contrary: “I had to limit knowledge to make place for faith.”)
Hess declares the Jewish as well as the Christian religion to be “dead,” which does not prevent him from writing in Rome and Jerusalem about “our holy writings,” “the holy language of our fathers,” “our cult,” “the divine laws,” “the ways of Providence,” and “godly life.”

It is not that at different stages in life he held different opinions. In his pseudo-Zionist book he declares that he does not disown his former godless endeavors. No, this is an intentional “devilish muddle.”
Hess was Jewish and a forerunner of Zionism. Because Hess, Marx, and other people like them were Jewish, some people consider communism a Jewish plot. Yet Marx also wrote an anti-Jewish book. In this respect, too, he has simply followed Hess.
This “Zionist,” Hess, who elevates Jewry to heaven, wrote in his book About the Monetary System:
The Jews, who had the role, in the natural history of the social animal world, to develop mankind into a savage animal, have fulfilled this, their professional job. The mystery of Judaism and Christianity has been revealed in the modern Judeo-Christian. The mystery of the blood of Christ, like the mystery of the old Jewish worship of the blood, appears here unveiled as being the mystery of the predatory animal.
Don’t worry if you fail to understand these words. They were written “mixed up into a devilish muddle,” but the hatred for Jewishness contained in them is clear. Hess is a racist, Jewish as well as anti-Jewish, according to the needs of the spirit which inspired his works and which he calls “holy.”
Hitler could have learned his racism from Hess. He who had taught Marx that social class is a decisive factor also wrote the contrary: “Life is an immediate product of race.” Social institutions and conceptions, as well as religions, are typical and original creations of the race. The problem of race lies hidden behind all the problems of nationalities and freedom. All past history was concerned with the struggle of races and classes. Race struggle is primary; class struggle is secondary.
How will Hess manage to have so many contradictory ideas triumph?
I will use the sword against all citizens who resist the endeavors of the proletariat.
We will hear the same from Marx:
Violence is the midwife which takes the new society out of the womb of the old one.
Marx’s first teacher was the philosopher Hegel, who merely paved the way for Hess. Marx, too, had sucked poison from Hegel, for whom Christianity was wretched in comparison to the glorious past of Greek culture. Hegel wrote: “Christians have piled up such a heap of reasons for comfort in misfortune … that we ought to be sorry in the end that we cannot lose a father or a mother once a week,” while for the Greek “misfortune was misfortune, pain was pain.”
Christianity had been satirized in Germany before Hegel. But he was the first to satirize Jesus Himself. He also wrote nice things about Christianity, the same “devilish muddle.”

We are what we feed upon. Marx fed upon Satanic ideas; therefore he set forth Satanist doctrine.
The Organization “Hell”
Communists have a habit of creating front organizations. All of the above suggests the probability that Communist movements are themselves front organizations for occult Satanism. The means to fight Satanism are spiritual, not carnal; otherwise, while one Satanist front organization, such as nazism, is defeated, another will rise to greater victory. Himmler, the minister of interior affairs of Nazi Germany, thought himself to be King Henry the Fowler’s reincarnation. He believed that it was possible to harness occult powers to serve the Nazi army. Several Nazi leaders were involved in black magic.
What was mere supposition when I published the first edition of this present book is now a proven fact. The proof has been given by the Communists themselves. The story begins with the Netchaiev case, which prompted Dostoyevski to write his renowned novel The Demons.
Netchaiev, called a “splendid, young fanatic” by Bakunin, Marx’s collaborator in founding the First International, wrote The Catechism o f the Revolutionist as the guide for the Russian organization “Popular Revenge.” It appeared around 1870.
The purpose of this organization was formulated as follows.
Our cause is terrible, complete, universal, and pitiless destruction…. Let us unite with the savage, criminal world, these true and only revolutionists of Russia.
The first man the Netchaiev group killed was one of their founding comrades, Ivanov, who dared to criticize his leadership. No criticism was permitted.
Netchaiev’s plan was to divide mankind into two unequal parts.
One tenth gets personal liberty ^nd unlimited rights over the other nine tenths. These must lose their personality and turn into a kind of herd.
They will engage in spy work. Each member of society will spy on the other and will be obliged to denounce…. All are slaves ^nd are equal in slavery.
Netchaiev wrote in his Catechism:
A revolutionist must infiltrate everywhere, in the upper and lower classes … in churches … in literature.

His disciple Peter Verhovensky commented:
We are already terribly powerful…. Jurors who acquit criminals are completely ours. The district attorney who trembles in courts not to be considered liberal enough is ours. Administrators, men of letters, we are many, very many, and they don’t know they belong to us.
On the basis of such a program an organization with an impressive name was formed – the World Revolutionist League. Its constitution was signed by Netchaiev and Bakunin, Marx’s intimate collaborator. In the beginning the League consisted of only a handful of men.
The revolutionist Duke Peter Dolgorukov wrote on October 31, 1862:
In London I met Kelsiev (who belonged to the above organization), a narrow-minded but good man, terribly fanatical, with the face of a soft man. Kelsiev told me softly, with a benevolent look: “If we have to slaughter, why not slaughter, provided this is useful?” … All these London men speak continually about “burning down, slaughtering, cutting in pieces.” These words have never left their tongue since Bakunin came to England…
In 1869, in Geneva, Netchaiev wrote a proclamation in which, referring to the man who shot Emperor Alexander II, he advises:
We must consider what Karakazov did as prologue. Yes, this was a prologue. Let us see to it that the drama itself begins soon.
Another proclamation says,
Soon, soon the day comes when we will unfurl the great flag of the future, the Red flag, and we will attack with great noise the Imperial palace…
We will have one shout, “To the axes!” and then we will kill the party of the emperor. Do not pity…. Kill in pub is places if these base rascals dare to enter them, kill in houses, kill in villages.
Remember, those who will not side with us will be against us. Whoever is against us is our enemy. And we must destroy enemies by all means.
In 1872, a revolutionary society was formed under the simple name “The Organization,” which had a super-secret circle chillingly called “Hell.” Though its goals have continued to be pursued for well over a century by groups which continually change their names, its existence has been unknown to the outside world.
Soviet historians have dared to write about the activities of “Hell,” a forerunner of the Russian Communist Party, only as recently as 1965, ninety-three years after its formation.

In Revolutionist Underground in Russia, E. S. Vilenskaia wrote:
“Hell” was the name of the center above the secret organization, which not only used terror against the monarchy, but also had punitive functions toward the members of the secret organization.
In Tchernishevsky or Netchaiev we read that one of the members (Fediseev) of “Hell” took it upon himself to poison his own father in order to give the organization his inheritance. Tchernishevsky, who belonged to this movement, wrote,
I’ll participate in revolution; I am not frightened by dirt, by drunkards with sticks, by slaughter. We don’t care if we have to shed thrice as much food as the rebels in the French revolution. So what if we had to kill a hundred thousand farmers?
Here are some of the expressed aims of this Satanic organization:
Mystification is the best, almost the only means to impel men to make a revolution. It is enough to kill a few million people and the wheels of revolution will be oiled. Our ideal is awful, complete, universal, and pitiless destruction.
And again:
Mankind must be divided into two unequal parts. One tenth receives personal liberty and unlimited rights over the other nine tenths. The latter must lose their personality and become a kind of herd.
In their writings we constantly find the words, “We are not afraid.” A typical example is the following proclamation:
We are not afraid that we might find out three times more food will have to be shed for the overthrow of the existing order than the Jacobins (French revolutionists) had to shed in their revolution in 1790…. If for the fulfillment of our objectives we had to slaughter one hundred thousand landlords, we would not be afraid of this either.
In reality, the number of victims was much greater. Churchill says in his Memoirs of World War II that Stalin confessed that ten million people died as a result of the collectivization of agriculture in the Soviet Union.
The important fact to remember is that the Communists have now confessed, after a delay of almost a hundred years, that at the inception of their movement was a circle called “Hell.” Why “Hell”? Why not “The Society for the Betterment of the Poor” or “…of Mankind”? Why the stark emphasis on hell?
Today the Communists are more cautious. But in the beginning their very name revealed that their avowed aim was to recruit men for eternal damnation.

E I G H T – ANGELS OF LIGHT
The Satanist Mass
Dr. Lawence Pazder, in Michelle Remembers, gives us the exact words of a highly secret Satanist mass, obtained through regression analysis from a girl who had attended such some twenty years before.
In the mass Satan appears and says:
Out of dark and fire red
Comes a man of living dead;
I only walk the earth at night, I only burn out the light.
I only go where everybody’s afraid;
I go and find the ones who’ve strayed. All the darkest forces they are mine.
Turn a light, make it night.
Satan is obviously personified by the high priest of the sect. Then Satan takes a Bible in his hand and says:
No eyes can see what this book said.
What’s written in the book is dead.
No eyes can see, not even a friend.
The books are mine in the end.
You can write all day, you can write all night,
But writing won’t bring light.
I’ll burn it out, I’ll make it black
I’ll burn your words from front to back.
I’ll burn each page, I’ll eat each word
And spit it out never to be heard.
The fire will grow, their eyes will see.
The book of words can’t stand up to me.
When they grow old, they’ll know and tell.
The only power comes from Hell.
Matthew, Mark, Luke and John
Burn in the fire and then you’re gone.
Their words were lies,
My children will see.
In the fire their word dies.
The only thing left burning true
Is the light that shows me to you.
I’ll be back, you wait and see.
I’ll be back to take the world for me. Everything that’s gone must return. I was thrown out, but I can burn.
Turn, my children, turn around.

Touch every piece of ground. Touch everyone you can. Make a beast of every man.
Then follows the chant of the congregation:
Its time to change from black to red
It’s time to change from alive to dead.
Prince of darkness .. .
Help us celebrate the feast Of the coming of the Beast.
Satan speaks again:
The Holy One, the One most high
Ha, not for long, pretty soon it will be I.
All the countries you see, I put my traps, Waiting for the boot to collapse.
Money and numbers and the power of hate, These are the things on which I relate.
Numbers of people – so many, each one small, Then, with so much money, the small are tall.
Friedrich Nietzsche, in the fourth part of Thus Spake Zarathustra, under “Awakening,” provides the text of another black mass he himself composed. Its spirit does not differ much from the one above.
Tragically, it has come to light that black masses have infiltrated the lives of many Americans, especially children.
“Satan, Satan, Satan. He is God; he is God; he is God.” These blasphemous words are hidden in the lyrics of rock records that youth listen to by the hour, many with no awareness of what they are being subjected to. The words are hidden in the lyrics through “backward masking.”
A number of rock groups have used this technique. Led Zeppelins best-selling record “Stairway to Heaven,” which admittedly makes little sense as written, contains the masked message, “I will sing because I live with Satan.” Another song contains the words, “I decide to smoke marijuana.” Subliminal persuasion is more powerful, and therefore more dangerous, than conscious influence.
Public black masses are rare today, but Stefan Zweig in his biography of Fouché describes one held in Lyon during the French Revolution.
A revolutionary, Chaber, had been killed, and the black mass was celebrated in his honor. On that day crucifixes were torn from all the altars and priestly robes were confiscated. A huge crowd of men carrying a bust of the revolutionary descended on the marketplace. Three proconsuls were there to honor Chaber, “the God-Savior who died for the people.”

The crowd carried chalices, holy images, and utensils used in the mass. Behind them was an ass wearing a bishops mitre on its head. A crucifix and a Bible had been tied to its tail.
In the end, the Gospel was thrown into the fire together with missals, prayerbooks, and ikons. The ass was made to drink from a Communion chalice as a reward for its blasphemous services. The bust of Chalier was put on an altar in place of the smashed image of Christ. Tens of former Catholic priests participated.
A medal was issued to commemorate this event. Secret black masses do not take this shape, but the spirit is basically the same.
The Russian magazine Iunii Kommunist describes in detail a Satanist mass in which bread and wine, mixed with dung and tears taken from operating on the eyes of a living cock, are “transubstantiated” into the alleged body and blood of Lucifer.
During this ceremony the words of the mass are read from the end to the beginning, as is customary in Satanist rituals. Then a covenant is concluded between Satan and his worshipers. The points of the contract are: renunciation of Christian teaching; new baptism in the name of the Devil, with a change of name; renunciation of godparents, with the substitution of other protectors; bringing some personal clothing as a gift to Satan; swearing loyalty to Satan while standing in a magic circle; inscription of the new members name in “The Book of the Dead,” as opposed to Christ’s Book of Life; the promise to consecrate one’s children to the Devil, as well as gifts and deeds pleasing to him; an oath to keep the secrets of the witches’ coven and to demean the Christian religion.
Why would Communists dig out such teachings from old books of demonology and recommend them to the youth, saying, “they are rich food for thought”? Is that all that Marxism has to offer the human mind?
The Communist magazine continues:
In this devilish antiworld, which externally is completely like ours, man must reply with evil to every success in life.
Then it brazenly affirms the following as the slogan of Satanism: “Satan is not the foe of man. He is Life, Love, Light.”
The article ends with a quotation from Uspenskii expressing the hope of the Communists:
There are ideas which touch the most intimate corners of our lives. Once these are touched, the marks remain forever. They will poison life.
This insidious material is presented in a subtle manner as if to provide information, but its real aim is to arouse the reader’s morbid curiosity, with ravaging effects.
During the initiation ceremony for the third degree in the Satanist church, the initiate has to take the oath, “I will always do only what I will.” In other words, there is no authority beyond the polluted self. This is an open denial of Gods commandment, “…

seek not after your own heart and your own eyes, after which you used to go a whoring” (Numbers 15:39).
Marxists appeal to the basest passions, stirring up envy toward the rich and violence toward everyone. “It is the evil side which makes history,” wrote Marx, and he played a major role in shaping history.
Revolutions do not cause love to triumph. Rather, killing becomes a mania. In the Russian and Chinese revolutions, after the Communists had murdered tens of millions of innocents, they could not stop murdering and brutally killed one another.
Is Everything Permitted?
The Satanist cult is very old, older than Christianity. The prophet Isaiah might have had it in view when he wrote, “We have turned every one to his own way, and the Lord has laid on him (the Savior) the iniquity of us all” (Isaiah 53:6).
True religious feeling is at the opposite pole. Certain Hassidic rabbis never said “I,” because they considered it a pronoun that belonged only to God. His will is binding on human behavior.
By contrast, when a man or woman is initiated into the seventh degree of Satanism, he swears that his principle will be, “Nothing is true, and everything is permitted.” When Marx filled out a quiz game for his daughter, he answered the question “Which is your favorite principle?” with the words, “Doubt everything.”
Marx wrote in The Communist Manifesto that his aim was the abolition not only of all religions, but also of all morals, which would make everything permissible.
It was with a sense of horror that I read the mystery of the seventh degree of Satanism inscribed on a poster at the University of Paris during the 1968 riots. It had been simplified to the formula, “It is forbidden to forbid,” which is the natural consequence of “Nothing is true, and everything is permissible.”
The youth obviously did not realize the stupidity of the formula. If it is forbidden to forbid, it must also be forbidden to forbid forbidding. If everything is permissible, forbidding is permissible, too.
Young people think that permissiveness means liberty. Marxists know better. To them, the formula means that it is forbidden to forbid cruel dictatorships like those in Red China and the Soviet Union.
Dostoyevski had said it already: “If there is no God, everything is permitted.” If there is no God, our instincts are free. The ultimate expression of this kind of liberty is hatred. Whoever is free in this sense considers loving-kindness a weakness of the spirit.

Engels said, “Generalized love of men is absurdity.” The anarchist thinker Max Stirner, author of The I and I is Property and one of Marx’s friends, wrote, “I am legitimately authorized to do everything I am capable of.”
Communism is collective demon-possession. Solzhenitsyn in The Gulag Archipelago reveals some of its horrid a results in the souls aid lives of people.
The Mythical Marx
Let me say again that I am conscious that the evidence I have given to date may be considered circumstantial. But what I have written is enough to show that what Marxists say about Karl Marx is a myth. He is not prompted by concern for the poverty of his fellowmen, for which revolution was the only solution. He did not love the proletariat, but called them “nuts,” “stupid,” “asses,” “rascals,” even obscenities. He did not even love his comrades in the fight for communism. He called Freiligrath “the swine,” Lassalle “Jewish nigger,” Bakunin “a theoretical zero.”
A Lieutenant Tchekhov, a fighter in the revolution of 1848 who spent nights drinking with Marx, commented that Marx’s narcissism had devoured everything good that had been in him.
Marx certainly did not love mankind. Giuseppe Mazzini, who knew him well, wrote that he had “a destructive spirit. His heart bursts with hatred rather than with love toward men.”
Mazzini was himself a “Carbonari.” This organization, founded in 1815 by Maghella, a Genoan Freemason, declared its “final aim to be that of Voltaire and of the French Revolution – the complete annihilation of Catholicism and ultimately of Christianity.” It began as an Italian operation, but subsequently developed a broader European orientation.
Though Mazzini was critical of Marx, he maintained his friendship with him. The Jewish Encyclopedia says that Mazzini and Marx were entrusted with the task of preparing the address and the constitution of the First International. This means that they were birds of the same feather, though they sometimes pecked at each other.
I know of no testimonies from Marx’s contemporaries that contradict Mazzini’s evaluation. Marx the loving man is a myth constructed only after his death.
In fact, his favorite bit of verse was this quotation from G. Werth: “There is nothing more beautiful in the world than to bite one’s enemies.” In his own words, he said outright, “We are pitiless. We ask for no pity. When our turn comes, we will not shun terrorism.” These are hardly the sentiments of a lover.
Marx did not hate religion because it stood in the way of the happiness of mankind. On the contrary, he simply wanted to make mankind unhappy in this world and throughout eternity. He proclaimed this as his ideal. His avowed aim was the destruction of religion. Socialism, concern for the proletariat, humanismthese were only pretexts.

After Marx had read The Origin of Species by Charles Darwin, he wrote a letter to Lassalle in which he exults that God – in the natural sciences at least – had been given “the death blow.” What idea, then, preempted all others in Marx’s mind? Was it the plight of the poor proletariat? If so, of what possible value was Darwin’s theory? The only tenable conclusion is that Marx s chief aim was the destruction of religion.
The good of the workers was only a pretense. Where proletarians do not fight for Socialist ideals, Marxists will exploit racial differences or the so-called generation gap. The main thing is, religion must be destroyed.
Marx believed in hell. And his program, the driving force in his life, was to send men to hell.
Robin Goodfellow Marx wrote,
In the signs that bewilder the middle class, the aristocracy, aid the prophets of regression, we recognize our brave friend, Robin Goodfellow, the old mole that can work in the earth so fast-the revolution
Scholars who have read this apparently never looked into the identity of this Robin Goodfellow, Marx’s brave friend, the worker for revolution.
The sixteenth-century evangelist William Tyndale used Robin Goodfellow as a name for the Devil. Shakespeare in his Midsummer Night’s Dream called him “the knavish spirit that misleads nightwanderers, laughing at their harm.”
Thus, according to Marx, considered the father of communism, a demon was the author of the Communist revolution and was his personal friend.
Lenin’s Tomb
In his revelation to St. John, Jesus said something very mysterious to the church in Pergamos (a city in Asia Minor): “I know … where thou dwellest, even where Satan’s seat is” (Revelation 2:13). Pergamos was apparently a center of the Satanist cult in that period. Now the world-famous Baedecker tourist guidebooks for Berlin state that the Island Museum contained the Pergamos altar of Zeus until 1944. German archaeologists had excavated it, and it had been in the center of the Nazi capital during Hitler’s Satanist regime.
But the saga of the seat of Satan is not yet over. Svenska Dagbladet (Stockholm) for January 27, 1948 reveals that:
i. The Soviet army, after the conquest of Berlin, carried off the Pergamos altar from Germany to Moscow This tremendous structure measures 127 feet long by 120 feet wide by forty feet high.

Surprisingly, the altar has not been exhibited in any Soviet museum. For what purpose was it transported to Moscow?
We have already indicated that men in the top echelons of the Soviet hierarchy practiced Satanist rituals. Did they reserve the Pergamos altar for their private use? There are many unanswered questions. Suffice it to say that objects of such high archaeological value usually do not disappear, but are the pride of museums.

The architect, Stjusev, who built Lenin’s mausoleum, used this altar of Satan as a model for the mausoleum in 1924.
Many visitors wait in line every day to visit this sanctuary of Satan in which Lenin’s mummy lies in state. Religious leaders of the whole world pay their homage to the Marxist “patron saint” in this monument erected to Satan.
The Satanist temple at Pergamos was only one of the many of its kind. Why did Jesus single it out? Probably not because of the minor role it played at that time. Rather, His words were prophetic. He spoke about nazism and communism, through which this altar would be honored.
It is worth noting with irony that on the grave of Lenin’s father there stood a cross with the inscription “The light of Christ illuminates all” and a multitude of Bible verses.

N I N E – WHOM WILL WE SERVE?
A Call for Action

This book has been written in an exploratory manner. Christian thinkers, like other scholars, often succumb to the temptation to prove preconceived ideas. They do not necessarily present only the truth as far as they have ascertained it. Sometimes they are prone to stretch the truth or exaggerate their argumentation in order to prove their point.
I do not claim to have provided indisputable proof that Marx was a member of a sect of devil-worshipers, but I believe that there are sufficient leads to imply this strongly. There are certainly enough leads to suggest Satanic influence upon his life and teachings, while conceding that there are gaps in a chain of evidence that would lead to a definite conclusion in this matter. I have provided the initial impulse. I pray that others will also continue this important inquiry into the relationship between Marxism and Satanism.
Meanwhile, how can the church defeat Marxism?
The secular anti-Communist world can use weapons of economic sanctions, political pressure, military threats, and broad-based propaganda. The church should certainly support any actions conscience can endorse in the battle against the enemies of God. But it also has a weapon of its own.
The Ukrainian Metropolitan of the Catholic Church, Byzantine rite, Andrew Count Sheptytsky, once requested that Rome order prayers of exorcism against the Communists, whose “regime cannot be explained except by a massive possession of the Devil.”
Jesus did not tell His disciples to complain about demons, but to cast them out (Matthew 10:8). I believe this can be effectively accomplished, though this book cannot enter into details about such prayer.

Readers React
The first editions of this book produced interesting responses. Many greeted it as a new discovery in the understanding of Marxism and gave me valuable hints as to where I could find new material.
On the other hand, a Dutch personality dedicated several columns of his theological magazine to minimizing the importance of the discovery. “Well,” he says, “Marx may have indulged in black magic, but this does not count for much. All men are sinners, all men have evil thoughts. Let us not be alarmed at this.”
It is true that all men are sinners, but not all are criminals. All men are sinners, but some are murderers and some are righteous judges who pass judgment on them.

The crimes of communism are unequaled. What other political system has killed sixty million men in half a century? Another sixty million have been killed in Red China. (Some estimates run much higher.)
There are degrees of sinfulness and criminality. The enormity of crime is a measure of the intensity of Satanic influence on the founder of modern communism. The sins of Marxism, like those of nazism, surpass the ordinary. They are Satanic indeed.
I have also had letters from Satanists offering an apology for their religion. One of them writes:
A defense of Satanism needs only the Bible for documentary evidence. Think of all the thousands of earthly people, created in Gods own image, mind you, destroyed by fire and brimstone (Sodom and Gomorrah), a lethal miscellany of plagues, and, to top everything off, the drowning of the earth’s population, except for Noah’s family. All of these devastations brought about by a “merciful” God/Lord/Jehovah. What could a merciless god have done?
But in all the Bible there is no record of even one death being brought about by Satan! So, let’s hear it for Satan!
This Satanist has not studied the Bible well. Death came into the world through Satans deceit, his luring Eve into sin. This Satanist has also drawn his conclusions too soon. God has not yet finished with His creation.
Initially every painting is a senseless, often ugly mixture of lines and dots of many colors. It took da Vinci twenty years to make of these the beautiful Mona Lisa. God also creates in time. In time He shapes beings and destroys them to give them a new form. The seed which has neither beauty nor fragrance dies as seed in order to become a splendid, perfumed flower. Caterpillars have to die as such in order to become beautiful butterflies. Men are allowed by God to pass through the refining fires of suffering and death. The apotheosis of creation will be a new heaven and a new earth in which righteousness will triumph. Then those who have followed Satan will have to suffer an eternity of regrets.
Jesus endured flogging and crucifixion. But whoever wants to know God must look beyond the tomb to Jesus’ resurrection and ascension. In contrast, the enemies of Jesus who plotted His death brought their people and their temple to destruction and lost their own souls.
Our critic wished to comprehend God through reason, which is not the right instrument for a creature. God cannot be comprehended by the mind, but only apprehended by a believing heart.
A Jamaican asked if the America that exploits his country is not as Satanic as Marx. It is not. Americans are sinners, as are all men. America has a small group of devil-worshipers. But the American nation as such does not worship the Devil.
Nauka I Religia, the principal atheist magazine of Moscow, contained a long article written by two philosophers, Belov and Shilkin. They said that
Wurmbrand’s temperament might be envied by the greatest football players. His shouting is savage. This fighter calls for a crusade against socialism, which he calls an offspring of Satan. He was imprisoned in Romania for distributing religious literature instigating revolt against the government!
In this article two things are to be noted. First, I am called a “devilish pastor” for my book Was Karl Marx a Satanist? though the authors cannot produce one single fact to refute the documentation supporting Marx’s links with a Satanist sect. Second, the article congratulates Christian leaders, even anti-Communists, who have taken a stand against me. They might be adversaries of communism, but as long as they oppose Wurmbrand, chief enemy of communism, they were approved by Moscow.
One remarkable letter came from a Nigerian who had been a Marxist labor union leader for twenty years. My writings helped him to see that he had been led astray by Satan. Furthermore, he has become a Christian.

T E N – MARX OR CHRIST?
A Word to Marxists…
If I were to address a rank-and-file Marxist, I would express the following concerns:
Many Marxists today are not animated by the spirit that controlled Hess, Marx, or Engels. They really love mankind; they are confident they are enrolled in an army fighting for universal good. It is not their desire to be tools of some weird Satanist sect.
Sadly, Satanic Marxism has a materialistic philosophy that blinds its followers to spiritual realities. But matter is not all that exists. There is a reality of the spirit, of truth, beauty, and ideals.
There is also a world of evil spirits, whose head is Satan. He fell from heaven through pride and drew down with him a host of angels. Then he seduced the progenitors of the human race. Since the Fall, his deceit has been perpetuated and increased through every conceivable device, until today we see God’s beautiful creation ravaged by world wars, bloody revolutions and counterrevolutions, dictatorships, exploitation, racism of many kinds, false religions, agnosticism and atheism, crimes and crooked dealings, infidelities in love and friendship, broken marriages, rebellious children.
Mankind has lost the vision of God. But what has taken the place of this vision? Is it something better?
Man must and will have some kind of religion. It is his nature to worship. If he has not a God-fearing religion, he will have the religion of Satan and will persecute those who do not worship his “god.”
Persumably only a few top leaders of communism have been and are consciously Satanists, but there is also an unconscious Satanism. A man can be a Satanist without being aware that such a religion exists. But if he hates the notion of God and the name of Christ, if he lives as though he were only matter, if he denies religious and moral principles, he is in fact a Satanist. Those who delve into the occult are in the same class.
On Sundays in Frankfurt, West Germany, more people go to spiritualist meetings, where the dead are allegedly called up, than to church services. There are known Satanist churches in Munich and Düsseldorf, for instance.’ There are many such churches in France, Britain, the U.S.A., and other countries as well.
In Great Britain there are thirty-five thousand practicing witches. American universities and even high schools offer courses in witchcraft, astrology, voodoo, magic, and ESP In France forty thousand black masses are conducted annually.
Human beings may forsake God, but God has never forsaken His creatures. He sent into the world His only Son, Jesus Christ, to save the race of man. Incarnate love and compassion lived on earth in the life of a poor Jewish child, then of a hump e carpenter, and eventually of a teacher of righteousness. Downtrodden man cannot save himself, any more than a drowning man can fetch himself out of the water. So Jesus, full of understanding for our inner conflicts, took upon Himself all our sins, including the sins of Marx and his followers, and bore the punishment for what we have done. He expiated our guilt by dying on a cross on Golgotha, after suffering the most terrible humiliation and agonizing pain.
Now we have His word that whoever puts faith in Him is forgiven and will live with Him in eternal paradise. Even notorious Marxists can be saved. It is worth noting that two Soviet Nobel prize winners, Boris Pasternak and Aleksandr Solzhenitsyn, both former Communists, after describing the extremities of crime to which Satanic Marxism leads, have confessed their faith in Christ. Svetlana Alliluyeva, the daughter of Stalin, the worst of the Marxist mass-murderers, also became a Christian.
Let us remember that Marx š ideal was to descend into the abyss of hell and draw all mankind in after him. Let us not follow him on this vicious path, but rather follow Christ who leads us upward to peaks of light, wisdom, and love, toward a heaven of unspeakable glory.
The Great Gulf
It is manifestly impossible a to compare Jesus with Marx. Jesus belongs to an entirely different realm altogether.
Marx was human and probably a worshiper of the Evil One. Jesus is God and reduced Himself to the level of mankind in order to save it.
Marx proposed a human paradise. When the Soviets tried to implement it, the result was an inferno.
Jesus’ kingdom is not of this world. It is a kingdom of love, righteousness, and truth. He calls to everyone, including Marxists and Satanists:
Come unto me, all ye that labor and are heavy laden, and I will give you rest (Matthew 11:28).
All who believe in Him will have eternal life in His heavenly paradise.
There is no possibility of agreement between Christianity and Marxism, just as there can be no agreement between God and the Devil. Jesus came to destroy the works of the Evil One (1 John 3:8). As Christians follow Him, they strive to destroy Marxism while retaining love for the individual Marxist and trying to win him to Christ.
Some proclaim that they are Marxist Christians. They are either deceivers or are deceived. One cannot be a Marxist Christian any more than one can be a devil-worshiping Christian.

Over the years, the Satanist aims of Marxism have not changed one bit. The Marxist philosopher Ernst Bloch writes in his book Atheism in Christianity that
the seduction of the first human couple by the serpent opens the way of salvation for mankind. So man starts to become a god; it is the way of rebellion. Priestcraft and the possessors of goods repressed this truth. The original sin consists in the fact that man does not wish to be like God. Man must conquer the power. The theology of revolution wills it that man should conquer the power of God. The world must be changed in the image of man. There should be no heaven at all. The belief in a personal God is the fall into sin. This fall must be repaired.
There is a gulf between Christianity and communism that can be bridged only in one sense: Marxists must abandon their devil-inspired teacher, repent of their sins, and become followers of Jesus Christ.
Marxists are concerned with social and political problems, but these will have to be solved outside the tenets of Marxism. For Marx, socialism was only a pretense. His aim was to ruin mankind for eternity, a diabolical plan. By way of contrast, Christ desires our eternal salvation.
In the fight between Christianity and communism, believers “wrestle not against flesh and blood, but against principalities, against powers, against the rulers of the darkness of this world, against spiritual wickedness in high places” (Ephesians 6:12).
Each of us has to choose not only between abstract good and abstract evil, but between God and Satan. Marx believed in God and hated Him. Even in his old age he worshiped Satan.
The average Marxist and the sympathizer of Marxism should not follow Marx in this spiritual aberration. Let us reject the bourgeois Marx, bearer of darkness, and Engels, factory owner and therefore, according to Marxist dogma, an exploiter. Let us rather choose the Light of the World and mankinds prime Benefactor, Jesus the working man, the Carpenter, the Savior, Lord of all.
“Proletarians of the World, Forgive me!”
That Marxist Satanism has ravaged the world is terrible. That it has penetrated high places in the church is unthinkable. Yet such is the case.
To give just one example, the late Pope John Paul I praised Giuseppe Carducci, an Italian university professor, as an example of a good teacher of youth. Who is the man recommended by no less than the Pope? Carducci became famous through his “Hymn to Satan,” which begins: “My ardent verse is for Thee. I invoke you, Satan, king of the feast.” It ends: “In holiness, incense and vows should ascend to thee, Satan. You have defeated Jehovah, the god of the priests.” (I grant to this Pope that he might not have known whom he recommended, but it is wrong for a bishop to endorse an unknown.)

In 1949 a Soviet general said to a Catholic priest, Werenfried van Straaten, “We are Satan’s elite, but you, are you God’s elite?”
We must not remain silent about these matters.
We have seen in this book what length devilworshipers are willing to go. May their dedication to evil be an incentive for us to behave like Gods elect!
During the troubles in Poland in 1982, one could see mocking inscriptions on the walls. For example, “Marx said, Proletarians of the world, forgive me!” instead of the usual “Proletarians of the world, unite!”
I shuddered when I read these words.
It is said about Engels that he repented before his death. There is no such record about Marx. In 1983, many commemorated the centenary of his death. Might he have held this same commemoration in hell? While writing this book, I have passed many a sleepless night, thinking of what Marx must endure viewing perhaps in hell the rivers of tears and blood .that he has caused to flow.
Jesus told a story about a rich man in the eternal fire who expressed one ardent desire: his brethren should be warned not to end up in the same place of torment. Does Marx also have the same desire – that his followers should be warned not to walk in his footsteps leading to perdition?
Are the Polish people right when they have Marx say “… forgive me”? Does he indeed cry out from the fire-as it might truly be-“Send someone to my house, for I have many comrades, that he may testify to them, lest they also come to this place of torment’ (Luke 16:2?, 28)?
The Soviet Communists did damage to their cause by disowning Stalin, who had become a popular idol. One can only speculate why they permitted such a reversal of policy, since it was certainly not in their best interests to remove Stalin’s corpse from the mausoleum. Likewise, the Chinese Communists harmed their own cause by disowning Mao and jailing his wife.
Perhaps in the hidden depths of their souls, Soviet and Chinese Communist leaders felt what is now the burning desire of their former idols, who too late were remorseful about what they had done and taught.
As for me, I love every man, including Marxists and Satanists. If Marx and Engels and Moses Hess were alive today, my most ardent wish would be to bring them to Jesus Christ, who alone has the answer to man’s ills and the remedy for his sins.
This is my wish for you, the reader. You have walked with me through the terrible pages of this book. Now I urge you to consider carefully your loyalties before it is too late. Abandon Satan and his evil cohorts. History proves he is never true to his own. Therefore, choose life and love and hope and heaven.
Marxists and proletarians of the world, unite around Jesus Christ!

APPENDIX – CAN COMMUNISM BE CHRISTIAN?
Marxist “Christian” Theology
Ernesto Cardenal is a Catholic priest who is a self-avowed Communist and was active in the Communist government of Nicaragua. He is also one of the most prominent exponents of so-called liberation theology, which exists within both Catholicism and Protestantism and seeks to blend Christianity with communism.
Here are a few excerpts from his book The Zero Hour:
A world of perfect Communism is the kingdom of God on earth. They are the same thing for me…. Through the Gospel I have arrived at revolution; not through Karl Marx, but through Christ. The Gospel caused me to become a Marxist…. I have the calling of a poet and prophet….
Castro told me that the qualities of a good revolutionist are also the qualities of a good priest…. Let us not forget that the first Christians were the best Christians, i.e., revolutionary and subversive Christians….
Marxism is the fruit of Christianity; without Christianity, Marxism would be impossible; Marx would be unthinkable without the prophets of the Old Testament. Changing the system of production, we can create the new man of the Gospel… The Mexican Jesuit Jose Miranda says in his book Marx aid the Bible that the Ten Commandments are Marxist, even the first commandment, to love God. For him, to love Jehovah above all means to love justice. If the church ever asserted anything else, it was a monstrosity.
I believe that the Communists, too, belong to the church. I believe the true church includes many who don’t perceive themselves as Christians, even those who consider themselves atheists. Many of these belong more to the church than some who sit in the Roman Curia.
Since Constantine, the church has always gone to bed with the state. If Christians and Marxists would read each other’s writings, there would be no conflicts any more between Christians and Socialism…. It seems to me that worker priests and revolutionists-the most progressive paw of the church-are inspired directly by the Holy Ghost.
For me the God of the Bible is also the God of Marxism-Leninism…. The apostle John says, “No one has seen God.” What the atheist Marxists say is very much akin to what Saint John says: “No one has seen God.”
Another writer quotes Cardenal as follows:
I am above all a revolutionist and as such fight for a Socialist country which is in the course of passing through a dictatorship of the proletariat, in which surely it cannot show itself feeble toward the enemies of its fatherland, not even in moments when one comes to the point of having to execute men for this purpose.
It is self-evident that a man who thinks like this has no trout a praising the regime in Cuba as a model of liberty.

Liberation theology is not an isolated phenomenon. It is the by-product of a general tendency to synthesize Marxism and Christianity; it is also seen in various forms of compromise in politics, art, economics, and so on.
Two Jews, Bernstein and Schwartz, composed the musical The Mass for the inauguration of the John Kennedy Center for the Performing Arts in Washington in 1971. In it, during the singing of the Kyrie Eleison, the Gloria, and the Credo, a band of singers and dancers howl their doubts:
God made us the boss;
God gave us the cross.
We turned it into a sword
To spread the word of the Lord.
We use his holy decrees
To do whatever we please. Yeah.
Give us peace that we don’t keep on breaking. Give us something or we’ll just start taking. We’re fed up with your heavenly silence, And we only get action with violence.
The “Christian” multimillionaires present at the concert cheered. Their wives, apparelled in slit skirts and decollete bodices, bejeweled and befurred, joined in the applause. The music is now standard repertoire.
I can understand men like the priest Cardenal. There is a ring of truth in the feeling he expresses of solidarity with the Communists, who appear to him as champions of the cause of the poor-always near to the heart of Christians.
In the Bible Job is called a righteous man. He describes to his dubious friends the program of his life:
… I delivered the poor that cried, and the fatherless, and him that had none to help him…. I was a father to the poor: and the cause which I knew not I searched out. And I broke the jaws of the wicked, and plucked the spoil out of his teeth Job 29:12, 16, 17).
These words could be uttered by any revolutionist. Job continues:
Did not I weep for him that was in trouble? Was not my soul grieved for the poor? (30:25). If I did despise the cause of my manservant or of my maidservant, when they contended with me, what then shall I do when God riseth up? (31:13, 14).
True believers have always reacted like this.
Cardenal’s assertion that “the church has always gone to bed with the state” is untrue. For example, the war of secession in the U.S.A., which led to the abolition of slavery, was influenced by Uncle Tom’s Cabin, written by a Christian lady, Harriet Beecher Stowe. She said simply, “The Lord wrote it.”

During a Communion service she had a vision of an old slave being beaten to death by a white ruffian. This became the story of Uncle Tom’s flogging. The book was a stick of dynamite driven into the foundations of slavery.
Charles Spurgeon, the greatest Baptist preacher of the last century, was also an ardent fighter against slavery. He wrote, “If slavery is not wrong, nothing is wrong.” Wilberforce, a Christian and a capitalist, caused slavery to be abolished in the British Empire long before America’s Civil War. Lincoln, also a Christian, issued the Emancipation Proclamation that freed the slaves in the USA.
The theology of liberation, which ignores these facts, is widely urged in the Third World. Its theoreticians can call themselves Christian only because of the chaos in thinking prevalent in the church at this moment.
According to the July 28, 1949 decree of the Holy Office of the Roman Catholic Church, the following categories of Catholics are to be excommunicated:
Whosoever belongs to the Communist Party;
Whosoever makes propaganda for it in any way;
Whosoever votes for it and its candidates;
Whosoever writes for the Communist press, reads and spreads it;
Whosoever remains a member in a Communist organization;
Whosoever confesses the materialistic and anti-Christian
teaching of atheist Communism;
Whosoever defends and spreads it.
This punishment applies also to parties that make common cause with
Communism.
Many of the revolutionist theologians belong only formally to the Catholic Church, and yet have a great influence among believers. In the Orthodox churches, too, there exists a tendency to exploit, for the benefit of communism, the spiritual energies that religion awakens and channels.
Liberation theologians proclaim an earthly paradise. Communism is this paradise, capitalism its foe. The church no longer waits for the coming of Jesus in the clouds of heaven. The triumph of communism will be equated with His coming. This explains why in Communist countries the God-hating Communist government has paid the clergy.
It needs to be said that among both Catholics and Orthodox, there are also bishops who fear absorption into earthly pursuits and seek rather a deeper spiritual life. Not all have bowed to Baal.
As for Protestants, in hearings before the U.S.A. House Committee on Un-American Activities on February 26, 1966, Richard Arens, general counsel to the Committee, declared:
Thus far, in the leadership of the National Council of Churches, we have found over 100 persons in leadership capacity with either Communist-front records or records of services in Communist causes. The aggregate affiliations of the leadership is in the thousands.

And the World Council of Churches for years has subsidized Communist guerrillas in Africa.
The Catholic Gustavo Gutierrez wrote in The Theology of Liberation: “The church must place itself squarely within the process of revolution.” The Lutheran theologian Dorothee Sölle, founder of Christians for Socialism, wrote: “We are at the beginning of a new chapter in Christian history. It will not be written without Karl Marx.”
These are the facts, open and uncontested, about what is happening in the church universal.
We did not heed the warning of the Lord to beware of wolves in sheep’s clothing. If the clothing speaks to us about doing good to mankind, we get hooked, forgetting that the worst of men can speak beautiful things.
German Socialists in 1907 opened their convention with Luther’s hymn, A Mighty Fortress, replacing “God” with “Socialist League.” Some revolutionist groups practiced baptism. One called for a new Communion service at which the pastor would proclaim, “This is the body of the bread which the rich owe to the poor.” Revolutionist groups spoke of “the holy Communist church,” “the egalitarian church outside of which there is no salvation.” Their “Lord’s Prayer” said, “No masters and no servants – Amen. Money and property shall be abolished” (see James Billington, Fire in the Minds of Men, Basic Books, 1985).
The Devil disguises himself as an angel of light. When the Communists came to power, unprecedented slaughters followed, which eclipse even Hitler’s Holocaust.
Clergymen who had been on the side of communism also became its victims. If communism would conquer the countries of the Third World, the theologians of liberation would sit in jail together with those who opposed this ideology.
Perfect Communism: Kingdom of God on Earth?
Cardenal says, “Communism and the kingdom of God are the same thing for me.”
The word “communism” in itself is vague. It is taken to mean only an economic system in which everyone will work according to his abilities and will receive according to his needs. There will be no state, no division of the world into countries, and no social classes, because the means of production will belong to all mankind.
Suppose this could be attained-where is God in the picture? Why should this be equated with the kingdom of God? A society of unbelievers, even of men who hate and scorn God, could choose or be forced to live in such a state.
Scripture says that when the kingdom is the Lords, “All the ends of the world shall remember and turn unto the Lord: and all the kindreds of the nations shall worship before thee” (Psalm 22:27).

The kingdom of God will not be a stateless society. The people of the saints of the Most High will have dominion over it (Daniel 7:27).
It is not a kingdom brought about by a political party, but by Jesus, the Son of man (Matthew 16:28).
Obviously, there will be none of the evils that plague society now, such as war, famine, pestilence, pollution, injustice, exploitation, racism, etc. The kingdom of God will be one of righteousness, peace, love, joy, and the right to possess one’s own mansion and garden (John 14:2).
Father Cardenal, who claims that he is a prophet, must know what his Biblical predecessor Micah said: “In the last days … they shall sit every man under his vine and under his fig tree” (4:1, 4). The prophet Isaiah reinforces this idea: “They shall not build, and another inhabit; they shall not plant, and another eat” (65:22). Thus, Scripture endorses the notion of private ownership.
What would perfect communism look like in reality? Perfection as we humans experience it is the ultimate achievement of years of practice-in the field of sports, music, typing, or skills of any sort. A violinist perfects his performance of a Beethoven concerto by practicing his violin. A baseball pitcher achieves success by refining his technique through intensive, persistent effort.
Perfect communism, described as economic liberation, freedom, peace, and justice, could be attained only through the practice of such policies in the society it hopes to benefit.
But in actual experience Communists have jailed, tortured, and terrorized hundreds of millions of people for almost seventy years. How could such practice result in a just, mild, and loving society?
Christian communism is a utopian impossibility, a nightmare of exploitation. The theology of revolution is a patent absurdity, a contradiction in terms.
What fellowship hath righteousness with unrighteousness? and what communion hath light with darkness? And what concord hath Christ with Belial? or what part hath he that believes with an infadel? (2 Corinthians 6:14, 15).
“You cannot serve God and mammon,” said Jesus. Choose you this day whom you will serve.

Un parc pour enfant dédié à Satan

Et il fut précipité, le grand dragon, le serpent ancien, appelé le diable et Satan, celui qui séduit toute la terre, il fut précipité sur la terre, et ses anges furent précipités avec lui… C’est pourquoi réjouissez-vous, cieux, et vous qui habitez dans les cieux. Malheur à la terre et à la mer! car le diable est descendu vers vous, animé d’une grande colère, sachant qu’il a peu de temps. (Apoc 9:9-12)

Notre correspondant en Roumanie nous fait parvenir l’information qu’un parc d’attraction pour enfants à Bucarest, est “gardé” par trois statues du diable. Qu’on ne s’abuse, le satanisme est réel dans toutes les capitales. Ce n’est qu’un parc d’attraction, mais cela soulève des questions sur nos valeurs.


Parc pour enfant en Roumanie payé par l’UE

Le journal roumain ActiveNews1 commente le sujet ainsi:

Le message véhiculé aux enfants est le suivant :

Sentez-vous bien, le diable est avec les enfants dans le parc!

Le parc de Tei a été construit sur des fonds européens, ses statues diaboliques modernes à la figure du style des albums de Hard Rock, sont immenses. La figure du centre tonne comme un maître des légions démoniaques.

Pendant la saison d’Halloween, les amateurs de satanisme apprécieront aussi une maison d’enfants érigée de décorations dignes d’un musée d’horreur.

On a plus l’impression d’entrer dans un temple satanique que dans un lieu de divertissement. Il est difficile de comprendre qui pourrait profiter d’un espace aussi « nauséabond » et d’y passer un court instant.

La brigade de police roumaine qui s’occupe de sectes sataniques a été dissoute, il y a quelques années – je l’ai appris de source policière. Des débuts de sacrifices humains ou d’animaux étaient déjà d’actualité. Mais c’est une première que de voir le satanisme mis en scène par le biais de divertissements ou de spectacles, comme ce fut le cas en Suisse lors de l’inauguration d’un grand tunnel du mont St Gothar2, avec la participation de dirigeants politiques, ce qui donne l’impression que nous assistons à la transformation d’un satanisme sectaire en un mouvement attrayant le grand public.

 

Eglise de Satan avec des enfants aux USA

« La tromperie majeure du diable
est d’induire l’idée qu’il n’existe pas »,

Ioan Capsali,

Écrit l’auteur.

Si nous regardons les images, il s’agit en fait de la représentation de Baphomet, nom qui, pour la première fois, renvoie aux processus templiers au début du XIVe siècle. Les francs-maçons ont un rituel dans lequel ils adorent Baphomet, cette situation attira la colère du Vatican.

En 1966, officiellement, l’église de Satan a été créée, dans laquelle Baphomet est le Tout-Puissant, flatté et révéré par tous les membres de l’ordre.


 

Le blog cherche à faire réagir de lecteurs :

Cher lecteur, si vous avez aimé cet article, s’il vous plaît faites quelque chose :

1) C’est horrible. Cela fait vraiment peur, je ne suis pas croyant, mais l’adoration d’un dieu du fleuve me dégoûte.

2) Je suis une chrétienne fidèle et une telle réalisation est une publique. Qui a autorisé de telles monstruosités à être montées dans des lieux publics?! C’est ma faute… Zut.

3) C’est une gifle adressée au christianisme, à tout ce qui est bon, ou tout ce qui vise aux valeurs humaines.

4) Demain, demain, si rien n’est fait, nous pouvons attendre que le satanisme rentre à l’école obligatoire, comme aux USA, en tant que divertissement. Réveillez vous, bonnes gens, ayez une attitude convenable …

5) Maintenant Églises ! pourquoi ne contestez-vous pas? Pourquoi ne pas reconnaître ce dommage et exiger la représentation d’un ange ou archange pouvant protéger les enfants.

  • 1 tinyurl.com/qne758r : ActiveNews est un site éditorial indépendant fixant lui-même ses priorités et sa stratégie. « Nous avons remporté de nombreuses batailles, visibles et invisibles, mais le pays a besoin de plus que notre survie. Notre pays a besoin d’un journalisme sain, écrit dans le respect des valeurs que nous avons reçues de nos ancêtres. Notre pays a besoin de courage pour dénoncer l’imposture et la trahison.»

  • 2 Ce spectacle a été particulièrement bien analysé par un pasteur africain, connaissant les pratiques de sorcellerie africaines. Voir l’émission JesusChristTv sur youtube 1aLaVoOFYvo

Karl MARX: un sataniste? de Richard WURMBRAND (6/7) De Marx au marxiste de la base

De Marx au marxiste de la base

D’ordinaire les communistes fondent des organisations déguisées. Tous les indices précités montrent que, selon toute probabilité, les mouvements communistes eux-mêmes sont des organisations déguisées d’un satanisme occulte. Cela expliquerait aussi que toutes les armes politiques, économiques, culturelles et militaires employées pour réduire le communisme se soient jusqu’ici avérées inefficaces. Les moyens de combattre le satanisme sont spirituels et non d’ordre matériel. Autrement, en écrasant une organisation comme le nazisme par exemple, on contribue du même coup à la plus grande victoire d’une autre organisation de choc de cette même famille occulte de Satan !

Himmler, ministre de l’Intérieur de l’Allemagne nazie, pensait qu’il était une réincarnation du Roi Henri l’Oiseleur. Il croyait possible de mettre les puissances occultes au service de l’armée nazie. Plusieurs des chefs nazis, en effet, trempaient dans la magie noire.

Des fondateurs aussi bien du communisme que du nazisme moderne ont été en relation avec des créatures surnaturelles douées d’intelligence, avec des anges déchus dépourvus de tout principe moral. Marx a reçu de leur part la mission avouée « de mettre par terre toute religion et toute morale ».

Toutefois le simple marxiste de la base est loin d’être animé du même esprit que Marx. Il aime l’humanité et croit s’être enrôlé dans une armée qui combat pour le bien de cette dernière. Il n’a nullement l’intention d’être le jouet d’une étrange secte satanique. Pour un tel marxiste ces lignes pourraient être éclairantes…

Quant au marxisme satanique, il a une philosophie matérialiste qui rend ses adeptes aveugles aux réalités spirituelles. Il y a cependant plus que la matière. Il existe tout un monde de l’esprit de vérité, de beauté et des idéaux de justice… Il existe également un monde d’esprits mauvais dont le chef est Satan. Il est tombé du ciel à cause de son orgueil et il a entraîné avec lui d’abord une multitude d’anges puis le premier couple humain. Depuis la chute, son message s’est perpétué et s’est accru au moyen de tous les artifices possibles. C’est ainsi que nous voyons la somptueuse création de Dieu ravagée par des guerres mondiales, des révolutions et contre-révolutions sanglantes, des dictatures, par l’exploitation de l’homme, les racismes de toutes sortes, les fausses religions, l’agnosticisme et l’athéisme, par les crimes et les escroqueries, les infidélités dans l’amour et l’amitié, les divorces, les enfants rebelles.

L’humanité a perdu la vision de Dieu.

Et qu’est-ce qui a remplacé cette vision ? Quelque chose de supérieur ? Une Commission anglicane d’enquête sur les Sciences occultes réunie en Australie a déposé son rapport le 13 août 1975. Il en ressort que la moitié des lycéens de Sydney ont trempé dans l’occultisme et le satanisme. Dans d’autres villes d’Australie, même constatation. La moitié de la jeunesse participe à la sorcellerie et aux messes noires. La situation n’est peut-être pas aussi tragique dans d’autres pays du monde libre ; mais de toute façon l’intrusion du marxisme chez les jeunes va de pair avec celle du satanisme, même si les liens entre les deux ne sont pas toujours apparents.

Les créatures ont pu abandonner Dieu. Dieu, Lui, n’abandonne jamais ses créatures. Il a envoyé dans le monde Son Fils unique
Jésus-Christ. Amour incarné et tout de compassion, Jésus a vécu sur terre comme enfant juif pauvre, comme un modeste charpentier, et enfin comme un maître de vie. Un homme foulé aux pieds, c’est bien évident, ne peut se relever tout seul, pas plus qu’un homme en train de se noyer ne peut sortir de l’eau sans aide. C’est pourquoi Jésus, pleinement compréhensif de nos conflits intérieurs, a pris sur Lui tous nos péchés — même ceux de Marx et de ses disciples — et Il a souffert la punition du mal que nous avons fait. Il a expié nos péchés en mourant sur la croix au Golgotha après avoir subi les pires humiliations.

Il nous a dit et promis : celui qui met sa foi en Lui est pardonné et vivra éternellement avec Lui dans le paradis.

Même des marxistes notoires peuvent recevoir le salut ! Il est intéressant de signaler que deux prix Nobel soviétiques –
Pasternak et Soljenitsyne — après avoir consigné dans leurs écrits les extrémités criminelles auxquelles conduit le marxisme, ont confessé leur foi au Christ.

N’oublions pas que l’idéal de Marx était de descendre en personne aux abîmes de l’enfer et d’y entraîner avec lui l’humanité entière. Puissions-nous ne pas le suivre sur cette voie de perdition, mais bien plutôt mettre nos pas dans ceux du Christ, pour atteindre avec notre Sauveur des sommets de lumière, de sagesse, d’amour, et le ciel d’une gloire ineffable.

Karl MARX: un sataniste? de Richard WURMBRAND (7/7) Conclusion

Conclusion

Ma brochure en américain en est à sa deuxième édition, revue et augmentée. La première a donné lieu à des réactions intéressantes.  Beaucoup l’ont appréciée comme un pas en avant dans la connaissance de Marx et m’ont donné des pistes valables où je pourrai trouver d’autres matériaux de travail.

Plusieurs colonnes d’une revue hollandaise de théologie ont cherché à minimiser l’importance de cette recherche.

Bien dit l’auteur, il est fort possible que Marx ait trempé dans la magie noire, mais ceci, en définitive, importe peu. Tous les hommes, en effet, sont pécheurs ; tous les hommes ont de mauvaises pensées. Ne nous alarmons pas pour si peu.

  • Oui, certes, tous les hommes sont pécheurs, mais tous ne sont pas pour autant criminels !
  • Oui, tous les hommes sont pécheurs, mais parmi ces derniers, les uns sont criminels et les autres sont les juges rigides qui les font paraître en jugement.

Les crimes du Communisme sont sans précédent. Quel autre système politique pourrait se vanter d’avoir mis à mort 6o millions d’hommes en un demi-siècle, comme c’est le cas pour les Soviets ? (Soljenitsyne, L’Archipel du Goulag, Seuil). 6o autres millions ont été tués en Chine Rouge. Il y a des degrés dans le péché et la criminalité. Le comble du crime vient du comble d’influence satanique sur le fondateur du Communisme moderne. Les péchés du marxisme, comme ceux du nazisme, dépassent la mesure ordinaire.
Ils sont démoniaques !

J’ai reçu des lettres d’adeptes de Satan faisant l’apologie de leur religion. L’un d’eux écrit :

Pour défendre ses positions, le satanisme peut se contenter de la Bible comme évidence documentaire. Pensez à ces milliers de gens de ce monde créés à l’image de Dieu et détruits, rappelez-vous, par le feu et le soufre (Sodome et Gomorrhe) ; à la série de plaies affreuses et, pour couronner le tout, à la noyade de toute la population de la terre, à l’exception de la famille de Noé. Toutes ces dévastations n’ont elles pas été causées par un Dieu « miséricordieux », le Seigneur Jéhovah ? Qu’est ce que cela aurait été s’il se ,dut agi d’un Dieu sans pitié ?
D’autre part, dans toute la Bible, on ne voit nulle part une seule mort causée par Satan ! ! ! Donc, retenons cela en faveur de Satan !

Cet émule de Satan n’a probablement pas étudié la Bible de près. La mort, en effet, est venue dans le monde à cause de la tromperie de Satan qui a entraîné Ève au péché. Cet émule de Satan tire peut-être aussi trop vite ses conclusions, car Dieu n’a pas encore dit son dernier mot avec sa création…

Quand on le commence, tout tableau ressemble à un affreux mélange de points et de lignes de différentes couleurs et qui n’a aucun sens. Il a fallu vingt ans à Léonard de Vinci pour en faire jaillir son chef-d’oeuvre, la Joconde. Dieu aussi prend son temps pour créer. Au moment voulu, il façonne les êtres, au moment voulu il les détruit pour leur donner une nouvelle forme. La graine qui n’a ni beauté ni parfum doit d’abord mourir à son état de graine pour devenir une fleur merveilleuse et embaumée.
Les chenilles doivent disparaître pour que de la chrysalide sortent des papillons aux couleurs chatoyantes. De même Dieu permet-Il que les hommes passent par le feu purifiant de la souffrance et de la mort. Les cieux nouveaux et la terre nouvelle où la justice triomphera seront l’apothéose de la création.

Alors, ceux qui auront suivi Satan souffriront pendant une éternité de regrets. On se trompe lourdement en choisissant Satan !

Jésus a passé par la flagellation et la crucifixion. Mais qui désire connaître Dieu doit regarder au-delà de la tombe de Jésus sa résurrection et son ascension. Au contraire, les ennemis de Jésus qui ont comploté sa mort n’ont fait qu’apporter à leur peuple et à leur temple la destruction, et ils ont perdu leur âme.

Notre contestataire désirait saisir Dieu par sa raison, mais ce n’est pas le bon moyen pour une créature. On ne peut pas comprendre Dieu, mais seulement l’accueillir par le coeur dans la foi.

Un Jamaïquain me demande si l’Amérique, en train d’exploiter son pays, n’est pas adepte de Satan au même titre que Marx !
Non, elle ne l’est pas. Les Américains sont pécheurs comme tout le reste des mortels, il est vrai, mais le nom d’adeptes de Satan ne peut être donné qu’à ceux qui, consciemment, rendent au diable un culte d’adoration. Or, si l’Amérique compte un petit groupe de tels adeptes, la nation tout entière est loin d’avoir choisi Satan pour Dieu !

J’ai reçu en outre des lettres de marxistes. La plus remarquable de la plume d’un Nigérien, leader pendant vingt ans de l’union travailliste. Mes écrits l’ont aidé à voir qu’il avait été trompé par Satan. Il est devenu chrétien.

Je lance cette édition française de ma brochure avec l’espoir qu’elle pourra éclairer adeptes de Satan et marxistes dans leur recherche de Jésus.

Évidemment, il est impossible d’établir une comparaison entre Jésus et Marx. Jésus n’est pas plus grand ni meilleur : Il appartient à une catégorie totalement différente.

Marx était un homme et, vraisemblablement, un adorateur du Mauvais. Jésus, Lui, est un Dieu qui s’est anéanti jusqu’à la condition d’homme pour sauver l’humanité.

Marx a proposé un paradis terrestre. Mais quand les Soviets ont essayé de le rendre effectif, le résultat a été un véritable enfer.

Le Royaume de Jésus n’est pas de ce monde. C’est un Royaume d’amour, de justice et de vérité. Il appelle tous les hommes sans exception, y compris par conséquent les marxistes et partisans de Satan :

Venez à Moi, vous tous qui êtes chargés et fatigués et Moi je vous soulagerai » (Mt 11.28).

Croyez en Lui et vous aurez la vie éternelle dans le Paradis de son ciel.

Aucun compromis possible, par conséquent, entre le christianisme et le marxisme, de même qu’entre Dieu et le diable. Jésus est venu pour détruire les oeuvres du Mauvais (iJn 3.8). En se mettant à Sa suite, les chrétiens essaient donc de détruire le marxisme, tout en gardant tout leur amour aux marxistes individuellement et en désirant les gagner au Christ.

Certains prétendent être des chrétiens marxistes. Ils font erreur ou ils veulent tromper les autres exprès. On ne peut pas davantage être un chrétien marxiste qu’un chrétien adorateur du diable.

Il y a un abîme entre christianisme et communisme. Un pont peut être jeté entre les deux à cette seule condition que les marxistes abandonnent leur maître inspiré de Satan, qu’ils se repentent de leurs péchés et qu’ils se mettent à la suite de Jésus.

Le présent ouvrage n’a d’autre intention que de les y acheminer.

Les marxistes sont concernés par les problèmes sociaux et politiques. Il leur faut chercher des solutions en dehors des principes marxistes. D’ailleurs pour Marx le socialisme était uniquement un prétexte. Son véritable objectif était le plan diabolique d’anéantir l’humanité pour toujours. Mais le Christ veut notre bonheur éternel.

Karl MARX: un sataniste? de Richard WURMBRAND (5/7) Le catéchisme rouge

Le catéchisme rouge

Pour achever le tableau, un mot encore sur Moses Hess, l’homme qui a converti Marx et Engels à l’idée socialiste. Il y a en Israël une tombe sur laquelle on peut lire :

Moses Hess, fondateur du parti social-démocrate allemand.

Dans son Catéchisme rouge pour le peuple allemand (Catéchismes politiques édités par K. M. Michel, Insel Publ. Allemagne 1966), il écrivait :

Qu’est-ce qui est noir ? – Noir est le clergé ! … Ces théologiens sont les pires des aristocrates. Le prêtre, en effet, enseigne premièrement aux princes à opprimer le peuple au nom de Dieu ; deuxièmement, il apprend au peuple à se laisser brimer et exploiter au nom de Dieu. Troisièmement enfin, et surtout, il se procure à lui-même, avec l’idée de Dieu, une vie confortable sur terre, tout en conseillant au peuple d’attendre le ciel…

Le drapeau rouge est le symbole de la révolution permanente jusqu’à la victoire définitive des classes laborieuses dans tous les pays civilisés, autrement dit, la République Rouge… La révolution socialiste est ma religion… Les travailleurs, quand ils auront conquis un pays, devront aller aider leurs frères dans le reste du monde.

Telle était la religion de Hess au moment où il publiait son Catéchisme. Mais, dans sa seconde édition, il y ajoute quelques chapitres cette fois, la même religion — la révolution socialiste — emploie un langage chrétien pour avoir crédit auprès des croyants. On y trouve, en même temps qu’une propagande en faveur de la révolution, quelques mots aimables en faveur du christianisme, religion d’amour et d’humanisme. Mais il convient de rendre son message plus clair : son enfer ne doit pas être sur terre ni son ciel au-delà. La société socialiste sera l’accomplissement véritable du christianisme. C’est ainsi que Satan se déguise en ange de lumière.

Après avoir convaincu Marx et Engels de l’idéal socialiste en ne cachant pas, dès le départ, que son but était de

donner le coup de grâce à la religion du Moyen Âge

— son ami Jung le dit plutôt clairement :

Marx réussira sûrement à chasser Dieu de son ciel

– il se produisit un événement intéressant dans la vie de Hess. Cet homme qui avait fondé le socialisme moderne devint également le promoteur d’un mouvement totalement différent une forme particulière de sionisme.

Personnellement, je suis partisan du sionisme. L’État d’Israël appartient aux juifs de droit divin. Dieu, créateur de la terre, a dit et répété par les prophètes qu’il avait donné la terre de Palestine aux Juifs. Mais cela ne veut pas dire pour autant que je souscrive indistinctement à tout ce que les sionistes ont pu penser.

De même, je suis chrétien, mais cela ne veut pas non plus dire pour autant que j’approuve tout ce qu’enseignent et font les chrétiens. Ce serait d’ailleurs impossible, car les chrétiens sont divisés entre eux et professent des choses contradictoires. Il en va de même en ce qui concerne les sionistes, il en existe plus d’une sorte : il y a un sionisme socialiste, un sionisme judaïque religieux et un sionisme de chrétiens juifs, un sionisme pacifique et un autre, agressif. Il y a même un sionisme meurtrier et terroriste — celui du groupe Stem, par exemple, qui a causé la mort de bien des innocents.

Et au sein du christianisme, il y a ce qui vient de Dieu, ce que les hommes y ont ajouté, mais il y a également l’influence du diable. Jésus lui-même n’a-t-Il pas dit à l’un de ses apôtres qu’il était un démon ?

Le sionisme est, lui aussi, un mélange. Tout en étant l’accomplissement d’un plan divin, c’est en même temps un mouvement humain — avec tous les risques que comportent faiblesses et péchés. Il y a eu même une tentative d’instaurer un type de sionisme satanique qui, fort heureusement, a avorté. En effet Herzl a donné au sionisme une tournure raisonnable et dans sa forme moderne il n’y subsiste aucune trace de satanisme.

Hess, le fondateur du socialisme moderne dont le but, nous venons de le rappeler, est de chasser Dieu de son ciel, a été, à son heure, promoteur d’un type diabolique de sionisme destiné à démolir le pieux sionisme, celui de l’amour, de l’entente et de la concorde avec les pays voisins.

Cet homme qui avait appris à Marx l’importance de la lutte des classes, écrivait en 1862 ces mots — qui nous étonnent sous sa plume :

La lutte des races est prioritaire ; celle des classes ne vient qu’en second (M. Hess, Rome and Jerusalem, Philosophical Library, New York).

C’est lui qui, pour la lutte des classes, attisa un feu inextinguible au lieu de montrer aux classes sociales comment coopérer au bien commun.

C’est donc ainsi que ce même Hess devint l’instigateur d’une déviation du sionisme — sionisme à caractère racial, imposant la lutte contre ceux qui ne sont pas de race juive. De même que nous rejetons le marxisme satanique, de même tout juif ou chrétien qui se respecte doit-il écarter cette contrefaçon démoniaque du sionisme.

Hess revendique bien Jérusalem pour les Juifs, mais « sans Jésus, le Roi des juifs ». On n’a que faire de Jésus !

Tout Juif, en effet, ne porte-t-il pas en lui l’étoffe d’un messie et toute Juive, celle d’une Mater Dolorosa ?

Pourquoi, dès lors, n’a-t-il pas fait du Juif qu’était Marx un messie, un oint de Dieu au lieu d’un être entièrement tendu dans son effort plein de haine pour expulser Dieu du ciel ? Pour Hess, Jésus est un Juif que les païens ont déifié comme leur Sauveur.
Ni lui ni les Juifs ne semblent avoir besoin de Lui comme Sauveur personnel.

Il ne souhaite pas être sauvé et prétend que la recherche individuelle de la sainteté est de nature indo-germanique. L’idéal des
Juifs, selon lui, doit être un « état messianique » pour rendre le monde conforme au plan divin, ce qui équivaut – comme il le reconnaît d’ailleurs lui-même dans son Catéchisme Rouge — à faire la révolution socialiste en se servant pour cela de la lutte raciale et de la lutte des classes.

Moses Hess, qui assignait à Marx, son idole, la tâche de mettre un terme à la religion du Moyen Âge et de lui substituer la religion de la révolution socialiste, écrit ces mots qui de sa part sont assez surprenants :

J’ai toujours été édifié par les prières hébraïques.

Quelles prières disent donc ceux qui considèrent la religion comme l’opium du peuple ? Nous avons déjà vu que le fondateur de l’athéisme priait devant des cierges allumés et qu’il portait des phylactères. C’est que les prières juives, à l’instar des prières chrétiennes, peuvent être utilisées à des fins blasphématoires dans le rituel de Satan.

Hess avait inculqué à Marx un socialisme indissolublement lié à l’internationalisme. Et Marx note bien dans son Manifeste communiste que le prolétariat ne connaît pas de frontières. Quant à Hess, dans son Catéchisme rouge, il ne manque pas de railler le chauvinisme des Allemands.

Il en aurait d’ailleurs fait autant avec la notion de patrie de n’importe quelle autre nation d’Europe. Il critiquait le programme d’Erfurt du Parti social-démocrate allemand à cause de sa reconnaissance inconditionnelle du principe national. Mais c’est un internationaliste d’exception, car pour lui le patriotisme juif doit demeurer. Il écrit :

Celui qui renie le nationalisme juif est un apostat, un renégat – au sens religieux – c’est aussi un traître à son peuple et à sa famille. S’il devait être établi que l’émancipation des Juifs est incompatible avec le nationalisme juif, les Juifs devraient sans la moindre hésitation sacrifier leur émancipation.

… Les Juifs doivent, avant tout, être patriotes.

Pour ma part je suis d’accord avec les idées patriotiques de Hess dans la mesure où elles sont valables pour tous. Je suis partisan en effet de tout patriotisme, qu’il s’agisse des Juifs, des Arabes, des Allemands, des Français, des Américains. C’est une vertu s’il implique la préoccupation d’assurer le bonheur d’une nation au niveau économique, politique, spirituel et religieux, à condition bien entendu que ce soit dans l’amitié et la coopération avec d’autres nations.

En revanche le patriotisme juif du socialiste révolutionnaire qui rejette celui de tous les autres pays me paraît extrêmement suspect : c’est comme un plan diabolique pour faire haïr les Juifs de tous les autres peuples. Mais fort heureusement aucun Juif à ma connaissance n’a accepté ce plan de Satan.

La lutte raciale dont Hess s’est fait le protagoniste est aussi erronée que la lutte des classes dont il a été l’instigateur.

Il n’abandonna pas le socialisme pour s’orienter vers cette forme particulière de sionisme, mais, après avoir écrit Rome et Jérusalem il poursuivit son activité au sein du mouvement socialiste mondial.

Il n’exprime pas clairement ses pensées, aussi est-il malaisé de les comprendre. Qu’il nous suffise de savoir que, d’après lui, « le monde chrétien voit en Jésus un saint Juif devenu païen. Nous autres aujourd’hui, prétend-il dans ce livre, nous aspirons à un salut beaucoup plus large que celui que le christianisme a jamais été capable de nous offrir ».
Rappelons que, d’après le Catéchisme Rouge, ce salut beaucoup plus large n’est autre que la révolution socialiste.

Nous pourrions ajouter que Hess n’a pas été seulement la source originelle du marxisme et celui qui a tenté de créer un sionisme anti-Dieu, mais qu’il a été également le père de la théologie de la Révolution, thème d’actualité pour le Conseil
Mondial des Églises et aussi pour certaines tendances nouvelles du catholicisme selon lesquelles il est question d’un salut dès aujourd’hui. Par conséquent ce même et unique homme, demeuré presque inconnu, a été le porte-parole de trois mouvements d’origine satanique : le communisme, un détestable sionisme raciste et une prétendue théologie de la révolution.

Nul ne saurait être chrétien s’il n’aime les Juifs. Jésus était de race juive ; de même la Vierge Marie et tous les apôtres. Notre Bible est hébraïque et le Seigneur lui-même a déclaré : « Le salut vient des Juifs. » Au contraire Hess exalte les Juifs exactement comme s’il cherchait à susciter une violente réaction antisémite. Il a affirmé que sa religion n’était que la révolution socialiste et que le clergé de toutes les « autres » religions était fait d’escrocs. Oui, la révolution est bien l’unique religion pour laquelle Hess professe un grand respect. Il écrit :

Notre religion (le judaïsme) possède à son point de départ l’enthousiasme d’une race qui, dès son apparition sur la scène de l’histoire, a prévu l’objectif final de l’humanité et qui pressent les temps messianiques où l’esprit de cette humanité arrive à son accomplissement, non pas en tel ou tel individu en particulier, ni en partie seulement, mais dans les Institutions sociales de l’humanité tout entière.

(Toutes les citations qui précèdent sont tirées des Œuvres choisies de Moses Hess, Berchtel édit., Allemagne).

Ce temps que Hess programme « messianique » est celui de la victoire de la révolution socialiste mondiale. L’idée d’après laquelle la religion juive avait comme point de départ le concept d’une révolution socialiste athée n’est qu’une vilaine plaisanterie et une véritable insulte au peuple juif.

Tout en s’exprimant continuellement en termes religieux, Hess ne croit pas en Dieu. Il prétend que

notre dieu n’est autre que notre race humaine unie dans l’amour.

La voie qui mène à une telle union est la révolution socialiste où des dizaines de millions de membres de cette humanité bien- aimée seront torturés et mis à mort. Il ne cache pas, par ailleurs, qu’il n’accepte aucune domination du ciel ni des puissances de ce monde, car elles ont pour caractère commun l’oppression. Il n’y a de bien dans aucune religion excepté dans la révolution socialiste.

Il est absolument vain et inefficace d’élever le peuple jusqu’à la liberté authentique et de le faire participer aux biens de la vie, dit-il, si on ne le libère pas de l’esclavage spirituel, autrement dit, de la religion.

Dans la même ligne, il fait allusion à

l’absolutisme des tyrans célestes et terrestres sur leurs esclaves.

Ce n’est qu’en comprenant bien Moses Hess — celui, qui influença à la fois Marx, Engels et Bakounine, les trois fondateurs de la Première Internationale (D. Mc Lellan, Marx before Marxism, Mc Millan), que nous serons à même de découvrir les racines sataniques du communisme.

Cette longue digression au sujet de Hess s’avérait donc nécessaire, car si on ne le connaît pas, Marx demeure impénétrable puisqu’il a été entraîné par lui au socialisme.

Répétons ici les paroles de Marx déjà citées plus haut :

J’enseigne des mots enchevêtrés dans un embrouillamini diabolique, ainsi chacun peut croire vrai ce qu’il choisit de penser.

C’est bien ainsi, effectivement, le style de Marx. Quant aux ouvrages de Hess, c’est un embrouillamini encore plus inextricable et diabolique, véritable labyrinthe où il est difficile de retrouver son chemin, mais qu’il convient d’analyser pour déceler les liens possibles de Marx avec le satanisme.

Le premier livre de Hess s’intitule : Histoire sainte de l’humanité. C’était, selon lui, un ouvrage du Saint-Esprit de vérité.
Au jour du lancement, il notait dans son journal (folio loi) :

Le Fils de Dieu a libéré les hommes de leur esclavage personnel, Hess, à son tour, les libérera de l’asservissement politique.

Et encore :

Je suis appelé comme Jean-Baptiste à témoigner de la lumière.

À cette époque, Marx, encore opposé au socialisme, ne connaissait pas Hess personnellement et il commença même un livre pour le réfuter. Mais, pour des raisons qui nous échappent, ce livre ne fut jamais achevé (MARX-ENGEIS, Oeuvres complètes, Moscou, 1927-1935, Vol. 1). Il devint par la suite disciple de Hess.

Qui donc est ce Hess, ce soi-disant messager de l’Esprit Saint ? Nous avons déjà vu que son but avoué était de donner le coup de grâce à la religion et de causer des ravages. Dans l’introduction à son ouvrage Jugement dernier, il ne cache pas sa satisfaction de ce que le philosophe allemand Kant ait, prétend-il,

décapité le vieux Père Jéhovah ainsi que toute la sainte famille.

Hess fait passer ses propres idées sous le couvert du grand philosophe. Mais Kant n’avait pas de telles intentions ! Il a écrit, au contraire :

Je dois limiter ma connaissance pour laisser du terrain à ma foi.

Hess affirme que la religion juive est morte ainsi que la religion chrétienne (La Revue n° 1, p. 288), ce qui d’ailleurs ne l’empêche pas dans Rome et Jérusalem d’évoquer nos Saintes Écritures, le saint langage de nos pères, notre culte et la loi divine, les voies de la Providence et la vie de sainteté…

Ce n’est pas qu’il ait changé d’opinion aux divers stades de sa vie. Il a déclaré lui-même en écrivant son livre pseudosioniste qu’il ne désavoue en rien ses essais athées antérieurs (Nieder-rheinische Volks-Zeitung du 15-7-1862). Il s’agit là d’un embrouillamini diabolique volontaire.

Hess était juif et précurseur du sionisme. Et c’est précisément parce qu’avec Marx et d’autres, il était de race juive que certains pensent que le communisme est tramé par les Juifs. Mais ceux-là semblent oublier que Marx a écrit un livre antisémite, en disciple de son maître Hess même sur ce point. Ce sioniste qui élève le judaïsme jusqu’aux nues a dit dans son ouvrage sur le système monétaire (Rheinische Jarbiicher, Vol. 1, 18-45)

Les Juifs qui, dans l’histoire naturelle et dans le monde de la société animale, avaient mission de développer l’humanité pour en faire un animal sauvage, se sont bien acquittés de cette tâche professionnelle. Le mystère du judaïsme et du christianisme a été révélé dans le judéo-chrétien moderne : le mystère du sang du Christ tel celui de l’antique culte juif du sang — apparaît ainsi dévoilé, et c’est le mystère de l’animal de proie.

Peu importe si le sens de ces paroles demeure obscur pour vous : elles ont été « enchevêtrées dans un embrouillamini diabolique », mais toute la haine qu’elles renferment n’est que trop évidente. Pour les besoins de la cause Hess est tour à tour juif ou antisémite, selon l’esprit qu’il qualifie de saint et qui est l’inspirateur de ses écrits.

Il est possible que Hitler ait puisé son racisme chez Hess qui avait appris à Marx que l’appartenance à une classe sociale est le facteur décisif et qui affirmait aussi tout le contraire :

La vie est le produit immédiat de la race (Rome et Jérusalem). Les institutions et conceptions tant sociales que religieuses sont des créations spécifiques et originales de la race.

Le problème racial est en filigrane dans tous les problèmes de nationalités et de liberté. Toute l’histoire du passé a été une lutte entre classes et races. La lutte raciale vient en premier lieu, celle des classes, en second (ibidem).

Comment Hess réussira-t-il à faire triompher toutes ses idées nombreuses et contradictoires ?

Je passerai au fil de l’épée tous les citoyens qui opposeront résistance aux efforts du prolétariat » (Lettre à Lassalle, Correspondance de Moses Hess, éd. Gravenhage, 1959).

Marx nous dit la même chose en d’autres termes :

La violence est la sage-femme qui aide la nouvelle société à naître des entrailles de l’ancienne » (Le Capital).

Le tout premier maître de Marx fut le philosophe Hegel qui ne fit que frayer la route à Hess. Marx avait aussi pris de la graine chez Hegel. Pour ce penseur, le christianisme était pitoyable comparé au glorieux hellénisme.

Les chrétiens ont accumulé un tel monceau de bonnes raisons pour se réconforter dans le malheur qu’en définitive nous devrions être navrés de ne pas avoir la possibilité de perdre père ou mère une fois par semaine, alors que pour les Grecs le malheur était vraiment malheur et la douleur, douleur (Citations de Mc Lellan, cf. ci-dessus).

Le christianisme n’avait pas attendu Hegel pour être raillé en Allemagne, mais Hegel a été le premier à se moquer de la
Personne même de Jésus.

Nous sommes ce que la nourriture que nous prenons nous fait devenir. Marx, nourri d’idées sataniques, n’a pu que fabriquer une doctrine satanique.

Karl MARX: un sataniste? de Richard WURMBRAND (4/7) Sous le masque de l’athéisme

Sous le masque de l’athéisme

J’écris tout ceci au hasard de mes découvertes. Les penseurs chrétiens, comme d’ailleurs tout être humain, succombent souvent
à la tentation de prouver mordicus quelque idée préconçue. Ils ne se contentent généralement pas en ce cas de présenter la vérité qu’ils connaissent ils ont tendance à multiplier à outrance les arguments en faveur de la thèse qu’ils soutiennent.

En ce qui me concerne personnellement, je ne prétends pas apporter la preuve irréfutable de l’appartenance de Marx à une secte d’adorateurs de Satan, mais je crois qu’il y a suffisamment d’indices pour le laisser supposer. Ou, du moins, pour déceler une influence certaine du démon sur sa vie et sa doctrine, tout en admettant bien qu’il manque encore des anneaux à la chaîne d’éléments qui permettraient de vérifier l’hypothèse. J’ai ouvert le feu : à d’autres, maintenant, de poursuivre cette enquête importante sur la relation entre marxisme et satanisme.

Je ne puis moi-même entreprendre ce travail, en premier lieu surtout parce que mon temps est pris au sein de l’organisation
Action chrétienne pour l’Église du Silence dont le but est de venir en aide aux victimes innocentes de la persécution satanique sous domination communiste. En second lieu, je ne suis pas le saint qu’il faudrait pour creuser davantage un tel sujet.
Je me suis contenté de pénétrer aussi avant que j’ai pu dans les arcanes du culte diabolique.

Au cours de la cérémonie d’initiation au troisième degré il faut faire le serment suivant :

En tout et pour tout je ne ferai jamais que ce qui me plaît.

C’est là refuser sciemment le commandement de Dieu :

« Ne suivez plus les désirs de vos coeurs et de vos yeux qui vous ont conduits vous prostituer » (No .15.39).

Le culte de Satan est très ancien, plus vieux que le christianisme. Peut-être le prophète Isaïe y faisait allusion quand il disait :

« Tous comme des brebis nous étions errants, chacun suivant son propre chemin et Yahvé a fait retomber sur Lui (le Sauveur) les crimes de nous tous  » (Es 53.6).

Lorsqu’un homme ou une femme sont admis au septième degré, ils jurent que leur ligne de conduite sera :

Rien n’est vrai, tout est permis.

Cela m’a rappelé que Marx, remplissant un questionnaire pour sa fille, répondait à la question « Quel est votre principe favori ? » par ces mots :

Le doute en toutes choses.

Je me suis également souvenu de ce qu’il écrivait dans le Manifeste communiste, à savoir que son but était d’abolir non seulement toute religion, mais aussi toute morale, ce qui rendrait tout permis.

Lors des événements de mai 68, j’ai été bouleversé en lisant sur un placard, à l’Université de Paris, le mystère même du septième degré du satanisme synthétisé dans cette formule lapidaire :

Il est interdit d’interdire

conséquence logique du

rien n’est vrai, tout est permis

Les jeunes n’ont certainement pas réalisé tout le ridicule de cette affirmation ! En effet, s’il est « interdit d’interdire », l’est tout autant le fait même d’interdire cela ! Si « tout est permis », comment serait-il défendu d’interdire ? Pour ces étudiants, permissivité et liberté allaient de pair. Mais les marxistes vont plus loin. Pour eux « tout est permis » équivaut à dire qu’il est interdit d’interdire la vieille et cruelle dictature du modèle Chine Rouge et Union Soviétique.

Je suis moi-même porté par nature à dominer. En étudiant les grands personnages de l’histoire qui ont choisi de se livrer totalement à l’influence tyrannique de Satan, j’ai senti ces tendances mauvaises se développer en moi. Aussi plutôt que de mettre en danger le joyau le plus précieux qui m’appartienne, mon âme, j’ai pris la décision de ne pas pousser plus avant mes investigations, même si leur but, hautement moral, est de mettre en lumière les ressorts du Mal.

Satan est un archange déchu, mais il a gardé son intelligence d’archange. Nous autres, hommes, nous ne pouvons pas nous mesurer avec lui, et j’ai compris ce conseil de sagesse donné par une Prieure de Carmélites :

Envoyez donc le diable… au diable, au lieu de chercher à pénétrer ses secrets !

J’ai eu véritablement la nausée à la découverte des arcanes immondes du satanisme, et j’ai laissé tomber toute recherche en ce sens. J’ai pensé aux paroles de Douglas Hunt dans son livre Researches in the sphere of the occult :

Il faut absolument mettre tout le monde en garde contre quelque participation que ce soit à la magie noire vraie ou fausse. Ne touchez pas à ces choses et évitez comme la peste tous ceux qui y sont engagés. Même si tout est truqué — comme c’est souvent le cas — ce sont cependant des choses rebutantes et bestiales, quand bien même le caractère en est parfois puéril. Cela ne mène qu’à la dégradation et à la décomposition de l’âme. Quand il s’agit de pouvoirs réels (comme, je le note, pour le marxisme) les conséquences n’en sont pas moins terriblement funestes pour les participants.

Le communisme est une possession démoniaque collective. Soljenitsyne dans L’Archipel du Goulag nous donne précisément une idée de ces résultats désastreux pour l’âme et la vie des êtres.

J’ai bien conscience que les arguments que j’apporte ici sont des preuves indirectes. Encore une foi, le problème devra être
étudié plus à fond par quelqu’un d’autre. Mais ce que j’ai écrit suffit à démontrer, me semble-t-il, que ce que les marxistes disent de Marx n’est qu’un simple mythe. Il n’était pas frappé de la pauvreté du prolétariat pour qui la révolution était la seule solution, il n’aimait pas les prolétaires qu’il appelait des « cinglés ».

Il n’aimait pas non plus ses camarades de combat pour le communisme.

Il appelait Freiligrath « le cochon », Lassalle « le juif nègre », le camarade Liebknecht « la vache » et Bakounine « un triple zéro ».

Un militant de la Révolution de 1848, le lieutenant Tchechov, qui passait à boire avec Marx des nuits entières, disait que son ambition personnelle avait fait disparaître en lui jusqu’au dernier vestige de bien.

Et enfin il n’aimait pas davantage l’humanité. Mazzini, qui le connaissait bien, déclarait :

Il a l’esprit destructeur et son coeur déborde plus de haine que d’amour pour les hommes (Toutes ces citations sont tirées de Karl Marx, par Fritz Raddatz, édité par la Maison Hoffman &amp ; Campe, Allemagne, 1975).

À ma connaissance, aucun témoignage de la part de ses contemporains ne contredit ce qui précède. « Marx, l’homme plein d’amour pour l’humanité », n’est qu’un mythe élaboré seulement après sa mort.

Il ne détestait pas la religion parce qu’elle fait obstacle au bonheur des hommes ; il souhaitait au contraire rendre l’humanité malheureuse pour le temps et pour l’éternité. Il proclamait que c’était là son idéal. Son vrai but était la destruction de la religion. Le socialisme, le souci du prolétariat, l’humanisme sont autant de prétextes fallacieux.

Venant de lire L’origine des espèces par voie de sélection naturelle de Darwin, il prend la plume pour écrire Lassalle une lettre dans laquelle il exulte parce que Dieu — du moins dans les sciences naturelles — avait reçu « le coup de grâce. » (Charles Darwin and Thomas Huxley, par G. de Beer, Oxford University Press, 1974). Qu’est-ce donc qui en réalité prédominait dans son esprit ? Le souci de secourir le prolétariat dans la misère ? Comment la théorie de Darwin pouvait- elle y contribuer en bien ou en mal ? Son but primordial n’était-il pas plutôt de démolir la religion ?

Le bien des travailleurs n’était qu’un prétexte.

Partout où les prolétaires ne luttent pas pour leur idéal socialiste, les marxistes exploiteront les différences raciales ou les conflits de générations. L’important pour eux, c’est que la religion soit détruite.

Marx croyait à l’enfer et son programme consistait à y acheminer les hommes. Il serait intéressant sur ce point de noter dans sa biographie que Boukharine — secrétaire général de l’Internationale communiste et l’un des principaux doctrinaires marxistes du siècle — avait eu, dès l’âge de douze ans, après une lecture de l’Apocalypse, un désir irrésistible de devenir l’Antichrist. Ayant réalisé que d’après l’Écriture ce dernier devait être le fils de la grande prostituée apocalyptique, il insistait auprès de sa mère pour qu’elle lui avoue s’être livrée à la prostitution (Georges Katkov, The trial of Bukharin, Stein and Day, N. Y. 1969).

Ce même Boukharine, qui s’y connaissait en la matière, disait de Staline que

« ce n’était pas un homme, mais un démon».

Précisément le premier pseudonyme choisi par Staline dans ses écrits était Demonoshvili — ce qui est à peu près l’équivalent de l’émule du démon en géorgien (Grani N° 9o-4) et Besoshvili — le démoniaque (A. Avtorhanov — The provenience of Partocraty Posev, Allemagne)

Mao déclare :

Dès l’âge de huit ans, j’ai haï Confucius. Il avait son temple dans notre village et de tout mon coeur je ne désirais qu’une chose, sa destruction de fond en comble (Mao Tsé Toung par M. Zach, Berchtel édit. Allemagne).

Avez-vous souvent rencontré un enfant de cet âge ne désirant ainsi pas autre chose que l’anéantissement de sa propre religion ?
Des pensées de ce genre ne peuvent venir que d’êtres possédés du démon.

Soljenitsyne, également dans L’Archipel du Goulag, raconte que Yagoda, ministre des Affaires intérieures en Union Soviétique, avait comme occupation favorite de tirer sur des images de Jésus et des saints. Encore un rite satanique pratiqué dans les hauts degrés de la hiérarchie communiste. Comment explique-t-on que les hommes représentant le prolétariat aient pris pour cible l’image de Jésus, un ouvrier, ou celle de la Vierge Marie, une femme du peuple ?

Des Pentecôtistes relatent un cas survenu en Russie au cours de la Seconde Guerre mondiale. Un de leurs prédicateurs avait exorcisé un démon. Ce dernier, avant de quitter le possédé, menaça de se venger. Or le prédicateur pentecôtiste en question fut fusillé pour la foi. L’officier qui l’exécuta dit auparavant :

Et maintenant, nous voilà quittes !

… Des agents du communisme sont-ils donc parfois possédés du démon et servent-ils alors d’instruments de vengeance sur les chrétiens qui, eux, font tout pour renverser Satan de son trône ?

En Russie, le docteur Profirevitch avait une fille qu’il avait élevée dans la foi, mais elle dut fréquenter les écoles communistes. À 12 ans, elle revint chez elle et déclara à ses parents :

« La religion est une superstition des capitalistes. C’est complètement dépassé à notre époque !»

Elle abandonna tout à fait le christianisme et s’engagea plus tard dans le Parti communiste où elle devint agente de la police secrète. Pour les parents, le choc fut terrible.

Dans la suite, on vint arrêter sa mère. C’est que, dans le communisme, personne ne possède rien en propre, pas même ses enfants, ni sa femme, ni sa liberté. L’État peut les prendre s’il le désire.

À l’arrestation de sa mère, le fils pleura beaucoup. Un an après, il se pendait. Le docteur Profirevitch trouva une lettre à son adresse :

Père, me condamnerez-vous ? Je suis membre de l’organisation de la Jeunesse communiste. J’ai dû signer que je rapporterais tout ce qui serait contre les autorités soviétiques. Un jour j’ai été convoqué par la police et ma sœur Varia me demanda de signer une dénonciation contre ma mère parce qu’elle était chrétienne. Elle était considérée comme contre-révolutionnaire. Je signai… Je suis coupable de son emprisonnement. On m’ordonne maintenant de vous épier… Cela aboutirait au même résultat. Pardonnez-moi, Père, mais j’ai pris la décision de me supprimer. »

Le suicide du fils eut pour conséquence l’incarcération du père (Russkaia Misl, Paris, 13 mars 1975).

Au cours d’une grève organisée par les communistes français en 1974, les ouvriers étaient invités à défiler dans les rues de Paris en scandant ce slogan :

Giscard d’Estaing est foutu, Les démons sont dans la rue !

  • Pourquoi nommément « les démons », plutôt que « les travailleurs » ou « le peuple » ?
  • Pourquoi cette évocation des puissances sataniques ?
  • Qu’ont-elles affaire avec les revendications légitimes de la classe ouvrière pour des salaires plus élevés ?

Je puis comprendre à la rigueur que des communistes aient arrêté des prêtres et des pasteurs sous prétexte qu’ils étaient contre-révolutionnaires. Mais comment expliquer que des prêtres aient été forcés par des marxistes à dire la messe sur des excréments et de l’urine dans les prisons roumaines de Piteshti ? Pourquoi des moqueries obscènes sur la religion ? (I Cirja Retour de l’Enfer et D. Bacu : Piteshti). Pourquoi le prêtre orthodoxe roumain Roman Braga (son adresse actuelle est : Romanian Orthodox Bishopric, Jacksonville, Michigan, U.S.A), quand il était prisonnier des communistes, s’est-il vu briser les dents une à une à coups de barre de fer pour l’obliger à blasphémer ? Les communistes avaient expliqué — à lui et aux autres :

Si nous vous tuons, vous autres chrétiens, vous irez au ciel.
Mais nous ne voulons pas que vous receviez la palme du martyre !
Il faut que vous maudissiez Dieu et que vous alliez en enfer !

Les marxistes sont soi-disant des athées qui ne croient ni en dieu ni au diable. Dans ces cas extrêmes, le marxisme a simplement ôté son masque d’athéisme pour montrer son vrai visage, celui de Satan.

La persécution de la religion par les communistes peut s’expliquer humainement, mais la fureur dont elle s’accompagne au-delà de toute raison est, selon toute évidence, d’origine satanique.

Vetchernaia Moskva, journal communiste, a vendu la mèche :

Nous ne combattons pas directement les croyants, ni même les prêtres.
Nous luttons contre Dieu pour lui arracher ses fidèles
(Cité par le prêtre Dudko dans « 0 nachem oupavaü », YMCA Press, Paris).

Le journal soviétique Sovietskaia Molodioj du 14 février 1976 raconte comment sous le régime du tsar les communistes russes entraient dans les églises pour se moquer de Dieu. Voici leur « Notre Père » blasphématoire et satanique :

Notre Père qui êtes à Pétersbourg
Que votre nom soit maudit,
Que votre règne s’effondre,
Que votre volonté ne soit pas accomplie, pas mêmeen enfer.
Donnez-nous notre pain que vous nous avez volé,
Et payez nos dettes, comme nous avons payé les vôtres jusqu’à maintenant.
Et ne nous induisez plus en tentation,
Mais délivrez-nous du mal, la police de Plehve
(le Premier ministre du tsar),
Et anéantissez son maudit gouvernement.
Mais comme vous êtes faible et pauvre en esprit, en pouvoir et en autorité,
Que c’en soit fini de vous pour l’éternité.
Amen.

Si l’on veut en savoir davantage sur les rapports du marxisme et des sciences occultes, on peut se référer à l’ouvrage de Cheila Ostrander et Lynn Chrôder Psychic discoveries behind the Iron Curtain, Englewood Cliffs, N. J., Prentice Hall, 1970. On y découvrira avec stupéfaction que les pays de l’Est communiste sont beaucoup plus avancés que ceux de l’Occident dans la recherche de toutes les forces occultes manœuvrées par Satan.

Le docteur Edouard Naumov, membre de l’Association internationale des parapsychologues, a été arrêté à Moscou.

Le physicien moscovite L. Regelsohn, juif converti au christianisme, qui prit sa défense, nous apprend le motif de son arrestation : la tentative, de la part de Naumov, de maintenir le domaine de la vie psychique libre de toute domination absolue par les forces mauvaises qui ne s’intéressaient à cette science, en fin de compte, que parce qu’elles y voyaient un nouvel instrument d’oppression de la personnalité humaine.

En Tchécoslovaquie, en Bulgarie, etc., le Parti communiste investit des sommes énormes à des recherches secrètes en métapsychique. Il en existe vingt Instituts en Union Soviétique, mais un rideau de fer hermétique empêche l’Occident d’avoir la moindre idée de ce qui s’y passe (Novoie Russkoie Slovo, 3o juillet 1975).

Quelle a été, au juste, la contribution de Marx au plan de Satan sur l’humanité ? Une contribution importante, peut-on affirmer.

La Bible nous enseigne que

Dieu a créé l’homme à son image (Ge 1.26).

Jusqu’à l’apparition de Marx, l’homme avait toujours été considéré comme l’achèvement, le sommet de la création. Mais Marx a servi d’instrument de choix à Satan en faisant perdre à l’homme, en même temps que sa propre estime, la conviction qu’il est issu d’un passé glorieux auquel il doit revenir un jour. Le marxisme est la première philosophie systématique et détaillée qui rabaisse brutalement la notion d’homme. Selon son auteur, l’homme est essentiellement un ventre affamé qu’il faut satisfaire continuellement. Ses intérêts suprêmes sont d’ordre économique. Il produit en fonction de ses besoins et pour cela il entre en relation avec d’autres hommes. Telle est la base de la société que Marx qualifie d’infrastructure. Le mariage, l’amour, l’art, la science, la religion, la philosophie — tout ce qui n’est pas, précisément, satisfaction du ventre, sont des superstructures déterminées, en dernière analyse, par l’état du ventre.

Comment s’étonner dès lors que Marx se soit grandement réjoui à la lecture du livre de Darwin qui a été, à sa façon, un coup de maître pour faire oublier à l’homme son origine et sa fin divines. Il prétend, en effet, que l’homme descend du singe et n’a d’autre but que sa simple survie.

Le roi de la nature a été ainsi habilement détrôné par ces deux hommes. Ne pouvant directement s’attaquer à Dieu, Satan a dévalué l’homme à ses propres yeux en le rabaissant à la condition d’esclave de ses instincts et de progéniture d’animaux.

Plus tard, Freud allait compléter le travail de ces deux géants du satanisme en réduisant l’homme fondamentalement l’instinct sexuel, instinct parfois sublimé en politique, en art et en religion. Ce fut le psychologue suisse Jung qui revint à la doctrine de la Bible selon laquelle l’instinct religieux est fondamental chez l’homme.

Karl MARX: un sataniste? de Richard WURMBRAND (3/7) De la théologie libérale au communisme

De la théologie libérale au communisme

Tous les adeptes militants de Satan ont des vies privées tourmentées. C’est également le cas de Marx. Arnold Kunzli dans son livre « Karl Marx A psychogram » (Europa-Verlag, Zurich 1966), raconte sa vie qui mena au suicide deux de ses filles et un gendre. Trois enfants moururent de malnutrition. Sa fille Laura, épouse du socialiste Lafargue, dut aussi conduire au cimetière trois de ses enfants après quoi elle se suicida avec son mari. Une autre de ses filles, Eleanor, décida avec son mari d’en faire autant ; elle mourut, mais lui, à la dernière minute, renonça à son projet. Les familles des adeptes de Satan sont maudites. Marx ne se sentait aucune obligation de travailler pour gagner le pain de sa famille. Il aurait pu facilement le faire, doué comme il était pour l’étude des langues, mais il préférait vivre aux crochets d’Engels. Il avait eu de sa domestique un enfant naturel dont il attribua plus tard la paternité à Engels. Ce dernier accepta de jouer la comédie. Il buvait énormément. David Riazanov, directeur de l’institut Karl Marx à Moscou, y fait allusion dans son livre : Karl Marx le penseur, l’homme et le lutteur. (International Publishers, N. Y., 1927).

Puisque nous venons de dire un mot de Engels, nous pouvons ajouter que celui-ci avait été élevé dans une famille pieuse. Dans sa jeunesse il avait même composé quelques beaux poèmes chrétiens. Nous ignorons en quelles circonstances il perdit la foi, mais voici ses premières impressions après sa rencontre avec Marx :

Qui entre en chasse avec une sauvage ardeur ? — Un homme sombre de Trèves (lieu de naissance de Marx), un monstre remarquable. Il ne marche ni ne court, il pivote sur ses talons pleins de rage et de colère comme s’il voulait attraper l’immense tente des cieux et la jeter sur la terre. Il bat l’air de ses bras, les étirant très haut. Ses poings sont serrés, menaçants, et il n’arrête pas de rager comme si dix mille diables l’avaient saisi par les cheveux (M. Engels, Morceaux choisis en allemand, tome supplémentaire II, p. 301).

Engels avait commencé à douter de sa foi chrétienne après avoir lu un livre du théologien libéral Bruno Bauer. Son coeur avait été le théâtre d’un grand combat. Il écrivait à cette époque :

Je prie tous les jours et même à longueur de journée depuis que je me suis mis à douter, mais je ne peux pourtant pas revenir en arrière. Les larmes me viennent aux yeux tandis que j’écris (cité dans Karl Marx de Franz Mehring, G. Allen &amp ; Unwin, Londres, 1936).

De fait Engels ne retrouva pas la voie du retour à la parole de Dieu et il commença à suivre celui qu’il avait nommé « le monstre possédé par des milliers de diables ». C’était l’expérience d’une contre-conversion.

De quelle étoffe était donc ce Bruno Bauer, théologien libéral qui a joué un rôle décisif dans la destruction de la foi chrétienne chez Engels et qui a également réussi à donner confiance à Marx pour aller de l’avant dans sa voie nouvelle d’antichristianisme? A-t-il affaire, lui aussi, aux démons ? Écoutons ce qu’il en dit lui-même dans une de ses lettres à Arnold Ruge, un ami commun de tous les trois, le 6 décembre 1841 :

Je suis en train de donner une série de conférences ici, à l’Université, et il y a foule. Je ne me reconnais pas moi-même quand je profère des blasphèmes du haut de ma chaire ! Ils sont si forts que ces jeunes — que nul pourtant ne devrait scandaliser — en ont les cheveux qui se dressent sur la tête. Tandis que je les prononce, je ne puis m’empêcher de penser avec quelle piété, à la maison, je compose une apologie des Saintes Écritures et de la Révélation. En tout cas, c’est un bien méchant démon qui s’empare de moi chaque fois que je monte en chaire, et je suis si faible que je suis incapable de faire autrement que de lui céder… Mon esprit de blasphème ne me laissera de trêve que si j’obtiens l’autorisation de prêcher ouvertement en tant que professeur du système athée (Marx-Engels ; Historic critic complete édition — Archiv Verlags-gesellschaft, Frankfurt a. Main, 1927, vol I, i).

L’homme qui convainquit Engels de devenir communiste était le même qui avait convaincu Marx auparavant. Hess relate à la suite de sa rencontre avec Engels à Cologne :

Il me quitta en communiste super militant. Voilà comment j’exerce des ravages ! (Moses Hess, OEuvres choisies, éd. Joseph Melzer, Cologne 1962).

« J’exerce des ravages », était-ce donc là le but suprême de la vie de Hess ? C’est en tout cas celui de Lucifer.

Les traces du chrétien qu’il avait été ne disparurent jamais de l’esprit d’Engels. En 1865, il exprime son admiration pour l’hymne de la Réforme :

C’est un rempart que notre Dieu . Il dit que « c’est un hymne triomphal, une sorte de Marseillaise du XVIe siècle » (Introduction à la dialectique de la nature).

On pourrait trouver d’autres propos analogues de caractère pro-chrétien chez Engels.

Sa tragédie est plus bouleversante et plus poignante encore que celle de Marx. Écoutons ce beau poème de jeunesse, d’inspiration chrétienne, composé par celui-là même qui deviendrait plus tard le bras droit de Marx dans sa lutte destructrice contre la religion :

1. Jésus-Christ, Seigneur, Fils Unique de Dieu, Daigne descendre de Ton trône des cieux Pour venir sauver mon âme. Descends avec toutes tes bénédictions, Toi, Lumière de la Sainteté du Père ! Permets que je Te choisisse. Oh ! qu’elle est aimable, belle sans ombre de tristesse, La joie avec laquelle, ô Sauveur, Nous faisons monter vers Toi notre louange.

2. Quand je rendrai le dernier soupir Et souffrirai les affres de la mort, Que je m’accroche ferme à Toi ! Lorsque mes yeux se voileront Et que mon cœur cessera de battre, Que mon corps se refroidisse entre Tes bras. Dans les hauteurs du ciel, Que mon esprit loue Ton Nom éternellement, Tandis qu’il reposera en sécurité en Toi.

3. À quand ce temps de joie, proche néanmoins, Où, né de Ton sein de Tendresse, Je pourrai me réchauffer d’une vie nouvelle ? Alors, ô Dieu, tout en Te disant mes actions de grâces, Je pourrai aussi enlacer de mes bras, Et pour toujours, ceux qui me sont chers. Oui, vivant, vivant pour toujours, Vivant dans Ta contemplation, Que ma vie se déroule inlassablement, toujours neuve ! … Tu es venu libérer l’humanité De la mort et du Mal, Pour qu’il y ait des bénédictions et un sort heureux partout. Et désormais avec Ton Retour sur la Terre, Tout sera différent ; À chaque homme, Tu donneras sa part.

Quand Bruno Bauer eut semé le trouble dans son âme, il trace ces lignes à quelques amis :

Il est écrit :

Demandez et vous recevrez. Pour moi, je cherche la vérité partout où j’ai l’espoir d’en trouver, fût-ce une bribe. Or jusqu’ici je n’ai pas réussi à reconnaître en votre vérité la vérité
éternelle. Oui, c’est écrit : Cherchez et vous trouverez. Et encore : Quel homme donnerait une pierre à son enfant qui lui demande du pain ? Que dire alors s’il s’agit de votre Père qui est dans les cieux ? Les larmes me montent aux yeux tandis que j’écris cela ; je suis profondément ému, mais, je le sens, je ne serai pas perdu. Je viendrai vers mon Dieu après lequel mon âme tout entière soupire. Cela aussi, c’est un témoignage de l’Esprit Saint. Je vis de ce témoignage, et je mourrai avec la même conviction… L’Esprit de Dieu témoigne en moi que je suis enfant de Dieu.

Il avait donc parfaitement conscience du danger que constituait Satan…

Dans son livre, Schelling, The philosopher in Christ, nous trouvons ceci sous la plume d’Engels :

Depuis la terrible Révolution française, un esprit diabolique, complètement nouveau, a pénétré une grande partie de l’humanité et l’athéisme dresse sa tête menaçante d’une manière subtile et sans pudeur si bien que l’on pourrait penser que les temps annoncés par les prophéties de l’Écriture sont accomplis. Voyons, en effet, ce que la Bible nous dit des « sans Dieu » dans les derniers temps. Et d’abord Jésus dans Matthieu, 24.11-13 :

« De faux prophètes surgiront nombreux et abuseront bien des gens. Par suite de l’iniquité croissante, l’amour se refroidira chez le grand nombre. Mais celui qui aura tenu bon jusqu’au bout, celui-là sera sauvé. »

Cette Bonne Nouvelle du Royaume sera proclamée dans le monde entier, en témoignage à la face de toutes les nations. Et alors viendra la fin.

Et, au verset 24 : « Il surgira en effet des faux Christs et des faux prophètes qui produiront de grands signes et des prodiges, au point d’abuser, s’il était possible, même les élus. » Dans la seconde Lettre aux Thessaloniciens 2, 3 et suite. « . . . Auparavant doit venir l’apostasie et se révéler l’Homme impie, l’Être perdu, l’Adversaire, celui qui s’élève au-dessus de tout ce qui porte le nom de Dieu ou reçoit un culte… Sa venue à lui, l’Impie, aura été marquée par l’influence de Satan, de toute espèce d’œuvres de puissance, de signes et de prodiges comme de toutes les tromperies du mal, à l’adresse de ceux qui sont voués à la perdition pour n’avoir pas accueilli l’amour de la vérité qui leur aurait valu d’être sauvés. Voilà pourquoi Dieu leur envoie une influence qui les égare, qui les pousse à croire le mensonge, en sorte que soient condamnés tous ceux qui auront refusé de croire la vérité et pris parti pour le mal. »

Engels cite des passages de l’Écriture comme le ferait le théologien le plus averti.

Il continue :

Nous ne pouvons plus adopter une attitude de froideur ou d’indifférence vis- à-vis du Seigneur. Non, c’est d’une inimitié ouverte et déclarée qu’il s’agit et au lieu de tant de sectes et partis nous n’avons plus, en définitive, que deux camps en présence : les chrétiens et les non-chrétiens… Nous voyons les faux prophètes à l’oeuvre parmi nous… Ils parcourent l’Allemagne et cherchent à pénétrer partout pour propager leur doctrine satanique sur les places et faire flotter l’étendard de Satan de ville en ville, séduisant la jeunesse infortunée pour l’entraîner au plus profond des abîmes de l’enfer et de la mort. » Et il termine son livre par les paroles de l’Apocalypse « Voici que mon retour est proche. Veillez sur ce que vous possédez afin que personne ne puisse vous arracher votre récompense. Amen » (Marx-Engels, Historie critic complete édition I, cf. plus haut).

Ainsi cet homme qui a écrit de tels poèmes et de tels avertissements contre Satan, l’homme qui a versé des larmes pour demander à être préservé de ce danger, celui qui a avoué que Marx était

« possédé de mille démons »,

ce même homme est bien devenu son plus proche collaborateur dans sa lutte diabolique pour abolir jusqu’au dernier vestige de religion et de morale (Le manifeste communiste de Marx et Engels).

C’est la théologie libérale qui l’a conduit jusque-là, c’est elle qui partage avec Marx et Engels la responsabilité des dizaines de millions de vies innocentes tuées par le communisme.

Après ce triste intermède, long, mais instructif au sujet d’Engels, revenons-en à Marx.

Rolf Bauer, dans son livre Genie und Reichtum, nous décrit la vie extravagante de Marx sous le rapport des finances :

Quand il était étudiant à Berlin, vrai fils à papa, il recevait 700 thalers par an comme argent de poche.

C’était une somme considérable, car à l’époque 5% seulement de la population avait un revenu supérieur à 300 thalers. Et au cours de sa vie Marx reçut de Engels l’équivalent de six millions de francs français (chiffres de l’Institut Marx-Engels).

Il ne cessait de convoiter des héritages. L’un de ses oncles étant à l’agonie, Marx écrit :

Si le chien meurt, cela me tirera bien d’embarras.

À quoi Engels lui répond :

Je me félicite pour vous de la maladie de l’obstacle à l’héritage et j’espère que l’événement fatal ne va pas tarder à se produire.

Enfin « le chien » meurt.
Lisons Marx le 8 mars 1855

Une excellente nouvelle ! Hier on nous a annoncé la mort à 90 ans du vieil oncle de ma femme. Cette dernière va toucher 100 livres sterling environ et même davantage à moins que le vieux chien n’ait laissé une part de son argent à la dame qui tenait son ménage.

Il n’avait pas des sentiments plus tendres à l’égard de personnes qui lui étaient cependant bien plus proches que cet oncle. Il était fâché avec sa mère. En décembre 1863 il écrit à Engels :

Voici deux heures, un télégramme m’annonçait que ma mère vient de mourir. Il fallait que le destin enlève encore un membre de ma famille. J’avais moi- même déjà un pied dans la tombe, mais dans les circonstances présentes ma santé est plus utile que celle de la vieille femme. Je dois aller à Trèves au sujet de l’héritage. …

C’est là tout ce qu’il trouve à dire pour la mort de sa mère.

Tout économiste qu’il fût, Marx perdait tout le temps — et de fortes sommes — à la bourse.

Comme la secte de Satan est extrêmement secrète, nous ne connaissons qu’à travers des allusions — souvent à mots couverts – les rapports supposés de Marx avec elle. Sa vie de désordres n’est-elle pas un anneau de plus dans la chaîne d’éléments que nous venons d’invoquer en faveur de cette hypothèse ?

C’était un intellectuel de grande classe. Engels aussi. Et pourtant leur correspondance est émaillée de propos obscènes inusités dans ce rang social. Les grossièretés y abondent, mais nulle part ces idéalistes ne mentionnent leur rêve humaniste ou socialiste.

Tout le comportement et la conversation de Marx étaient de nature satanique. Juif lui-même, il n’hésita pourtant pas à publier un livre antisémite : La question juive. Et il ne détestait pas que les Juifs. Son ami Weitling relate :

Le sujet de conversation habituel de Marx est l’athéisme, la guillotine, des histoires sur Hegel, des récits de corde ou de poignard.

Il n’aimait pas non plus les Allemands :

La seule façon de les réveiller, prétendait-il, est de les rouer de coups.

Et il parlait du

stupide peuple allemand.

Et encore :

Les Allemands, les Chinois et les Juifs peuvent être comparés à des colporteurs et à de petits marchands.

Il évoquait

la mesquinerie rebutante et nationale des Allemands (Kunzli, Psychogram).

Il considérait les Russes comme des infrahumains (K. Marx sur la Russie, Publishing House Zaria — Canada, en russe).

Les peuples slaves sont des rebuts ethniques (cité dans le New York Times du 25 juin 1963).

Nous venons de passer successivement en revue plusieurs aspects qui pourraient nous amener à conclure que Marx était vraiment un adepte de Satan, un homme voué au démon. Mais poursuivons.

L’enfant préférée de Marx était Eleanor. Il l’appelait Tussy et disait souvent : « Tussy, c’est tout mon portrait. » Voyons ce que Tussy de son côté peut nous apprendre.

Avec le consentement de son père, Eleanor épouse Edward Aveling, ami de Mme Besant, un nom dans la théosophie. Edward faisait des conférences sur des sujets comme la perversité de Dieu (tout à fait la pensée satanique ! on ne nie pas l’existence de Dieu comme les athées — sauf pour donner volontairement le change. On reconnaît au contraire que Dieu existe, mais en le qualifiant de pervers et de mauvais). Dans ses conférences, Edward essayait de démontrer que « Dieu est favorable à la polygamie et qu’il encourage le vol. » Il soutenait le droit au blasphème (The le of Eleanor Marx, par Chushichi Tsuzuki,
Clarendon Press, Oxford, 1967).

Bornons-nous à écouter le poème théosophique suivant en nous rappelant que le gendre préféré de Marx était l’un des principaux conférenciers du mouvement. Des écrits de ce genre étaient en faveur au foyer et l’on aura ainsi une idée du climat spirituel que l’on y respirait :

Vers toi mes vers effrénés et audacieux
Monteront, ô Satan, roi du banquet.
Foin de tes aspersions, ô prêtre, et de tes psalmodies,
Car jamais, ô prêtre, Satan ne se tiendra derrière toi.

Ton souffle, ô Satan, inspire mes vers
Quand du tréfonds de moi-même je défie les dieux.
À bas pontifes rois, à bas rois inhumains ;

Tien est l’éclair qui fait trembler les esprits.
Ô âme qui erres loin de la voie droite,
Satan est miséricordieux. Vois Héloïse.
Telle la trombe qui étend ses ailes,
Il passe, ô peuple, Satan le grand !

Salut, grand défenseur de la raison !
Vers toi monteront l’encens sacré et les vœux :
Tu as détrôné le dieu du prêtre. cité dans :
(The Prince of Darkness par F. Tatford — Bible and Advent Testimony movement).

Le lien entre le marxisme et la théosophie n’est pas accidentel. La théosophie a répandu en Occident la doctrine hindoue de l’inexistence de l’âme individuelle. Ce que la théosophie réussit par la persuasion, le marxisme le fait à coups de fouet : il dépersonnalise les hommes et les transforme en robots esclaves de l’État.

Encore un fait intéressant à noter. Jacob Auguste Rfis avait été disciple de Marx. Désolé en apprenant sa mort, il se rendit à Londres pour visiter la maison où avait vécu le maître admiré. La famille avait déménagé. La seule personne qu’il put interroger était son ancienne femme de chambre. Elle lui dit à son sujet ces paroles étonnantes :

C’était un homme craignant Dieu. Quand il était bien malade, il priait seul dans sa chambre devant une rangée de cierges allumés — le front ceint d’une sorte de mètre en ruban.

Cela fait penser aux phylactères, talismans portés par les juifs orthodoxes pour la prière du matin. Or, baptisé dans la religion chrétienne, Marx n’avait jamais pratiqué le judaïsme. Devenu ennemi acharné de Dieu, il avait écrit des livres contre la religion et élevé tous ses enfants dans l’athéisme. Quel était au juste ce rite que la servante, dans son ignorance, prenait pour une prière
? Quand les juifs prient, phylactères au front, ils n’ont jamais une rangée de cierges devant eux. S’agirait-il d’une pratique magique ? (Les manuscrits de M. Rus sont à la Bibliothèque Russel Sage. Voir Jacob Riis revisited, Doubleday, 1968)

On trouve un autre indice en faveur de cette hypothèse dans une lettre écrite à Marx par son fils Edgar le 31 mars 1854 (M. E. Briefwechsel, II Vol. M. E. Lenin Institute, Moscou p. 18)
Elle commence par ces mots renversants :

« Mon cher diable » !

A-t-on jamais entendu un fils s’adresser à son père en ces termes ? C’est pourtant bien ainsi qu’un adepte de Satan écrit à un ami. Le fils aurait-il donc été initié lui aussi ?

Certains biographes de Marx ont bien eu l’intuition des rapports entre le « héros » de leur livre et le culte du diable, mais, mal préparés spirituellement, ils ne pouvaient comprendre ce dont il s’agissait. Leur témoignage n’est pas pour autant dépourvu d’intérêt.

Le marxiste Franz Mehring écrit dans son livre : Karl Marx (G. Allen &amp ; Unwin Ltd, Londres 1936) :

Bien que le père de Karl Marx soit mort peu de jours après les vingt ans de son fils, il paraît avoir décelé avec une secrète appréhension la présence du démon en son fils préféré… Henri Marx ne prévoyait pas — comment l’aurait-il pu ? — que le riche bagage de culture bourgeoise dont il avait doté son enfant comme d’un héritage de prix ne servirait qu’à ouvrir une nouvelle carrière au démon, dont il avait une crainte profonde.

Marx mourut en désespéré comme d’ailleurs tous les adeptes de Satan. Le 25 mai 1883 il écrit à Engels :

Oh que la vie est donc vaine et vide, mais en même temps combien désirable aussi !

Il y a derrière le marxisme un secret connu seulement d’un très petit nombre de ses adhérents. Lénine a même pu écrire :

Un demi-siècle après lui, pas un seul marxiste ne peut se vanter d’avoir vraiment compris Marx (Cité dans Hegel par M. Kaufman, Doubleday 1965).

Karl MARX: un sataniste? de Richard WURMBRAND (2/7) À la chasse de Dieu

À la chasse de Dieu

Dans sa prime jeunesse, Karl Marx était chrétien. La première de ses œuvres écrites – du moins de celles qui nous sont parvenues – s’intitule Union du fidèle au Christ. On y trouve ce beau mot :

Par l’amour dont nous aimons le Christ, nous orientons en même temps nos cœurs vers nos frères qui nous sont intime

ment liés et pour lesquels il s’est donné Lui-même en sacrifice (Marx and Engels, Collected Works, Vol. 1, International Publishers, N. Y. 1974).

Marx connaissait donc un moyen pour les hommes de devenir frères entre eux : c’est le christianisme.

Il poursuit :

L’union au Christ est capable de procurer l’exaltation intérieure, le réconfort dans la douleur, une confiance paisible et un cœur susceptible d’aimer humainement tout ce qui est noble et grand, non par désir d’ambition ou de gloire, mais à cause du Christ.

À peu près vers la même époque, il écrit dans sa thèse Considérations d’un jeune homme sur le choix d’une carrière :

La religion elle-même nous enseigne que l’Idéal vers lequel tous tendent leur effort s’est sacrifié Lui-même pour l’humanité. Qui oserait lui opposer un démenti ? Si donc nous avons choisi la situation où nous pouvons faire pour Lui le maximum, nous ne pourrons jamais plus être écrasés par le fardeau, puisque ce dernier ne sera pas autre chose que les sacrifices consentis pour l’amour de tous.

Il n’est conversion ni apostasie qui puisse transformer son homme à cent pour cent. Il arrive souvent que, par la suite, ses anciennes croyances ou incroyances remontent au champ de sa conscience, prouvant ainsi qu’elles n’ont pas été totalement effacées de son esprit, mais seulement refoulées dans le subconscient. L’ancien complexe chrétien apparaît en filigrane dans les écrits de Marx longtemps après qu’il soit devenu un militant acharné contre la religion.

Même dans ce livre touffu, consacré à l’économie politique, qu’est Le Capital, livre dans lequel des réflexions sur la religion sont parfaitement déplacées, Marx, le froid adversaire de la religion, écrit, complètement en dehors de son sujet :

Le christianisme avec son culte de l’homme abstrait et plus particulièrement dans ses formes bourgeoises comme le protestantisme, le déisme, etc., est la forme de religion la plus parfaite (Chapitre I, section IV).

Il ne faut pas oublier que Marx a été d’abord un chrétien convaincu. À sa sortie du lycée, son certificat porte sous la rubrique «
Instruction religieuse » cette appréciation :

Sa connaissance de la foi et de la morale chrétienne est lucide et bien fondée. Il possède également dans une certaine mesure l’Histoire de l’Église (Archives pour l’histoire du Socialisme et le Mouvement des Travailleurs, 1925, en allemand).

Peu de temps après l’obtention de ce certificat il se passe dans sa vie quelque chose de mystérieux. En effet, bien longtemps avant que Moses Hess ne l’amène, en 1841, aux convictions socialistes, il était déjà devenu profondément et passionnément antireligieux.

Au cours de ses années d’études supérieures, un autre Marx avait surgi. Lui-même écrit dans un poème :

Je veux me venger de Celui qui règne au-dessus de nous

Il est donc persuadé que « là-haut Quelqu’un règne » et il a un grief contre lui. Pourtant ce Quelqu’un ne lui a fait aucun mal. Marx appartient à une famille relativement aisée. Il n’a pas connu la faim dans son enfance, et il est plus favorisé que beaucoup de ses condisciples. Qu’est-ce qui a donc pu faire naître en lui cette haine implacable contre Dieu ? Ses motifs personnels nous échappent. Faut-il en conclure que Marx dans cette déclaration est simplement le porte-parole d’un autre ?

À l’âge où tout jeune homme normal nourrit le beau rêve de faire du bien à son prochain et de se préparer à sa carrière, pour quelle raison écrit-il les vers suivants dans son poème « Invocation d’un désespéré » :

Ainsi un dieu m’a arraché mon tout
Dans les malédictions et dans les coups du sort.
Tous ses mondes se sont évanouis
Sans espoir de retour,
Et il ne me reste plus désormais que la vengeance.

Je veux me bâtir un trône dans les hauteurs,
Son sommet sera glacial et gigantesque,
Il aura pour rempart la terreur de la superstition,
Pour maréchal, la plus sombre douleur.

Quiconque porte vers ce trône un regard sain,
Le détournera, pâle et muet comme la mort,
Tombé entre les griffes d’une mortalité aveugle et frissonnante.
Puisse son bonheur creuser sa tombe !
(Karl Marx, Morceaux choisis, Vol. I – New York, International Publishers,
1974)

Les mots « Je veux me bâtir un trône » et l’aveu que de Celui qui y est assis ne peuvent émaner qu’angoisse et terreur n’évoquent-ils pas Lucifer et son programme:

J’escaladerai les cieux ; plus haut que les étoiles de Dieu, j’érigerai mon trône (És 14.13) ?

Pourquoi Marx veut-il un tel trône ? La réponse se trouve dans un drame peu connu, composé également pendant ses années d’études, intitulé « Oulanem ». Pour expliquer ce titre, il nous faut faire une digression.

Il existe une église de Satan. L’un de ses rites est la messe noire, célébrée à minuit par un prêtre du Malin. Les cierges sont placés sur les chandeliers la tête en bas. Le prêtre est revêtu des ornements, doublures à l’extérieur. Il dit tout ce qui est prescrit dans le livre de prières, mais à rebours, en commençant par la fin. Les saints noms de Dieu, de Jésus et de Marie sont lus à l’envers. Une hostie consacrée volée dans une église reçoit l’inscription « Satan » et sert à une communion dérisoire. Au cours de cette messe noire, une Bible est consumée par le feu. Tous les assistants jurent de commettre les sept péchés capitaux énumérés dans le catéchisme catholique. La cérémonie se termine par une orgie.

À dessein « Oulanem » est l’inversion d’un nom sacré ; c’est l’anagramme d’Emmanuel, nom biblique de Jésus qui signifie en hébreu « Dieu est avec nous ». De tels noms inversés ont leur efficacité en magie noire.

Et maintenant nous ne serons à même de comprendre le drame d’ «Oulanem » que si nous écoutons d’abord l’étrange confession de Marx dans son poème Le ménestrel :

Les vapeurs infernales me montent au cerveau
Et le remplissent jusqu’à ce que je devienne fou
Et que mon coeur soit complètement changé.
Regarde cette épée :
Le Prince des ténèbres me l’a vendue.

Dans les rites d’initiation supérieure du culte satanique, le candidat reçoit une épée enchantée qui lui assurera le succès. Il l’achète au prix d’un pacte, signé du sang pris à son poignet, selon lequel son âme après sa mort appartiendra à Satan. Voici un extrait d’Oulanem :

Il bat la mesure et donne le signal.
De plus en plus hardiment, je joue la danse de la mort.

Et ils sont aussi Oulanem, Oulanem.
Ce nom résonne comme la mort,
Puis se prolonge jusqu’à s’éteindre misérablement.
Arrêtez ! Je le tiens ! Il s’élève maintenant de mon esprit,

Clair comme l’air, aussi consistant que mes propres os.
Mais j’ai le pouvoir, avec mes bras,
De vous écraser et de vous broyer ( « vous » = l’humanité personnifiée)
Avec la force d’un ouragan,
Tandis que pour nous deux l’abîme s’ouvre béant dans les ténèbres.

Vous allez y sombrer jusqu’au fond,
Je vous y suivrai en riant,
Vous susurrant à l’oreille « Descendez, venez avec moi, mon ami !

La Bible que Marx avait étudiée durant ses années de lycée et qu’il n’avait pas oubliée dans sa maturité dit que le diable serait enchaîné par un ange et précipité dans l’abîme (abyssos, en grec : Ap 20.3). C’est dans cet abîme réservé au diable et à ses anges que Marx souhaite précipiter l’humanité tout entière.

À qui donc Marx prête-t-il sa voix dans ce drame ? N’est-ce pas dépourvu de bon sens de s’attendre de la part d’un jeune
étudiant à ce qu’il poursuive comme rêve de sa vie une telle vision de l’humanité entraînée dans l’abîme des ténèbres (les ténèbres extérieures, expression biblique équivalent à l’enfer) tandis que lui-même, secoué d’un rire mauvais, suit ceux qu’il a conduits à l’incroyance ?

On ne trouve nulle part au monde la recherche d’un tel idéal, si ce n’est dans les rites d’initiation de l’église de Satan, et encore dans les degrés supérieurs.

Mais le moment de la mort est arrivé pour Oulanem. Écoutons ses dernières Paroles :

Perdu. Perdu. Mon heure est venue.
L’horloge du temps s’est arrêtée,
La maison pygmée s’est effondrée.

Bientôt j’embrasserai sur mon sein l’éternité,
Bientôt je proférerai sur l’humanité
D’horribles malédictions.

Marx aimait ce mot de Méphistophélès dans Faust : « Dans l’existence tout mérite la destruction. » « Tout », y compris le prolétariat et les camarades. Marx, dans Le 18 Brumaire, a cité ces paroles. Staline les a prises à la lettre, allant jusqu’à détruire sa propre famille.

La secte de Satan n’est pas matérialiste. Elle croit à la vie éternelle. Oulanem, personnage à qui Marx prête sa voix, ne la conteste pas. Il affirme son existence, mais elle consiste en une vie de haine poussée au paroxysme.

Notons en passant que, pour les diables, éternité est synonyme de tourments. C’est ainsi que Jésus s’entendit reprocher :

« Es-tu venu ici pour nous tourmenter avant le temps ? » (Mt 8.29)

Marx poursuit :

Ah ! l’éternité, notre tourment éternel,
Une mort indicible et incommensurable,
Abjecte, artificiellement conçue pour nous narguer,
Nous autres, rouages aveuglément mécanisés,
Faits pour être les calendriers absurdes
Du Temps et de l’Espace,
Sans autre objet que de se trouver là
Pour être détruits.

Nous commençons un peu à comprendre ce qui était arrivé au jeune Marx. Il avait eu des convictions chrétiennes, mais il n’avait pas mené une vie conforme à ces principes. Sa correspondance avec son père fait foi des grosses sommes d’argent gaspillées dans les plaisirs et de ses perpétuelles disputes avec l’autorité de ses parents pour ce motif et pour d’autres encore.

C’est alors, vraisemblablement, qu’a pu avoir lieu son endoctrinement dans l’église hautement secrète de Satan et qu’il a été initié à ses rites. Satan parle par la bouche de ses adorateurs qui le voient au cours d’hallucinations orgiaques. Et c’est ainsi que Marx n’est pas autre chose que son porte-parole lorsqu’il déclare :

Je veux me venger de Celui qui règne là-haut.

Écoutons plutôt la fin d’Oulanem :

S’il y a quelque chose capable de détruire,
Je m’y jetterai à corps perdu,
Quitte à mener le monde à la ruine.
Oui, ce monde qui fait écran entre moi et l’abîme,
Je le fracasserai en mille morceaux
À force de malédictions ;

J’étreindrai dans mes bras sa réalité brutale,
Dans mes embrassements il mourra sans un mot
Et s’effondrera dans un néant total,
Liquidé, sans existence :
Oui, la vie, ce sera vraiment cela !

(Ces citations sont tirées du livre de Robert Payne, The Unknown Karl Marx, – Karl Marx inconnu – New York University Press, 1971).

Dans Oulanem, Marx fait exactement comme le diable : il livre à la damnation toute la race humaine. C’est sans doute le seul drame au monde où tous les acteurs soient pleinement conscients de leur propre corruption, qu’ils ne craignent d’ailleurs pas d’étaler et dont ils font état avec conviction. Pas de noir et blanc. Il n’y a ici ni Claude et Ophélie, ni Iago et Desdémone, tout est noir et révèle les traits de Méphistophélès. Tous les personnages sont des suppôts de Satan, corrompus, damnés.

À l’époque où il écrit cela, Marx, génie précoce, n’a pas 20 ans. Il a déjà fait le programme de sa vie. Pas un mot sur le service de l’humanité, le prolétariat ni le socialisme. Il veut mener le monde à sa perte. Il veut se bâtir un trône « qui aura pour rempart le frisson des hommes ».

De ce temps-là également datent certains passages à mots couverts de la correspondance échangée entre Karl Marx et son père.
Le fils écrit :

« Le rideau est tombé. Mon Saint des Saints s’est déchiré et il a fallu installer de nouveaux dieux ».

Ces lignes du 10 novembre 1837 sont d’un jeune homme qui, jusque-là, avait fait profession de christianisme. Il avait déclaré précédemment que le Christ était dans son cœur. Il n’en est plus ainsi désormais. Qui sont « les nouveaux dieux » installés à sa place ?

Son père lui répond :

Je me suis abstenu d’insister pour avoir une explication sur une question très mystérieuse, bien qu’elle me paraisse fort douteuse.

Quelle était cette question mystérieuse ? Aucun des biographes de Marx n’a encore donné l’interprétation de ces mots étranges.

Werner Blumeberg, dans son livre Portrait de Marx, cite une lettre du père de Marx à son fils. Elle est datée du 2 mars
1837 :

Ton avancement, l’espoir de voir un jour ton nom hautement réputé et ton bien-être en ce monde ne sont pas les seuls désirs de mon cœur. Ce sont là, il est vrai, des rêves longtemps caressés ; je puis cependant t’assurer que leur réalisation ne m’aurait pas rendu heureux. Mais si ton cœur demeure pur, s’il bat avec humanité et si nul démon ne réussit à le priver de ses sentiments les plus nobles, alors seulement je serai parfaitement heureux.

Qu’est-ce qui a soudain poussé le père à exprimer sa crainte d’une influence démoniaque sur son jeune fils bon chrétien jusque là? Était-ce les pièces de vers qu’il avait reçues de lui comme cadeau d’anniversaire pour ses 55 ans ?

Voici une autre citation où Marx, dans son poème Sur Hegel, révèle lui-même sa pensée, inspirée de Hegel :

J’enseigne des mots enchevêtrés dans un embrouillamini diabolique, ainsi chacun peut croire vrai ce qu’il choisit de penser.

Ailleurs, dans le poème La vierge pâle, il avoue :

Ainsi j’ai perdu le ciel,
Je le sais très bien.
Mon âme naguère fidèle à Dieu
A été marqué pour l’enfer.

Cela se passe de commentaire.

Au début, Marx avait des ambitions d’artiste. Mais ses poèmes et drames, dépourvus de valeur littéraire, ne connurent aucun succès ; ils sont cependant utiles pour nous dévoiler l’état de son cœur.

L’échec en peinture et en architecture nous a donné un Hitler. L’échec dans le genre dramatique, un Goebbels. L’échec en philosophie et en peinture nous a valu respectivement deux autres criminels de guerre, Rosenberg et Streicher. Quant à Marx, obligé de renoncer à la poésie, il entre au nom de Satan dans une carrière révolutionnaire contre une société qui n’avait pas su apprécier ses oeuvres. Évidemment il ne s’agit là que d’un motif – entre autres – de sa révolte absolue. Une autre cause : il était méprisé en tant que juif.

Deux ans plus tard, le jeune Marx écrit « La différence entre la philosophie de la nature chez Démocrite et chez
Épicure » où il fait sienne, dans la préface, la déclaration d’Eschyle : « Je nourris de la haine pour tous les dieux». Il atténue quelque peu cette affirmation en disant qu’il est contre tous les dieux sur terre et dans le ciel qui ne reconnaissent pas comme déité suprême la conscience de l’homme.

Marx était l’ennemi déclaré de tous les dieux – lui qui avait acheté son épée au Prince des ténèbres. Il s’était fixé comme but d’entraîner l’humanité tout entière dans l’abîme de perdition et de l’y rejoindre en ricanant.

Marx a-t-il réellement acheté son épée à Satan ?

Dans un livre intitulé « The moor and the general. Remembrances about Marx and Engels » , (Editions Dietz, Berlin 1964) sa fille Eleanor nous dit que lorsqu’elles étaient petites, elle et ses soeurs, leur père se plaisait à leur raconter des histoires. Il y en avait une surtout qu’elle aimait entre toutes ; il y était question d’un certain Hans Röckle. Mais laissons-lui la parole :

Le récit en durait des mois et des mois, car c’était une histoire très longue et qui n’en finissait plus. Hans Röckle était un sorcier… il avait un magasin de jouets… et beaucoup de dettes !… Malgré sa qualité de sorcier, sa caisse était toujours vide, aussi fut-il contraint de vendre au diable, pièce par pièce, toutes ces jolies choses qui lui appartenaient… Plusieurs de ces aventures étaient terrifiantes et nous faisaient dresser les cheveux sur la tête.

Est-ce normal qu’un père de famille parle ainsi à de jeunes enfants de choses horribles ayant trait à la vente au démon de ce qu’ils ont de plus cher ? Robert Payne dans Marx (Simon and Schuster, New-York, 1968) fait allusion à cela avec abondance de détails ressemblant à ceux fournis par Eleanor. Il insiste sur le fait que Röckle, le magicien, était très malheureux et que c’est bien à contrecoeur qu’il finissait par consentir à céder ses jouets, cherchant jusqu’au dernier moment à les retenir. Mais son pacte avec le diable était signé et il n’y avait donc pas moyen d’y échapper.

L’auteur ajoute :

Ces histoires interminables étaient, selon toute probabilité, une autobiographie… Marx avait la vision du monde propre à Satan ; il en avait aussi la malignité. D’ailleurs il semble bien parfois être conscient de faire l’oeuvre du Mal.

Quand il terminait Oulanem et les autres écrits de jeunesse où il avoue avoir fait alliance avec le diable, Marx ne pensait pas du tout au socialisme. Il l’avait même combattu. Il était rédacteur d’une revue allemande, « Rheinische Zeitung »

“qui n’accorde même pas de valeur théorique aux idées communistes sous leur forme actuelle et qui souhaite encore moins leur réalisation pratique, la  trouvant, de toute façon, impossible… Des tentatives de la part des masses en vue de promouvoir ces idées communistes sont à accueillir par une canonnade dès qu’elles deviennent un danger…

Parvenu à ce stade, Marx rencontre Moses Hess, l’homme qui jouera dans sa vie le rôle le plus important, celui qui lui a fait embrasser l’idée socialiste. Mais ce n’est pas ce que dit Hess à son sujet :

Docteur Marx – mon idole – qui donnera le coup de pied fatal à la religion et à la politique du Moyen Âge.

« Donner un coup de pied à la religion » est donc bien son but principal. Un autre ami de Marx à cette époque, Georges
Jung, écrit d’une manière encore plus claire en 1841 :

Marx va sûrement chasser Dieu de son ciel et il fera lui-même son procès. Il prétend que la religion chrétienne est l’une des plus immorales (Conversations avec Marx et Engels. Insel éditeur, Allemagne, 1973).

Rien d’étonnant puisque Marx croyait que les premiers chrétiens avaient même égorgé des hommes et mangé leur chair.

Telles étaient donc les prévisions de ceux qui avaient initié Marx aux arcanes du satanisme. Il est absolument faux, par conséquent, qu’il nourrissait le grand idéal social d’aider l’humanité et que, la religion étant à ses yeux un obstacle à la réalisation de cet idéal, il avait adopté pour cela une attitude antireligieuse. C’est tout le contraire. Marx haïssait tous les dieux sans exception et jusqu’à la notion même de dieu. Il s’était porté volontaire pour « chasser Dieu à coups de pied».

Le socialisme ne constitue pour lui qu’un appât pour attirer prolétaires et intellectuels à cet idéal diabolique. Lorsque les Soviets, au début, prirent comme slogan : « Chassons les capitalistes de la terre et Dieu du ciel », ils étaient simplement fidèles à l’héritage reçu de Marx.

J’ai parlé plus haut de l’inversion des noms comme procédé de la magie noire. Or les inversions sont tellement ancrées dans la pensée de Marx qu’il en fait usage partout. Au livre de Proudhon « Philosophie de la misère » il répond par un autre qu’il intitule « La misère de la philosophie ». « Il nous faut employer, dit-il, au lieu de l’arme de la critique, la critique des armes » etc.

L’aspect hirsute de Marx avec ses cheveux et sa barbe ne vous a-t-il jamais posé question ? Les hommes de son temps portaient en général la barbe, mais pas comme la sienne ! ni des cheveux aussi longs. L’allure de Marx est typique des adeptes de Johanna Southcott, prêtresse d’une secte extravagante qui prétendait être en relations avec le démon Shiloh (Conversations entre Marx et Engels).

Il est curieux de constater qu’en 1814, quelque 60 ans après sa mort, « le groupe de Chatham des Southcottians comptait dans ses rangs un militaire, James White, qui, après son temps de service aux Indes, revint diriger le groupe local, répandant encore la doctrine de Johanna en lui donnant une coloration communiste » (James Hastings, Encyclopaedia of Religion and Ethics. N. Y. Charles Scribner’s Sons, 1921, XI, 756).

Karl ne parlait guère métaphysique en public, mais nous pouvons reconstituer sa pensée en nous référant aux hommes à qui il
était associé. Parmi eux Michel Bakounine, membre de la Première Internationale, écrivait :

Satan est le premier libre-penseur et sauveur de ce monde. Il libère Adam et imprime sur son front le sceau de l’humanité et de la liberté en faisant  désobéir » (Dieu et l’État, citations des Anarchistes, édité par Paul Berman, Praeger éditeur, N. Y. 1972).

Bakounine ne se contente pas de faire le panégyrique de Lucifer, il a également un programme concret de révolution – mais pas pour libérer les pauvres de l’exploitation. Dans cette révolution, écrit-il, il nous faudra réveiller le diable chez le peuple et exciter en lui les passions les plus viles » (Cité dans Dzerjinski par R. Gul, « Most » Pub. House, New-York, en russe).

C’est précisément avec ce Bakounine dont le programme est si étrange que Karl Marx a créé la Première Internationale. C’est lui qui nous révèle que Proudhon, autre grand penseur socialiste et à l’époque ami de Karl Marx, « adorait Satan », lui aussi.

Proudhon avait été présenté à Marx par Hess ; il avait également le même style chevelu-barbu typique de la secte satanique de Johanna Southcott au XIXe siècle (Conversations avec Marx et Engels, Insel Verlag, 1973, Allemagne).

Dans son ouvrage « Sur la justice dans la révolution et dans l’Église », Proudhon déclare que Dieu est le prototype de l’injustice.

Il s’exalte :

Dieu est stupidité et lâcheté, Dieu est hypocrisie et fausseté, Dieu est tyrannie et pauvreté, Dieu est mauvais. Partout où l’humanité s’incline devant un autel, esclave des rois et des prêtres, elle sera condamnée… Je jure, ô Dieu, la main levée vers le ciel, que tu n’es rien d’autre que l’exécuteur de ma raison, le sceptre de ma conscience… Dieu est essentiellement anti-civilisé, antilibéral, anti-humain.

Proudhon déclare que Dieu est mauvais parce que l’homme, sa création, est mauvais. Mais de telles pensées ne sont pas originales : on les trouve d’ordinaire dans les sermons du culte de Satan.

Quand il se brouilla plus tard avec Proudhon, Marx écrivit un livre pour réfuter sa « Philosophie de la misère » où se trouvent les citations ci-dessus. Il contredit sa doctrine économique sur des points secondaires, mais il n’a aucune objection sur sa révolte démoniaque contre Dieu. Il convient ici de souligner avec force que Marx et ses disciples, même s’ils étaient anti-Dieu, n’étaient pas pour autant des athées comme l’avancent pourtant les communistes d’aujourd’hui. En d’autres termes, ils prouvaient leur haine pour un Dieu en qui ils croyaient en le dénonçant ouvertement et en l’insultant. Ce n’est pas son existence qu’ils remettaient en cause, mais sa suprématie.

Lors de l’insurrection de la Commune de Paris en 1871, le communard Flourens déclarait :

Notre ennemi, c’est Dieu. La haine de Dieu est le commencement de la sagesse (Philosophie du Communisme, Introduction par Charles Boyer, Fordham
University Press, N. Y.)

Nous atteignons à la connaissance malgré lui, nous nous procurons le bien-être malgré lui, nous arrivons à la société malgré lui encore. Chaque pas en avant est une victoire où nous l’emportons sur le divin.

Marx louait hautement les communards qui proclamaient ouvertement cet objectif. Mais quel rapport cela peut-il bien avoir avec une distribution équitable des biens ou de meilleures institutions sociales ? Il ne s’agit là que d’un masque pour dissimuler le but véritable : l’extermination totale de la foi en en Dieu et de son culte. La preuve en sont aujourd’hui des pays comme la Chine (rouge), l’Albanie et la Corée du Nord où toutes les églises, mosquées et pagodes ont été fermées.

Marx a composé des poèmes très intéressants sur ce thème. De l’avis général ils n’ont aucune valeur littéraire, mais les pensées exprimées sont révélatrices. Dans « La prière d’un désespéré » et « Orgueil humain », la prière suprême de l’homme est pour sa propre grandeur. Si l’homme est condamné à périr à cause de sa propre grandeur, ce sera la catastrophe cosmique, mais il mourra en être divin, pleuré des démons. Dans sa ballade intitulée « Le ménestrel » il célèbre la plainte du chanteur contre un dieu qui ne connaît ni ne respecte son art, qui émergeant du ténébreux abîme des enfers,

« ensorcèle l’esprit et séduit le cœur – et sa danse est une danse macabre ».

Le ménestrel tire son épée et l’enfonce dans le cœur du poète.

« L’art émergeant du ténébreux abîme des enfers ensorcelant l’esprit »,

cela évoque les paroles du révolutionnaire américain Jerry Rubin dans « Do it » :

« Nous avons associé jeunesse, musique, sexe, drogue, révolution avec trahison ; c’est là quelque chose de bien difficile à dépasser. »

Dans un autre poème où il avoue que son but n’est pas d’améliorer le monde, pas plus que de le réformer ou de le mettre en
état de révolution, mais bien de le précipiter purement et simplement à sa ruine pour en jouir, Marx déclare notamment :

Dédaigneusement, je jetterai mon gant
À la face du monde
Et verrai s’effondrer ce géant pygmée
Dont la chute n’éteindra pas mon ardeur.

Puis comme un dieu victorieux j’irai au hasard
Parmi les ruines du monde
Et, donnant à mes paroles puissance d’action,
Je me sentirai l’égal du Créateur.»
(de la traduction du D. Mc Lellan de « Marx before marxism », McMiIlan)

Ce n’est pas sans lutte intérieure, en effet, qu’il choisit Satan. Ses poèmes furent achevés lors d’une grave maladie causée par la violente tempête déchaînée dans son cœur. Il note alors combien il se sent vexé de devoir se faire une idole d’une idée qu’il déteste. Il en tombe malade (ibidem).
La raison majeure de la conversion de Marx au communisme apparaît clairement dans une lettre de son ami Georges Jung à Ruge. Il n’est pas question de l’émancipation du prolétariat ni d’un ordre social meilleur. Lisons plutôt :

Si Marx, Bruno Bauer et Feuerbach s’associent pour fonder une revue politico-théologique, Dieu fera bien de s’entourer de tous ses anges et de se laisser aller à se plaindre, car ces trois-là réussiront certainement à le chasser du ciel… » (Cité par Mc Lellan, voir ci-dessus).